29 juin 2006
NOVUS ORDO SECLORUM - « Le Nouvel Ordre Mondial »
Par Armin RISI (article écrit en 1999)
Source : MAGAZIN 2000 n° 136 – 02/99.
Le nouveau livre d’Armin Risi (“Unsichtbare Welten” - “Les Mondes Invisibles”) renferme un palpitant préambule d’un initié de pointe de la politique U.S, Michael Boren Williams. Dans ce préambule, il fait part de ses tragiques démêlés avec les puissances secrètes U.S.
Pour l’article qui va suivre, l’auteur Armin Risi, a contacté à nouveau Mr. Williams, et lui a demandé quelles perspectives il prévoyait au cours des prochaines années dans le domaine de la politique mondiale.
Qu’est-ce qui se cache là derrière et quelles en sont les prochaines étapes ?
Armin Risi : La situation politique mondiale va t-elle se calmer au cours des prochaines années ou va t-elle s’aggraver ?
Michael Boren Williams : Il ne faudrait pas nourrir l’illusion que nous aurons la paix et la liberté dans les prochains temps. Au contraire, il y a de grosses “pointures” qui rêvent d’un nouvel ordre mondial et qui travaillent depuis longtemps déjà à réaliser ce rêve. Ce plan est déjà très avancé et ces messieurs ne reculeront devant rien. Et j’affirme cela avec force, parce que j’ai pu le ressentir dans ma propre chair.
Les coulisses de l'histoire mondiale
A.R. : Avant d’en venir à votre propre histoire personnelle, je voudrais vous demander ce qu’est, en fait, ce “Nouvel Ordre Mondial” auquel on fait si souvent allusion.
M.B.W. : Ce concept est hautement officiel. Il s’est fait connaître au début des années 90 dans le domaine de la politique mondiale, lorsque le président U.S, George Bush en a, bizarrement, souvent parlé « new world order ». Ce concept est tellement officiel qu’il est même imprimé sur les billets de banque d’un dollar : Novus Ordo Seclorum. Cette expression latine signifie littéralement “Nouvel Ordre Mondial”. Comme cette expression figure directement sur un billet de banque de la Banque Fédérale de Réserve U.S, on peut en déduire que ce concept a déjà une histoire et ne constitue rien de nouveau.
Et de fait, il y a toute une idéologie derrière ce concept : le plan pour un Gouvernement Mondial Unique. De cette manière, il s’agit d’imposer un ordre mondial répondant aux idées de l’élite richissime et détentrice du pouvoir. Ce plan s’applique d’une manière globalement politique depuis l’ascension de l’Empire Britannique et a influencé, depuis deux siècles, pratiquement toutes les décisions importantes dans le domaine de la politique, de l’armée et de l’économie, surtout dans le domaine financier.
A.R. : Croyez-vous à la “théorie de la conspiration” ?
M.B.W. : Non, car il ne s’agit pas, ici, d’une conspiration dans le sens d’un coup monté, où tout est prévu jusque dans le moindre détail. On assiste plutôt à une action conjuguée d’intérêts communs.
Évolutions imminentes ?
A.R. : S’il est exact que toutes ces évolutions ne sont pas imprévisibles, c’est-à-dire des dynamiques aléatoires, quel serait alors la situation actuelle, selon le plan du Nouvel Ordre Mondial?
M.B.W. : Je pense, personnellement, que l’informatisation du monde au cours des quarante dernières années traduit la tentative de l’élite d’accroître son contrôle, car ce contrôle a quelque peu été affaibli par le progrès technologique, surtout par la communication. Le contrôle et la puissance sont dépendants de la surveillance du flux d’informations, comme cela a été démontré ouvertement par les régimes communistes. Le quadrillage informatique permet un contrôle mondial des informations et des hommes. Dans ce contexte, il faut mentionner des systèmes comme les code-barres, la suppression de l’argent liquide, l’identification par micro-processeur, etc.
Cette évolution dictatoriale débute apparemment d’une manière très inoffensive : internationalisation, restriction des libertés nationales et des droits personnels sous prétexte de globalisation, de “protection de l’environnement” ou de “sécurité nationale”. L’État fixe d’ores et déjà, intégralement, le programme scolaire des écoles, et exerce dorénavant toujours plus d’influence sur les familles. Ce ne sont là que quelques exemples sociopolitiques démontrant comment une idéologie bien précise se crée toujours plus de pouvoir.
A.R. : Quel genre d’idéologie est-ce ?
M.B.W. : C’est celle de puissants groupes d’intérêts — pour les appeler par leur nom — qui veulent visiblement devenir encore plus puissants. Parfois certains de leurs représentants apparaissent également sur le devant de la scène de la politique mondiale.
A.R. : Par exemple ?
M.B.W. : Eh bien , le plus célèbre propagateur du “ Nouvel Ordre Mondial” était incontestablement George Bush, l’ex-patron de la C.I.A. et ex-président U.S. Comme dit, il n’y a pas non plus fait un mystère, mais en a parlé publiquement à diverses reprises, même devant le Parlement et dans des discours au Peuple. Ce n’est pas un hasard si on connaît sa biographie et celle de son père. Ce dernier (Prescott Bush) était un richissime banquier avec une grande influence politique. C’est ainsi qu’il achemina des sommes d’argent considérables vers l’Europe, notamment vers le Troisième Reich, au cours de la Deuxième Guerre Mondiale. Il y eut même une enquête judiciaire à cet égard, où les preuves ne manquent pas. Mais cette enquête a très rapidement été arrêtée, non pas en raison d’un manque de preuves, mais en raison de preuves trop fracassantes. Tout cela a été décrit dans tous les détails par des auteurs à révélations, comme Tarpley et Chaitkin. Leur livre « The Unauthorized Biography » (La Biographie Interdite) se trouve dans ma Home Page. Ou encore : Joël Bainerman : The Crimes of a Président (les crimes d’un Président). Même si on ne lit que ces deux livres (et il y en a beaucoup d’autres encore), alors on se demande dans quel monde on vit, pour que de tels personnages puissent devenir des hommes d’état.
A.R. : Que savez-vous des deux fils de Bush ?
M.B.W. : L’un des fils se nomme exactement comme son père, George Herbert Walker Bush, et il vient juste d’être réélu au poste de Gouverneur du Texas. L’autre fils, Jeb Bush a été élu au poste de Gouverneur de la Floride au cours des mêmes élections. Les deux fils Bush dirigent donc maintenant 2 des 4 états U.S. les plus importants. On sait que le premier veut devenir Président des États-Unis en l’an 2000.
On m’a récemment appris que les deux frères présenteront éventuellement leur candidature simultanément, comme président et vice-président !
A.R. : Quelles seraient les conséquences d’une telle éventualité ?
M.B.W. : Celles que je viens d’évoquer.
A.R. : Et cela n’aurait pas lieu si quelqu’un d’autre prenait le relais de Clinton ?
M.B.W. : Si c’est malheureusement exact, seule une personne coopérant sans condition avec l’élite peut devenir président. Et si quelqu’un ne coopère pas, alors il est éliminé très rapidement comme John F. Kennedy, mais beaucoup d’autres encore qui ne sont pas devenus aussi célèbres, précisément parce qu’ils ont été éliminés auparavant. Mais le fait que les portes sont à présent grandes ouvertes au fils Bush qui montre qu’il sert et servira tout aussi fidèlement les intérêts de l’élite que son père. Ce n’est rien de nouveau pour moi car je sais cela depuis longtemps déjà, parce que je les connais personnellement. C’est pour cette raison aussi qu’ils se sont tellement acharnés sur moi.
Compositeur, musicien et homme politique de l'ombre
A.R. : Avec de telles déclarations, vous provoquez des questions sur le propre cheminement de votre vie. Qui êtes-vous ?
M.B.W. : Je suis originaire d’une famille riche et bien considérée, qui avait des liens avec la famille Kennedy. Le père de J.F.K., Joseph P. Kennedy, était souvent invité chez son grand-père maternel, Bernard Boren, car les deux étaient des catholiques originaires d’Irlande (et multi-millionnaires).
J’ai cependant suivi très tôt mes propres voies. Je n’avais pas encore 20 ans, lorsque je me suis rendu au Vietnam. J’étais déguisé en soldat, mais je n’étais pas un soldat de la guerre, j’étais un soldat de la vérité. J’étais actif, là-bas, comme journaliste et comme photographe, et j’ai risqué ma vie au front pour prouver et rendre public ce qui se passait réellement là-bas.
Lorsque je revins du Vietnam, et suivis des études universitaires, je fus contacté par des membres des Services Secrets qui voulurent s’assurer ma collaboration par des propositions alléchantes. Je jetai assez brutalement ces séducteurs dehors, ce qui ne m’attira évidemment pas de la sympathie des Services Secrets.
À cette époque, je démasquais aussi le Maire de Santa Monica (Californie) qui, secrètement, avait l’intention de prendre un arrêté livrant à la construction l’embarcadère historique de Santa Monica. Je pris l’initiative d’un référendum et mobilisais des célébrités d’Hollywood, comme Jane Fonda et Marlon Brando. L’embarcadère fut sauvé et a même été classé Monument Historique, et le maire, ainsi que toute son équipe, ont été relevés de leurs fonctions.
Dans cette affaire aussi, je n’ai pas spécialement attiré la sympathie des sphères supérieures.
A.R. : Comment êtes-vous parvenus jusqu’aux niveaux supérieurs de la Politique ?
M.B.W.: De par mes antécédents familiaux déjà, je suis entré en contact avec beaucoup d’initiés de la politique U.S. En même temps, j’étais musicien ainsi qu’un compositeur très productif. À partir de la fin des années 60, j’ai côtoyé beaucoup de stars de la musique pop, comme Donovan, Peter, Paul et Mary, David Bowie, Led Zeppelin, Eric Burdon et bien d’autres encore. Beaucoup d’entre eux m’ont acheté des chansons et les ont publiées sous leur propre nom. En 1971, je me suis rendu de Los Angeles à New York pour faire des enregistrements avec l’ex-Beatle John Lennon. Celui-ci n’était pas tout simplement le brave Beatle qui chantait “I wanna hold your hand” (“je voudrais tenir ta petite main”). C’était un chanteur féroce, sarcastique, comme un large public le sait à présent, car il y a peu, 4 CD contenant des enregistrements archivés de Lennon ont été publiés. On y entend Lennon critiquer nommément la CIA, taxer Rockefeller d’assassin ou traiter un juge alors célèbre de “bâtard”. Lorsqu’on entend de tels enregistrements, il ne faut pas se demander pourquoi John Lennon ne vit plus aujourd’hui.
En raison de tous ces contacts, j’ai été engagé pour écrire les discours et collecter des fonds pour le candidat à la Présidence George Mc Govern et j’ai travaillé directement avec l’organisateur de sa campagne Gary Hart. À l’époque, je n’avais que 22 ans. Je figurais sur la liste noire des Services Secrets en raison de mes activités politiques et révolutionnaires.
John Lennon
A.R. : Selon les déclarations officielles, le meurtre de John Lennon fut l’œuvre d’un déséquilibré isolé...
M.B.W. : C’est ce qu’on a également déclaré lors de l’assassinat de John F. Kennedy ! Je sais que les avocats de Lennon lui avaient conseillé de se tenir à l’écart de la scène musicale et politique, sinon sa vie serait en danger. Durant quelques années, John suivit ces conseils. Mais lorsqu’il publia “Double Fantasy” en 1980 et qu’il déclara clairement qu’il voulait à nouveau exercer une influence politique, on décida qu’il devait immédiatement être éliminé. Le 8 décembre 1980, il fut assassiné par un homme programmé par “Mind Control” (contrôle de l’esprit, ndt).
L’assassin était une marionnette tellement dépourvue de volonté qu’il ne songea même pas à s’enfuir, bien qu’il aurait eu l’occasion de le faire ; au lieu de cela, il attendit passivement que la police vienne l’arrêter.
A.R. : Pouvez-vous prouver que vous avez fait des enregistrements avec John Lennon ?
M.B.W. : Évidemment ! C’est maintenant seulement — 10 ans après que le FBI eut confisqué tous mes biens — qu’on m’a enfin retourné quelques-uns des enregistrements originaux. L’avocat en Californie, chez qui ces enregistrements sont en dépôt, avait reçu du FBI la consigne de ne rien restituer.
Le FBI a avoué par écrit à l’un de mes avocats, Marc A. Pembroke, qu’il avait confisqué mes biens, notamment des bandes magnétiques avec des enregistrements non publiés de Lennon. Je suis en mesure de communiquer ces documents, à tout moment, à toute personne intéressée.
Maintenant, enfin, après des années de lutte, je suis à nouveau en possession d’un certain nombre de ces bandes, à savoir des enregistrements originaux où John Lennon chante certaines de mes compositions. Mais comme la voix de Lennon est protégée par d’incontournables Copyrights, je ne peux pas publier ces enregistrements ? Ceux qui veulent en savoir et en entendre plus là-dessus, doivent visiter ma Home Page de musique.
L'ascension d'un initié
A.R. : George Mc Govern, qui s’était mesuré à Richard Nixon en 1972, a perdu cette bataille électorale. Plus tard, il s’est avéré que le Comité pour la réélection de Nixon avait à cette époque fait une incursion dans le quartier général de Mc Govern, dans l’immeuble du Watergate, pour y installer des appareils d’écoute. Ce fut l’origine du scandale de Watergate, de triste mémoire.
M.B.W. : Oui, on pourrait également dire beaucoup de choses sur cette affaire. On peut prendre connaissance des dessous de ce scandale dans des livres appropriés, mais malheureusement pas dans les livres d’histoire officiels.
Le manager de Mc Govern, Gary Hart, devint plus tard sénateur du Colorado, et était lui-même candidat à la Présidence en 1988. À cette occasion, il m’avait nommé pour écrire ses discours, pour collecter des fonds et pour m’occuper de sa promotion.
Cependant, selon les désirs des puissants hommes de l’Ombre, c’est George Bush, l’ex-directeur de la CIA, et vice-président en fonction, qui devait devenir le successeur de Ronald Reagan. Afin que cela puisse avoir lieu, le populaire Gary hart devait être éliminé de la joute électorale. Sous l’effet d’un piège, Gary Hart fut entraîné dans un scandale, et forcé à renoncer à sa candidature.
Je fus indigné par ces intrigues sordides et ramenai le Sénateur Hart dans la campagne électorale. Je commençai même à monter moi-même sur scène et à tenir des discours de campagne électorale. J’étais souvent invité à la télévision et dans les stations de radio où je livrai, sans détours, mes sentiments sur Bush et Cie à l’opinion publique. L’apogée en fut une confrontation publique avec le fils de Bush, George Bush Junior, le Gouverneur actuel du Texas. La joute oratoire fut humiliante pour le Junior.
Le "grand frère" cogne dur" !
M.B.W. : Peu de temps après, le 18 mars 1988, je fus assailli et kidnappé par un groupe spécial des Services Secrets, dans ma maison des Montagnes Rocheuses. Devant les yeux de ma fille de deux ans, Erin, et de ma femme qui était enceinte de 6 mois ; on me mit des menottes aux mains et aux pieds, on me jeta à terre et on me passa à tabac, pour me laisser à demi mort. En même temps, tous mes documents politiques et musicaux furent confisqués.
Pendant deux ans, on me traîna dans différentes prisons américaines et j’atterris dans des geôles aussi sinistres que le Métropolitain Correctionnal Center de Chicago (appelé encore “The Warhouse of Death”, en argot “L’entrepôt de la Mort”) et finalement au Marion Federal Penitentiary.
Ce que je vécus là-bas fut l’enfer. Parfois, j’étais assis à 7 étages sous le sol nu, dans des cellules spéciales pour prisonniers politiques. On me tortura et on m’humilia corporellement et psychiquement. J’ignore comment et pourquoi j’ai survécu ; c’était peut-être dû à ma volonté d’acier, au fait que j’étais connu ou tout simplement par la grâce de Dieu.
Lorsqu’on me libéra enfin, après deux ans de détention, on fit rapidement divorcer ma femme, avec le concours du FBI., jusqu’à ce jour, il n’y a pas eu de procédure judiciaire correcte dans cette affaire.
Mes deux ans passés dans le “ventre de la bête” (in the belly of the beast) ont ébranlé profondément toutes mes convictions et opinions antérieures. Le régime de George Bush et de ses alliés m’a pratiquement rendu la vie impossible aux États-Unis. Gary Hart était depuis longtemps déjà hors course et ne pouvait rien faire pour moi. Je me vis contraint de me rendre en exil, et c’est ainsi que je me “réincarnais” en Europe, en tant qu’individu isolé, qui avait tout perdu : famille, patrie, honneur, biens et aussi la santé.
On peut lire toute une histoire avec tous les détails légaux dans ma Home Page.
A.R. : Êtes-vous le seul à avoir connu ces épreuves ?
M.B.W.: Non, évidemment pas. Je ne suis même pas le seul qui se soit échappé vivant des griffes du Big Brother. Il y a actuellement aux États-Unis un ex-membre du Congrès de l’Idaho, du nom de George Hansen qui parle ouvertement de l’abus de pouvoir du Gouvernement U.S. Il voulut faire adopter certaines réformes fiscales qui ne plaisaient pas à l’élite. Il rédigea un livre sur ces faits, avec pour titre « To harass our People » (littéralement : « pour démoraliser notre peuple » )
Il lutta aussi contre la politique du Panama et se permit d’autres initiatives qui ne plaisaient pas à l’élite. Il fut également mis hors course par de fausses accusations et subit dans les geôles U.S. des tortures analogues aux miennes.
Mais dans son cas au moins, il y eut une procédure judiciaire officielle à l’issue de laquelle il fut déclaré innocent de toutes les accusations. On le nomme “Le plus célèbre prisonnier politique d’Amérique” et il tient des centaines de conférences et interviews.
Tout cela est également confirmé par des enquêtes officielles qui ont amené en 1992 la publication du livre « Cages of Steel – The Politics of Imprisonment in the United States » (Cages d’acier – la Politique de détention aux États-Unis), sous la signature de Ward Churchill et de Vander Wall. La conclusion de cet ouvrage affirme clairement qu’aux États-Unis, malgré les déclarations officielles, des citoyens américains subissent un emprisonnement pour des raisons politiques.
Ovni et loges secrètes
A.R. : Si dans le domaine de la politique et de la musique on fait preuve de tant d’oppression, pensez-vous qu’il soit possible que pour un thème marginal comme les OVNI, divers services secrets soient compétents et étouffent les vérités ?
M.B.W. : Évidemment ! Les OVNI et les Aliens existent, et on en est très conscient dans les sphères supérieures. C’est pourquoi, ce thème est aussi étouffé, travesti ou ridiculisé par la désinformation.
A.R. : D’où tirez-vous votre certitude ?
M.B.W. : Il faut avoir présent à l’esprit que ceux qui ont des positions clé en politique, dans l’Armée et dans les Universités constituent en eux-mêmes une sorte de société secrète, inaccessible à l’homme de la rue. Au sein de ces cercles élitistes, où j’évoluais aussi, ces choses là étaient connues de tout temps.
Il n’y a pas beaucoup de cachotteries dans ce domaine. Parmi les nombreux thèmes explosifs et actuels sur lesquels on s’entretenait, on évoquait aussi les OVNI écrasés, les aliens récupérés, les diverses observations, etc. Le black-out ne concerne pas tellement ces cercles, mais l’opinion publique générale. Je me rappelle que j’ai déjà entendu parler de ces choses à la fin des années 50, alors que je n’étais encore qu’un petit garçon. Mon oncle était un officier de haut-rang dans la U.S. Air Force. Notre famille fréquentait les Kennedy ; l’un de mes cousins était Gouverneur et occupe actuellement un poste de Sénateur. Le père de ma première femme était Charles Cavanaugh Murphy, l’un des hommes les plus riches d’Amérique, un auteur et journaliste influent, ainsi qu’un des organisateurs de la campagne électorale de Jimmy Carter. Moi-même, je travaillais déjà comme jeune homme, directement pour le candidat aux Présidentielles ; j’ai été au Vietnam, et j’ai connu beaucoup d’“Insiders” et de musiciens. C’est là qu’on apprend certaines choses que le citoyen moyen n’apprendra jamais par les mass-médias.
Pour moi, tous ces thèmes comme les OVNI ne représentent rien de particulier ; c’est pourquoi je ne m’intéresse pas spécialement à l’Ufologie. En ce qui me concerne, je n’ai plus besoin de faire des tas de recherches pour savoir si les OVNI existent ou non.
A.R. : Vous écrivez dans le préambule : « Je ne suis pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne se limitent pas à notre planète. Les composants astraux et extraterrestres ne doivent plus être pris à la légère de nos jours ».
On est encore loin de tout connaître sur les intrigues politiques secrètes, jusqu’à ce qu’on tienne également compte et accepte les composants astraux et extraterrestres. Qu’est-ce qui vous a amené à cette conviction ?
M.B.W. : À vrai dire, ce furent nos entretiens et les explications concrètes qui ont à présent aussi été publiées dans le livre « Mondes Invisibles » . En tant qu’enfant, déjà, je savais que les OVNI existent, j’ai vécu différentes expériences extrasensorielles et je me suis intéressé aux voyages astraux, à l’Ésotérisme, à Edgar Cayce, etc. Plus tard, j’ai également appris que dans certaines loges de haut grade, on pratiquait des rituels sadiques.
Après tous nos entretiens, je sais à présent qu’il s’agit là de rituels de magie noire, à l’aide desquels les puissants de cette Terre contactent des entités invisibles, non terrestres.
Le karma et l'avenir
A.R. : Comment êtes-vous arrivé à gérer toute cette connaissance et ces coups du sort ?
M.B.W. : Un autre que moi aurait depuis longtemps perdu la boule ou se serait jeté du haut d’un pont. Mais ce n’est pas là mon style. Je me bats pour la vérité.
A.R. : Croyez-vous à la loi du karma ?
M.B.W. : Oui, je sais que le karma et la réincarnation existent. Ce sont surtout les ouvrages d’Edgar Cayce qui m’ont appris beaucoup de choses là-dessus. Mais il est très difficile de voir clair dans son propre karma.
A.R. : Quel est le lien entre l’histoire de votre vie et le karma ?
M.B.W. : C’est la question que je me pose sans cesse.
A.R. : Malgré toutes ces informations, le peuple ne réagit pas ; oui, il vote même pour ces personnes, pour leur permettre d’accéder aux plus hautes fonctions. Cela ne vous décourage-t-il pas?
M.B.W. : Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je ne lutte pas pour la victoire mais pour la vérité. J’espère que la vérité finira par triompher, bien que ma propre vie pourrait fort bien prouver le contraire.
A.R.: Compte tenu de vos propos, l’avenir ne semble pas être très rose. Comment les individus qui connaissent ces interactions devraient-ils réagir ? Ils constituent finalement une minorité.
M.B.W.: En ce qui me concerne, je m’efforce d’aider les gens, en les informant, afin qu’ils puissent au moins se protéger contre les plus grands périls. Si je sais où les bombes vont tomber, je peux me tenir à distance du “Ground Zero”. En ce qui concerne l’humanité dans sa globalité, je ne crois pas qu’elle arrivera à échapper complètement aux puissances du Nouvel Ordre Mondial. Certains dynamiques sont en cours, mais à l’échelle individuelle ; c’est ainsi que je crois qu’on peut éviter et améliorer beaucoup de choses.
Extrait du préambule de Michael Boren Williams dans le livre d’Armin Risi, « Les Mondes Indivisibles – Entités astrales et extraterrestres dans les coulisses de l’Histoire du Monde ».
Ma vie peut servir de preuve, au fait, qu’il y a vraiment des puissances ténébreuses à l’œuvre dans ce monde, qui sont cyniques et sans scrupules. Derrière la façade de notre société, il se passe des choses incroyables. Ces expériences ont profondément changé ma vie. La confrontation avec les puissances démoniaques m’a incité à rechercher également les hommes positifs et divins. C’est ainsi que j’ai appris à connaître différentes personnes, qui m’ont ouvert de nouvelles perspectives et qui, durant ce “changement d’ère”, ont déjà tiré des conséquences pour elles-mêmes. Une personne à laquelle je pense tout particulièrement est Armin Risi, l’auteur de ce livre.
J’ai été très surpris d’apprendre que lui, et beaucoup d’autres personnes en Europe, ont déjà pris conscience de ces désagréables vérités secrètes. Armin, cependant, ne reste pas collé à ces choses, comme il le prouve dans ce livre. Dans ce contexte, il m’a raconté une histoire édifiante issue des écrits sacrés de l’Inde, une histoire qui m’a fortement impressionné :
« Le roi des éléphants alla se baigner un jour dans un lac. Alors qu’il se trouvait dans l’eau, un crocodile le mordit soudain à une de ses pattes et ne le lâcha plus. Une lutte s’engagea, mais à la longue, l’éléphant perdit ses forces, et dans un désespoir, il adressa une prière à Dieu, pour implorer son secours. C’est ainsi qu’il fut sauvé par une intervention divine ».
Pour interpréter correctement cette histoire, il faut savoir que les éléphants sont normalement beaucoup plus forts que les crocodiles. Mais le roi des éléphants s’est battu dans l’eau contre le crocodile, et là, le crocodile était plus fort parce qu’il se trouvait dans son propre élément. C’est pour cette raison que l’éléphant n’eut pas le dessus sur le crocodile, bien qu’il était plus fort que lui, de nature.
La morale de cette histoire est édifiante : si nous devons nous confronter aux puissances du Mal, nous sommes par nature dans une position plus forte, du fait que nous nous trouvons du côté de la vérité. Mais si nous tombons dans les eaux boueuses des puissances obscures, nous quittons notre propre élément et accédons à l’élément où les autres sont plus forts. C’est pour cette raison que j’ai cessé de combattre ces puissances démoniaques au sein de leur élément politique et judiciaire. Avec ma nouvelle famille, mes nouveaux amis et ma musique, j’essaie à présent de retourner dans l’élément naturel de l’âme, dans la dimension spirituelle de joie, de lumière, d’amour et de vérité.
C’est également la conclusion d’Armin Risi dans ce livre sur les puissances secrètes dans les coulisses de l’histoire mondiale. Mon histoire peut aider à souligner que ce qu’il décrit est authentique. Il y a des puissances négatives, et elles sont très actives et agressives de nos jours, mais il y a aussi des puissances bonnes et des puissances divines, et elles sont toutes décrites dans ce livre, d’une manière très convaincante.
Je dois reconnaître que je connais beaucoup d’aspects cachés de la politique et de l’économie, mais je n’avais pas conscience des facteurs invisibles à l’œuvre derrière ces processus terrestres. Je ne suis cependant pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne sont pas limitées à notre planète. Il ne faut pas sous-estimer aujourd’hui les composants astraux et extraterrestres.
Je sais, par exemple, que beaucoup de “grosses pointures” secrètes, mais aussi très en vue, sont plongées dans de sombres intrigues. Dans leurs cercles secrets, certains pratiquent même des rites sanglants où des hommes, et surtout des enfants sont sacrifiés. Dans de tels cercles, il y a même des “Suff Vidéos” qui circulent, dépeignant des scènes d’horreur. J’ai d’abord mis ces agissements sur le compte du sadisme et des perversions sexuelles de ces êtres, que je ne peux qualifier d’humains, mais uniquement de monstres. Les considérations exprimées dans ce livre soulignent cependant qu’il s’agit de bien plus encore. Nous avons à faire ici à des rituels, à des conjurations de magie noire, qui établissent un contact direct avec les mondes les plus obscurs. Cela rend toutes ces pratiques encore plus horribles. Dieu soit loué pourtant, il y a aussi d’innombrables mondes et êtres divins, et nous devons rechercher leur influence. Nous avons tous beaucoup à apprendre et nous devons élargir nos horizons. (...)
Michael Boren Williams Home Page
Source : MAGAZIN 2000 n° 136 – 02/99.
Le nouveau livre d’Armin Risi (“Unsichtbare Welten” - “Les Mondes Invisibles”) renferme un palpitant préambule d’un initié de pointe de la politique U.S, Michael Boren Williams. Dans ce préambule, il fait part de ses tragiques démêlés avec les puissances secrètes U.S.
Pour l’article qui va suivre, l’auteur Armin Risi, a contacté à nouveau Mr. Williams, et lui a demandé quelles perspectives il prévoyait au cours des prochaines années dans le domaine de la politique mondiale.
Qu’est-ce qui se cache là derrière et quelles en sont les prochaines étapes ?
Armin Risi : La situation politique mondiale va t-elle se calmer au cours des prochaines années ou va t-elle s’aggraver ?
Michael Boren Williams : Il ne faudrait pas nourrir l’illusion que nous aurons la paix et la liberté dans les prochains temps. Au contraire, il y a de grosses “pointures” qui rêvent d’un nouvel ordre mondial et qui travaillent depuis longtemps déjà à réaliser ce rêve. Ce plan est déjà très avancé et ces messieurs ne reculeront devant rien. Et j’affirme cela avec force, parce que j’ai pu le ressentir dans ma propre chair.
Les coulisses de l'histoire mondiale
A.R. : Avant d’en venir à votre propre histoire personnelle, je voudrais vous demander ce qu’est, en fait, ce “Nouvel Ordre Mondial” auquel on fait si souvent allusion.
M.B.W. : Ce concept est hautement officiel. Il s’est fait connaître au début des années 90 dans le domaine de la politique mondiale, lorsque le président U.S, George Bush en a, bizarrement, souvent parlé « new world order ». Ce concept est tellement officiel qu’il est même imprimé sur les billets de banque d’un dollar : Novus Ordo Seclorum. Cette expression latine signifie littéralement “Nouvel Ordre Mondial”. Comme cette expression figure directement sur un billet de banque de la Banque Fédérale de Réserve U.S, on peut en déduire que ce concept a déjà une histoire et ne constitue rien de nouveau.
Et de fait, il y a toute une idéologie derrière ce concept : le plan pour un Gouvernement Mondial Unique. De cette manière, il s’agit d’imposer un ordre mondial répondant aux idées de l’élite richissime et détentrice du pouvoir. Ce plan s’applique d’une manière globalement politique depuis l’ascension de l’Empire Britannique et a influencé, depuis deux siècles, pratiquement toutes les décisions importantes dans le domaine de la politique, de l’armée et de l’économie, surtout dans le domaine financier.
A.R. : Croyez-vous à la “théorie de la conspiration” ?
M.B.W. : Non, car il ne s’agit pas, ici, d’une conspiration dans le sens d’un coup monté, où tout est prévu jusque dans le moindre détail. On assiste plutôt à une action conjuguée d’intérêts communs.
Évolutions imminentes ?
A.R. : S’il est exact que toutes ces évolutions ne sont pas imprévisibles, c’est-à-dire des dynamiques aléatoires, quel serait alors la situation actuelle, selon le plan du Nouvel Ordre Mondial?
M.B.W. : Je pense, personnellement, que l’informatisation du monde au cours des quarante dernières années traduit la tentative de l’élite d’accroître son contrôle, car ce contrôle a quelque peu été affaibli par le progrès technologique, surtout par la communication. Le contrôle et la puissance sont dépendants de la surveillance du flux d’informations, comme cela a été démontré ouvertement par les régimes communistes. Le quadrillage informatique permet un contrôle mondial des informations et des hommes. Dans ce contexte, il faut mentionner des systèmes comme les code-barres, la suppression de l’argent liquide, l’identification par micro-processeur, etc.
Cette évolution dictatoriale débute apparemment d’une manière très inoffensive : internationalisation, restriction des libertés nationales et des droits personnels sous prétexte de globalisation, de “protection de l’environnement” ou de “sécurité nationale”. L’État fixe d’ores et déjà, intégralement, le programme scolaire des écoles, et exerce dorénavant toujours plus d’influence sur les familles. Ce ne sont là que quelques exemples sociopolitiques démontrant comment une idéologie bien précise se crée toujours plus de pouvoir.
A.R. : Quel genre d’idéologie est-ce ?
M.B.W. : C’est celle de puissants groupes d’intérêts — pour les appeler par leur nom — qui veulent visiblement devenir encore plus puissants. Parfois certains de leurs représentants apparaissent également sur le devant de la scène de la politique mondiale.
A.R. : Par exemple ?
M.B.W. : Eh bien , le plus célèbre propagateur du “ Nouvel Ordre Mondial” était incontestablement George Bush, l’ex-patron de la C.I.A. et ex-président U.S. Comme dit, il n’y a pas non plus fait un mystère, mais en a parlé publiquement à diverses reprises, même devant le Parlement et dans des discours au Peuple. Ce n’est pas un hasard si on connaît sa biographie et celle de son père. Ce dernier (Prescott Bush) était un richissime banquier avec une grande influence politique. C’est ainsi qu’il achemina des sommes d’argent considérables vers l’Europe, notamment vers le Troisième Reich, au cours de la Deuxième Guerre Mondiale. Il y eut même une enquête judiciaire à cet égard, où les preuves ne manquent pas. Mais cette enquête a très rapidement été arrêtée, non pas en raison d’un manque de preuves, mais en raison de preuves trop fracassantes. Tout cela a été décrit dans tous les détails par des auteurs à révélations, comme Tarpley et Chaitkin. Leur livre « The Unauthorized Biography » (La Biographie Interdite) se trouve dans ma Home Page. Ou encore : Joël Bainerman : The Crimes of a Président (les crimes d’un Président). Même si on ne lit que ces deux livres (et il y en a beaucoup d’autres encore), alors on se demande dans quel monde on vit, pour que de tels personnages puissent devenir des hommes d’état.
A.R. : Que savez-vous des deux fils de Bush ?
M.B.W. : L’un des fils se nomme exactement comme son père, George Herbert Walker Bush, et il vient juste d’être réélu au poste de Gouverneur du Texas. L’autre fils, Jeb Bush a été élu au poste de Gouverneur de la Floride au cours des mêmes élections. Les deux fils Bush dirigent donc maintenant 2 des 4 états U.S. les plus importants. On sait que le premier veut devenir Président des États-Unis en l’an 2000.
On m’a récemment appris que les deux frères présenteront éventuellement leur candidature simultanément, comme président et vice-président !
A.R. : Quelles seraient les conséquences d’une telle éventualité ?
M.B.W. : Celles que je viens d’évoquer.
A.R. : Et cela n’aurait pas lieu si quelqu’un d’autre prenait le relais de Clinton ?
M.B.W. : Si c’est malheureusement exact, seule une personne coopérant sans condition avec l’élite peut devenir président. Et si quelqu’un ne coopère pas, alors il est éliminé très rapidement comme John F. Kennedy, mais beaucoup d’autres encore qui ne sont pas devenus aussi célèbres, précisément parce qu’ils ont été éliminés auparavant. Mais le fait que les portes sont à présent grandes ouvertes au fils Bush qui montre qu’il sert et servira tout aussi fidèlement les intérêts de l’élite que son père. Ce n’est rien de nouveau pour moi car je sais cela depuis longtemps déjà, parce que je les connais personnellement. C’est pour cette raison aussi qu’ils se sont tellement acharnés sur moi.
Compositeur, musicien et homme politique de l'ombre
A.R. : Avec de telles déclarations, vous provoquez des questions sur le propre cheminement de votre vie. Qui êtes-vous ?
M.B.W. : Je suis originaire d’une famille riche et bien considérée, qui avait des liens avec la famille Kennedy. Le père de J.F.K., Joseph P. Kennedy, était souvent invité chez son grand-père maternel, Bernard Boren, car les deux étaient des catholiques originaires d’Irlande (et multi-millionnaires).
J’ai cependant suivi très tôt mes propres voies. Je n’avais pas encore 20 ans, lorsque je me suis rendu au Vietnam. J’étais déguisé en soldat, mais je n’étais pas un soldat de la guerre, j’étais un soldat de la vérité. J’étais actif, là-bas, comme journaliste et comme photographe, et j’ai risqué ma vie au front pour prouver et rendre public ce qui se passait réellement là-bas.
Lorsque je revins du Vietnam, et suivis des études universitaires, je fus contacté par des membres des Services Secrets qui voulurent s’assurer ma collaboration par des propositions alléchantes. Je jetai assez brutalement ces séducteurs dehors, ce qui ne m’attira évidemment pas de la sympathie des Services Secrets.
À cette époque, je démasquais aussi le Maire de Santa Monica (Californie) qui, secrètement, avait l’intention de prendre un arrêté livrant à la construction l’embarcadère historique de Santa Monica. Je pris l’initiative d’un référendum et mobilisais des célébrités d’Hollywood, comme Jane Fonda et Marlon Brando. L’embarcadère fut sauvé et a même été classé Monument Historique, et le maire, ainsi que toute son équipe, ont été relevés de leurs fonctions.
Dans cette affaire aussi, je n’ai pas spécialement attiré la sympathie des sphères supérieures.
A.R. : Comment êtes-vous parvenus jusqu’aux niveaux supérieurs de la Politique ?
M.B.W.: De par mes antécédents familiaux déjà, je suis entré en contact avec beaucoup d’initiés de la politique U.S. En même temps, j’étais musicien ainsi qu’un compositeur très productif. À partir de la fin des années 60, j’ai côtoyé beaucoup de stars de la musique pop, comme Donovan, Peter, Paul et Mary, David Bowie, Led Zeppelin, Eric Burdon et bien d’autres encore. Beaucoup d’entre eux m’ont acheté des chansons et les ont publiées sous leur propre nom. En 1971, je me suis rendu de Los Angeles à New York pour faire des enregistrements avec l’ex-Beatle John Lennon. Celui-ci n’était pas tout simplement le brave Beatle qui chantait “I wanna hold your hand” (“je voudrais tenir ta petite main”). C’était un chanteur féroce, sarcastique, comme un large public le sait à présent, car il y a peu, 4 CD contenant des enregistrements archivés de Lennon ont été publiés. On y entend Lennon critiquer nommément la CIA, taxer Rockefeller d’assassin ou traiter un juge alors célèbre de “bâtard”. Lorsqu’on entend de tels enregistrements, il ne faut pas se demander pourquoi John Lennon ne vit plus aujourd’hui.
En raison de tous ces contacts, j’ai été engagé pour écrire les discours et collecter des fonds pour le candidat à la Présidence George Mc Govern et j’ai travaillé directement avec l’organisateur de sa campagne Gary Hart. À l’époque, je n’avais que 22 ans. Je figurais sur la liste noire des Services Secrets en raison de mes activités politiques et révolutionnaires.
John Lennon
A.R. : Selon les déclarations officielles, le meurtre de John Lennon fut l’œuvre d’un déséquilibré isolé...
M.B.W. : C’est ce qu’on a également déclaré lors de l’assassinat de John F. Kennedy ! Je sais que les avocats de Lennon lui avaient conseillé de se tenir à l’écart de la scène musicale et politique, sinon sa vie serait en danger. Durant quelques années, John suivit ces conseils. Mais lorsqu’il publia “Double Fantasy” en 1980 et qu’il déclara clairement qu’il voulait à nouveau exercer une influence politique, on décida qu’il devait immédiatement être éliminé. Le 8 décembre 1980, il fut assassiné par un homme programmé par “Mind Control” (contrôle de l’esprit, ndt).
L’assassin était une marionnette tellement dépourvue de volonté qu’il ne songea même pas à s’enfuir, bien qu’il aurait eu l’occasion de le faire ; au lieu de cela, il attendit passivement que la police vienne l’arrêter.
A.R. : Pouvez-vous prouver que vous avez fait des enregistrements avec John Lennon ?
M.B.W. : Évidemment ! C’est maintenant seulement — 10 ans après que le FBI eut confisqué tous mes biens — qu’on m’a enfin retourné quelques-uns des enregistrements originaux. L’avocat en Californie, chez qui ces enregistrements sont en dépôt, avait reçu du FBI la consigne de ne rien restituer.
Le FBI a avoué par écrit à l’un de mes avocats, Marc A. Pembroke, qu’il avait confisqué mes biens, notamment des bandes magnétiques avec des enregistrements non publiés de Lennon. Je suis en mesure de communiquer ces documents, à tout moment, à toute personne intéressée.
Maintenant, enfin, après des années de lutte, je suis à nouveau en possession d’un certain nombre de ces bandes, à savoir des enregistrements originaux où John Lennon chante certaines de mes compositions. Mais comme la voix de Lennon est protégée par d’incontournables Copyrights, je ne peux pas publier ces enregistrements ? Ceux qui veulent en savoir et en entendre plus là-dessus, doivent visiter ma Home Page de musique.
L'ascension d'un initié
A.R. : George Mc Govern, qui s’était mesuré à Richard Nixon en 1972, a perdu cette bataille électorale. Plus tard, il s’est avéré que le Comité pour la réélection de Nixon avait à cette époque fait une incursion dans le quartier général de Mc Govern, dans l’immeuble du Watergate, pour y installer des appareils d’écoute. Ce fut l’origine du scandale de Watergate, de triste mémoire.
M.B.W. : Oui, on pourrait également dire beaucoup de choses sur cette affaire. On peut prendre connaissance des dessous de ce scandale dans des livres appropriés, mais malheureusement pas dans les livres d’histoire officiels.
Le manager de Mc Govern, Gary Hart, devint plus tard sénateur du Colorado, et était lui-même candidat à la Présidence en 1988. À cette occasion, il m’avait nommé pour écrire ses discours, pour collecter des fonds et pour m’occuper de sa promotion.
Cependant, selon les désirs des puissants hommes de l’Ombre, c’est George Bush, l’ex-directeur de la CIA, et vice-président en fonction, qui devait devenir le successeur de Ronald Reagan. Afin que cela puisse avoir lieu, le populaire Gary hart devait être éliminé de la joute électorale. Sous l’effet d’un piège, Gary Hart fut entraîné dans un scandale, et forcé à renoncer à sa candidature.
Je fus indigné par ces intrigues sordides et ramenai le Sénateur Hart dans la campagne électorale. Je commençai même à monter moi-même sur scène et à tenir des discours de campagne électorale. J’étais souvent invité à la télévision et dans les stations de radio où je livrai, sans détours, mes sentiments sur Bush et Cie à l’opinion publique. L’apogée en fut une confrontation publique avec le fils de Bush, George Bush Junior, le Gouverneur actuel du Texas. La joute oratoire fut humiliante pour le Junior.
Le "grand frère" cogne dur" !
M.B.W. : Peu de temps après, le 18 mars 1988, je fus assailli et kidnappé par un groupe spécial des Services Secrets, dans ma maison des Montagnes Rocheuses. Devant les yeux de ma fille de deux ans, Erin, et de ma femme qui était enceinte de 6 mois ; on me mit des menottes aux mains et aux pieds, on me jeta à terre et on me passa à tabac, pour me laisser à demi mort. En même temps, tous mes documents politiques et musicaux furent confisqués.
Pendant deux ans, on me traîna dans différentes prisons américaines et j’atterris dans des geôles aussi sinistres que le Métropolitain Correctionnal Center de Chicago (appelé encore “The Warhouse of Death”, en argot “L’entrepôt de la Mort”) et finalement au Marion Federal Penitentiary.
Ce que je vécus là-bas fut l’enfer. Parfois, j’étais assis à 7 étages sous le sol nu, dans des cellules spéciales pour prisonniers politiques. On me tortura et on m’humilia corporellement et psychiquement. J’ignore comment et pourquoi j’ai survécu ; c’était peut-être dû à ma volonté d’acier, au fait que j’étais connu ou tout simplement par la grâce de Dieu.
Lorsqu’on me libéra enfin, après deux ans de détention, on fit rapidement divorcer ma femme, avec le concours du FBI., jusqu’à ce jour, il n’y a pas eu de procédure judiciaire correcte dans cette affaire.
Mes deux ans passés dans le “ventre de la bête” (in the belly of the beast) ont ébranlé profondément toutes mes convictions et opinions antérieures. Le régime de George Bush et de ses alliés m’a pratiquement rendu la vie impossible aux États-Unis. Gary Hart était depuis longtemps déjà hors course et ne pouvait rien faire pour moi. Je me vis contraint de me rendre en exil, et c’est ainsi que je me “réincarnais” en Europe, en tant qu’individu isolé, qui avait tout perdu : famille, patrie, honneur, biens et aussi la santé.
On peut lire toute une histoire avec tous les détails légaux dans ma Home Page.
A.R. : Êtes-vous le seul à avoir connu ces épreuves ?
M.B.W.: Non, évidemment pas. Je ne suis même pas le seul qui se soit échappé vivant des griffes du Big Brother. Il y a actuellement aux États-Unis un ex-membre du Congrès de l’Idaho, du nom de George Hansen qui parle ouvertement de l’abus de pouvoir du Gouvernement U.S. Il voulut faire adopter certaines réformes fiscales qui ne plaisaient pas à l’élite. Il rédigea un livre sur ces faits, avec pour titre « To harass our People » (littéralement : « pour démoraliser notre peuple » )
Il lutta aussi contre la politique du Panama et se permit d’autres initiatives qui ne plaisaient pas à l’élite. Il fut également mis hors course par de fausses accusations et subit dans les geôles U.S. des tortures analogues aux miennes.
Mais dans son cas au moins, il y eut une procédure judiciaire officielle à l’issue de laquelle il fut déclaré innocent de toutes les accusations. On le nomme “Le plus célèbre prisonnier politique d’Amérique” et il tient des centaines de conférences et interviews.
Tout cela est également confirmé par des enquêtes officielles qui ont amené en 1992 la publication du livre « Cages of Steel – The Politics of Imprisonment in the United States » (Cages d’acier – la Politique de détention aux États-Unis), sous la signature de Ward Churchill et de Vander Wall. La conclusion de cet ouvrage affirme clairement qu’aux États-Unis, malgré les déclarations officielles, des citoyens américains subissent un emprisonnement pour des raisons politiques.
Ovni et loges secrètes
A.R. : Si dans le domaine de la politique et de la musique on fait preuve de tant d’oppression, pensez-vous qu’il soit possible que pour un thème marginal comme les OVNI, divers services secrets soient compétents et étouffent les vérités ?
M.B.W. : Évidemment ! Les OVNI et les Aliens existent, et on en est très conscient dans les sphères supérieures. C’est pourquoi, ce thème est aussi étouffé, travesti ou ridiculisé par la désinformation.
A.R. : D’où tirez-vous votre certitude ?
M.B.W. : Il faut avoir présent à l’esprit que ceux qui ont des positions clé en politique, dans l’Armée et dans les Universités constituent en eux-mêmes une sorte de société secrète, inaccessible à l’homme de la rue. Au sein de ces cercles élitistes, où j’évoluais aussi, ces choses là étaient connues de tout temps.
Il n’y a pas beaucoup de cachotteries dans ce domaine. Parmi les nombreux thèmes explosifs et actuels sur lesquels on s’entretenait, on évoquait aussi les OVNI écrasés, les aliens récupérés, les diverses observations, etc. Le black-out ne concerne pas tellement ces cercles, mais l’opinion publique générale. Je me rappelle que j’ai déjà entendu parler de ces choses à la fin des années 50, alors que je n’étais encore qu’un petit garçon. Mon oncle était un officier de haut-rang dans la U.S. Air Force. Notre famille fréquentait les Kennedy ; l’un de mes cousins était Gouverneur et occupe actuellement un poste de Sénateur. Le père de ma première femme était Charles Cavanaugh Murphy, l’un des hommes les plus riches d’Amérique, un auteur et journaliste influent, ainsi qu’un des organisateurs de la campagne électorale de Jimmy Carter. Moi-même, je travaillais déjà comme jeune homme, directement pour le candidat aux Présidentielles ; j’ai été au Vietnam, et j’ai connu beaucoup d’“Insiders” et de musiciens. C’est là qu’on apprend certaines choses que le citoyen moyen n’apprendra jamais par les mass-médias.
Pour moi, tous ces thèmes comme les OVNI ne représentent rien de particulier ; c’est pourquoi je ne m’intéresse pas spécialement à l’Ufologie. En ce qui me concerne, je n’ai plus besoin de faire des tas de recherches pour savoir si les OVNI existent ou non.
A.R. : Vous écrivez dans le préambule : « Je ne suis pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne se limitent pas à notre planète. Les composants astraux et extraterrestres ne doivent plus être pris à la légère de nos jours ».
On est encore loin de tout connaître sur les intrigues politiques secrètes, jusqu’à ce qu’on tienne également compte et accepte les composants astraux et extraterrestres. Qu’est-ce qui vous a amené à cette conviction ?
M.B.W. : À vrai dire, ce furent nos entretiens et les explications concrètes qui ont à présent aussi été publiées dans le livre « Mondes Invisibles » . En tant qu’enfant, déjà, je savais que les OVNI existent, j’ai vécu différentes expériences extrasensorielles et je me suis intéressé aux voyages astraux, à l’Ésotérisme, à Edgar Cayce, etc. Plus tard, j’ai également appris que dans certaines loges de haut grade, on pratiquait des rituels sadiques.
Après tous nos entretiens, je sais à présent qu’il s’agit là de rituels de magie noire, à l’aide desquels les puissants de cette Terre contactent des entités invisibles, non terrestres.
Le karma et l'avenir
A.R. : Comment êtes-vous arrivé à gérer toute cette connaissance et ces coups du sort ?
M.B.W. : Un autre que moi aurait depuis longtemps perdu la boule ou se serait jeté du haut d’un pont. Mais ce n’est pas là mon style. Je me bats pour la vérité.
A.R. : Croyez-vous à la loi du karma ?
M.B.W. : Oui, je sais que le karma et la réincarnation existent. Ce sont surtout les ouvrages d’Edgar Cayce qui m’ont appris beaucoup de choses là-dessus. Mais il est très difficile de voir clair dans son propre karma.
A.R. : Quel est le lien entre l’histoire de votre vie et le karma ?
M.B.W. : C’est la question que je me pose sans cesse.
A.R. : Malgré toutes ces informations, le peuple ne réagit pas ; oui, il vote même pour ces personnes, pour leur permettre d’accéder aux plus hautes fonctions. Cela ne vous décourage-t-il pas?
M.B.W. : Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je ne lutte pas pour la victoire mais pour la vérité. J’espère que la vérité finira par triompher, bien que ma propre vie pourrait fort bien prouver le contraire.
A.R.: Compte tenu de vos propos, l’avenir ne semble pas être très rose. Comment les individus qui connaissent ces interactions devraient-ils réagir ? Ils constituent finalement une minorité.
M.B.W.: En ce qui me concerne, je m’efforce d’aider les gens, en les informant, afin qu’ils puissent au moins se protéger contre les plus grands périls. Si je sais où les bombes vont tomber, je peux me tenir à distance du “Ground Zero”. En ce qui concerne l’humanité dans sa globalité, je ne crois pas qu’elle arrivera à échapper complètement aux puissances du Nouvel Ordre Mondial. Certains dynamiques sont en cours, mais à l’échelle individuelle ; c’est ainsi que je crois qu’on peut éviter et améliorer beaucoup de choses.
Extrait du préambule de Michael Boren Williams dans le livre d’Armin Risi, « Les Mondes Indivisibles – Entités astrales et extraterrestres dans les coulisses de l’Histoire du Monde ».
Ma vie peut servir de preuve, au fait, qu’il y a vraiment des puissances ténébreuses à l’œuvre dans ce monde, qui sont cyniques et sans scrupules. Derrière la façade de notre société, il se passe des choses incroyables. Ces expériences ont profondément changé ma vie. La confrontation avec les puissances démoniaques m’a incité à rechercher également les hommes positifs et divins. C’est ainsi que j’ai appris à connaître différentes personnes, qui m’ont ouvert de nouvelles perspectives et qui, durant ce “changement d’ère”, ont déjà tiré des conséquences pour elles-mêmes. Une personne à laquelle je pense tout particulièrement est Armin Risi, l’auteur de ce livre.
J’ai été très surpris d’apprendre que lui, et beaucoup d’autres personnes en Europe, ont déjà pris conscience de ces désagréables vérités secrètes. Armin, cependant, ne reste pas collé à ces choses, comme il le prouve dans ce livre. Dans ce contexte, il m’a raconté une histoire édifiante issue des écrits sacrés de l’Inde, une histoire qui m’a fortement impressionné :
« Le roi des éléphants alla se baigner un jour dans un lac. Alors qu’il se trouvait dans l’eau, un crocodile le mordit soudain à une de ses pattes et ne le lâcha plus. Une lutte s’engagea, mais à la longue, l’éléphant perdit ses forces, et dans un désespoir, il adressa une prière à Dieu, pour implorer son secours. C’est ainsi qu’il fut sauvé par une intervention divine ».
Pour interpréter correctement cette histoire, il faut savoir que les éléphants sont normalement beaucoup plus forts que les crocodiles. Mais le roi des éléphants s’est battu dans l’eau contre le crocodile, et là, le crocodile était plus fort parce qu’il se trouvait dans son propre élément. C’est pour cette raison que l’éléphant n’eut pas le dessus sur le crocodile, bien qu’il était plus fort que lui, de nature.
La morale de cette histoire est édifiante : si nous devons nous confronter aux puissances du Mal, nous sommes par nature dans une position plus forte, du fait que nous nous trouvons du côté de la vérité. Mais si nous tombons dans les eaux boueuses des puissances obscures, nous quittons notre propre élément et accédons à l’élément où les autres sont plus forts. C’est pour cette raison que j’ai cessé de combattre ces puissances démoniaques au sein de leur élément politique et judiciaire. Avec ma nouvelle famille, mes nouveaux amis et ma musique, j’essaie à présent de retourner dans l’élément naturel de l’âme, dans la dimension spirituelle de joie, de lumière, d’amour et de vérité.
C’est également la conclusion d’Armin Risi dans ce livre sur les puissances secrètes dans les coulisses de l’histoire mondiale. Mon histoire peut aider à souligner que ce qu’il décrit est authentique. Il y a des puissances négatives, et elles sont très actives et agressives de nos jours, mais il y a aussi des puissances bonnes et des puissances divines, et elles sont toutes décrites dans ce livre, d’une manière très convaincante.
Je dois reconnaître que je connais beaucoup d’aspects cachés de la politique et de l’économie, mais je n’avais pas conscience des facteurs invisibles à l’œuvre derrière ces processus terrestres. Je ne suis cependant pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne sont pas limitées à notre planète. Il ne faut pas sous-estimer aujourd’hui les composants astraux et extraterrestres.
Je sais, par exemple, que beaucoup de “grosses pointures” secrètes, mais aussi très en vue, sont plongées dans de sombres intrigues. Dans leurs cercles secrets, certains pratiquent même des rites sanglants où des hommes, et surtout des enfants sont sacrifiés. Dans de tels cercles, il y a même des “Suff Vidéos” qui circulent, dépeignant des scènes d’horreur. J’ai d’abord mis ces agissements sur le compte du sadisme et des perversions sexuelles de ces êtres, que je ne peux qualifier d’humains, mais uniquement de monstres. Les considérations exprimées dans ce livre soulignent cependant qu’il s’agit de bien plus encore. Nous avons à faire ici à des rituels, à des conjurations de magie noire, qui établissent un contact direct avec les mondes les plus obscurs. Cela rend toutes ces pratiques encore plus horribles. Dieu soit loué pourtant, il y a aussi d’innombrables mondes et êtres divins, et nous devons rechercher leur influence. Nous avons tous beaucoup à apprendre et nous devons élargir nos horizons. (...)
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