02 avril 2006
Les vaccins
Tous les éléments aujourd'hui considérés comme pathogènes (virus, bactéries, champignons) ont en fait une fonction dans l'ordre de la vie. Leur présence et leur prolifération dans un milieu cellulaire donné est le symptôme de sa dégradation : les champignons et bactéries recycleront certains déchets, les virus modifieront le métabolisme cellulaire de façon à assainir un terrain dégradé. Leur rôle est en effet négatif lorsque le terrain présente une morbidité telle que leur action achève de détruire l'équilibre vital. Dans ce cas extrême, l'allopathie (qui agit "contre") peut être intéressante mais en tout état de cause, on ne devrait y avoir recours que rarement.
Cette perspective donne un tout autre visage à la démarche vaccinale. Le vaccin, en soumettant notre système immunitaire à un agent atténué, lui permet au mieux de fabriquer des anticorps sans subir le choc induit par un agent plus "dynamique". Néanmoins, utilisé de façon systématique et contre de nombreux agents, il mobilise des ressources du système immunitaire contre un danger qui n'est pas présent et qui peut se prévenir en favorisant une bonne hygiène de vie (alimentation, relaxation, exercice etc...) dans la population.
Non seulement :
- on encrasse artificiellement le terrain en y introduisant des entités qui n'ont rien à y faire,
- on consomme inutilement des ressources vitales précieuses du système immunitaire pour fabriquer des anticorps a priori inutiles,
- ce faisant, on diminue le potentiel intrinsèque de ce système à contrôler d'autres agents externes,
mais aussi parfois, on intoxique carrément le sujet quand le vaccin est mal élaboré (métaux lourds, mutation de l'agent atténué par réactions croisés avec d'autres molécules dont on nous bourre).
En fait, une stratégie vaccinale devrait être le dernier recours en cas d'épidémies graves :
1/ quand une épidémie s'est effectivement déclarée (c'est-à-dire que pour une raison x ou y, on n'a pas réussi à maintenir un terrain vital suffisamment sain dans une population donnée
2/ quand la maladie en question est aiguë et met en cause un diagnostic vital
3/ de manière ciblée et sur les sujets pour lequel le vaccin peut être utile (ni les sujets dont le terrain est fondamentalement sain et ne donnera pas de prises à la maladie ou dont le système immunitaire est suffisamment robuste pour faire face, ni évidemment, les sujets trop affaiblis pour lesquels, la stratégie vaccinale est inopérante puisqu'elle se base sur une capacité minimale de réponse du système immunitaire).
Rien à voir avec ce qui est pratiqué aujourd'hui : à savoir une vaccination préventive contre tout et n'importe quoi et qui, de surcroît, se rêve ou s'impose comme obligatoire
Pour reprendre sous une autre forme ce que j'ai dit plus haut, je pense qu'il vaut mieux favoriser chez un sujet la capacité à répondre à tout type de question (développer le potentiel de son système immunitaire en développant sa force vitale et en limitant la dégradation de son terrain) que de lui apprendre des réponses types à quelques questions types qui ne tomberont d'ailleurs peut-être jamais comme dans les exams.
Le système immunitaire produit des anticorps pour contrôler la population des agents nettoyeurs. Une fois le boulot de ces derniers achevés, si le sujet est suffisamment sain, il produira les anticorps nécessaires pour virer les agents devenus indésirables et qui de toute façon n'ont pas de quoi vivre dans un terrain assaini.
Par conséquent, le fait de trouver des anticorps chez les sujets ayant un système immunitaire fonctionnant à peu près ne rentre pas du tout en contradiction avec les anti-vaccins.
C'est plutôt l'utilité réelle de ses anticorps qui doit être questionnée :
- produits alors qu'on en n'avait pas automatiquement besoin
- en réaction à une forme "atténuée" dont on ne peut prouver en toute rigueur qu'elle correspond bien à la forme responsable de la réaction aiguë qu'on cherche à éviter.
Et je ne parle pas des effets secondaires et de leur éventuelle toxicité sur le moyen et long terme ...
Cette perspective donne un tout autre visage à la démarche vaccinale. Le vaccin, en soumettant notre système immunitaire à un agent atténué, lui permet au mieux de fabriquer des anticorps sans subir le choc induit par un agent plus "dynamique". Néanmoins, utilisé de façon systématique et contre de nombreux agents, il mobilise des ressources du système immunitaire contre un danger qui n'est pas présent et qui peut se prévenir en favorisant une bonne hygiène de vie (alimentation, relaxation, exercice etc...) dans la population.
Non seulement :
- on encrasse artificiellement le terrain en y introduisant des entités qui n'ont rien à y faire,
- on consomme inutilement des ressources vitales précieuses du système immunitaire pour fabriquer des anticorps a priori inutiles,
- ce faisant, on diminue le potentiel intrinsèque de ce système à contrôler d'autres agents externes,
mais aussi parfois, on intoxique carrément le sujet quand le vaccin est mal élaboré (métaux lourds, mutation de l'agent atténué par réactions croisés avec d'autres molécules dont on nous bourre).
En fait, une stratégie vaccinale devrait être le dernier recours en cas d'épidémies graves :
1/ quand une épidémie s'est effectivement déclarée (c'est-à-dire que pour une raison x ou y, on n'a pas réussi à maintenir un terrain vital suffisamment sain dans une population donnée
2/ quand la maladie en question est aiguë et met en cause un diagnostic vital
3/ de manière ciblée et sur les sujets pour lequel le vaccin peut être utile (ni les sujets dont le terrain est fondamentalement sain et ne donnera pas de prises à la maladie ou dont le système immunitaire est suffisamment robuste pour faire face, ni évidemment, les sujets trop affaiblis pour lesquels, la stratégie vaccinale est inopérante puisqu'elle se base sur une capacité minimale de réponse du système immunitaire).
Rien à voir avec ce qui est pratiqué aujourd'hui : à savoir une vaccination préventive contre tout et n'importe quoi et qui, de surcroît, se rêve ou s'impose comme obligatoire
Pour reprendre sous une autre forme ce que j'ai dit plus haut, je pense qu'il vaut mieux favoriser chez un sujet la capacité à répondre à tout type de question (développer le potentiel de son système immunitaire en développant sa force vitale et en limitant la dégradation de son terrain) que de lui apprendre des réponses types à quelques questions types qui ne tomberont d'ailleurs peut-être jamais comme dans les exams.
Le système immunitaire produit des anticorps pour contrôler la population des agents nettoyeurs. Une fois le boulot de ces derniers achevés, si le sujet est suffisamment sain, il produira les anticorps nécessaires pour virer les agents devenus indésirables et qui de toute façon n'ont pas de quoi vivre dans un terrain assaini.
Par conséquent, le fait de trouver des anticorps chez les sujets ayant un système immunitaire fonctionnant à peu près ne rentre pas du tout en contradiction avec les anti-vaccins.
C'est plutôt l'utilité réelle de ses anticorps qui doit être questionnée :
- produits alors qu'on en n'avait pas automatiquement besoin
- en réaction à une forme "atténuée" dont on ne peut prouver en toute rigueur qu'elle correspond bien à la forme responsable de la réaction aiguë qu'on cherche à éviter.
Et je ne parle pas des effets secondaires et de leur éventuelle toxicité sur le moyen et long terme ...
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