09 juin 2007
Le procès en "sectellerie" lancé à l'encontre de la France en Action
le mécanisme de la peur est actionné...
Article : "M. Fenech (UMP) dénonce la présence de sectes derrière "La France en action".
La "France en action" présente 475 candidats aux législatives. Le député UMP, Georges Fenech, président de la commission d'enquête parlementaire sur les sectes, a expliqué jeudi que FEA "est l'émanation de plusieurs mouvements sectaires".
Sur quoi se base-t-il pour affirmer cela ? Sur la présence parmi ces 475 candidats de huit personnes qui auraient des attaches avec des mouvements classés parmi les sectes. 8 sur 475 !!! Est-il démontré que ces personnes ont commis des actes tombant sous le coup de la loi ? Bien sûr que non. Il n'est pas même question de suspicion de tels faits à leur encontre.
Par ailleurs ne peut-on en France fréquenter un groupe étiquetté secte et comme n'importe quel citoyen se présenter à une élection dès lors que les idées du mouvement pour lequel vous vous alignez sont proches des vôtres ?
Et un mouvement qui lance un appel à la population pour le représenter lors d'une élection doit-il être automatiquement soupçonné de rouler pour une/des sectes au motif que quelques-uns des citoyens qui ont fait suite à sa proposition entretiennent dans leur vie privée des contacts avec un groupe classé secte par la commission d'enquête parlementaire sur les sectes ? Que de discriminations en puissance derrière ce procès en "sectellerie" !
Mais le simple fait de dire qu'il sont proches de certains groupements pâtissant d'une "mauvaise" réputation suffit à jeter l'opprobe et le doute sur l'ensemble des gens investis dans ce mouvement et qui pour la plupart d'entre eux sont des gens au moins aussi honnêtes que leurs homologues des autres partis politiques. Je vous laisse imaginer le choc éprouvé par ces personnes de totale bonne foi et qui du jour au lendemain se voit mêlées à des affaires de secte. Bonjour l'effet sur les proches !
Et pour finir, M. Fenech déplore la présence de ces partis qui ne viennent que pour ramasser de l'argent au profit de sectes. Pas le moindre commencement là encore d'un soupçon de relation entre FEA et des sectes qui en ponctionneraient les subsides trop dénéreusement accordés par l'Etat. Juste des allégations aucunement circonstanciées.
Autrement dit EN L'ÉTAT ACTUEL, le dossier qui est présenté à la presse est creux, vide.
Nous sommes là en présence d'une entreprise de démolition de la réputation d'une petite organisation politique qui semble faire de l'ombre à certains. Un procédé rodé, activé chaque fois qu'il faut couper les ailes aux impudents qui veulent se mêler d'un peu trop prèt et avec un peu trop de succès.
But recherché : manipuler les citoyens par la peur ...
Voici un lien vers une émission radio où M.Fenech s'est fait piégé.
http://www.onnouscachetout.com/telechargements/Sud_Radio_08-06-2007_20-heures.mp3
Christian Cotten écrit :
Communiqué de presse - Législatives 2007 - 8 juin 2007.
M. Georges Fenech, député UMP du Rhône, dénonce « les sectes »
derrière les
candidats de La France en Action.
Pour mieux cacher ses propres crimes et délits de
député-magistrat-gangster ?
Christian Cotten, candidat de la France en Action (Hauts de Seine),
Président
de Politique de Vie, écrivain, psychosociologue.
Thierry Bécourt, candidat de la France en Action (Nord), membre du
bureau de
Politique de Vie, Président de Cap-Lc, enseignant.
Smaïn Bedrouni, candidat de la France En Action (Seine-Saint-Denis),
membre
du bureau de Politique de Vie, journaliste indépendant.
L'Agence France-Presse fait connaître ce jour un communiqué du
député Georges
Fenech, qui agresse de façon particulièrement ignoble les 475
candidats du
parti politique La France En Action (FEA) qui serait l'émanation de
plusieurs
mouvements sectaires.
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-31197194@7-354,0.html
Ainsi, Thierry Bécourt, militant de la liberté de conscience, est
affublé de
l'étiquette supposée infâmante de scientologue, Christian Cotten,
faussement
désigné comme président de l'Omnium des Libertés, serait
représentant d'un
syndicat des sectes, quand ils sont l'un et l'autre candidats pour la
France En
Action. M. Fenech ajoute qu'il s'agit d'une pompe à fric et d'une
manière de
s'attaquer à tous ceux qui luttent contre les mouvements sectaires.
Outre leur caractère diffamatoire, les propos de M. Fenech sont
constitutifs
d'un délit de discrimination mis en oeuvre par un représentant de
l'État à
l'égard de membres réels ou supposés de minorités spirituelles,
délits condamnés
régulièrement par la Cour Européenne des Droits de l'Homme ou les
Tribunaux
français.
Bien évidemment, ni Thierry Bécourt ni Christian Cotten ni Smaïn
Bedrouni ne
sont scientologues : ils assument simplement leurs rôles de citoyens,
face à
des atteintes majeures à la liberté de conscience et à l'ordre
public mises en
oeuvre par les fanatiques de la chasse aux sectes, qui s'inquiètent de
la
montée en puissance de trop d'intelligences vives de ce pays dans le
champ clos de
la politique.
Le plus surprenant, dans les propos de M. Fenech, est qu'ils émanent
d'un des
personnages les plus troubles de l'histoire cachée de la Vème
République,
impliqué lui-même dans plusieurs affaires criminelles ou
délictueuses qui
justifient amplement d'attribuer à ce magistrat devenu député le
qualificatif de
gangster de la République. Il devient aujourd'hui une honte pour le
corps tout
entier de la magistrature, qu'il déshonore de façon manifeste. Nous
assumons
pleinement toutes les conséquences de ces deux phrases. Pour mémoire,
nous
rappellerons aux journalistes et aux électeurs les faits suivants.
Le 9 décembre 98, le ministère de la Justice précise que la tenue de
propos à
connotation antisémite dans la revue que dirige M. Fenech en tant que
président de l'APM (Association Professionnelle des Magistrats,
classée
extrême-droite, ndr) et les interrogations que suscite, au regard de
la magistrature, sa
participation à une mission non officielle d'observation des
élections
présidentielles gabonaises ont convaincu Mme le Garde des Sceaux de
retirer sa
proposition (de nomination à un poste de premier juge d'instruction à
Paris).
Après avoir été reconnu coupable (mais non sanctionné par ses
collègues) des
propos antisémites publiés dans sa revue, M. Fenech sera ensuite
impliqué en
2000 dans l'affaire de l'Angolate Gate : M. Georges Fenech avait reçu
en 97 des
trafiquants d'armes Arcadi Gaydamak et Pierre Falcone un soutien
financier
significatif pour sa revue de l'APM (dissoute depuis). M. Georges
Fenech sera
mis en examen pour ce recel d'abus de biens sociaux. Son souci actuel,
qui peut
expliquer pour partie ses récentes agressions à l'égard de la France
en Action
et de militants des droits de l'homme : M. Fenech vient d'être
convoqué pour
cette affaire, en même temps que Charles Pasqua, Jean-Christophe
Mitterrand,
Falcone, Gaydamak, Paul-Loup Sultizer, Jacques Attali, Jean-Charles
Marchiani
et Bernard Guillet devant le tribunal correctionnel pour un procès qui
risque
d'être très délicat pour nombre de personnes (courant 2008).
Mais il y a beaucoup plus grave. Le 17 septembre 92, M. Fenech, 6ème
juge
d'instruction dans le dossier, prononçait un non-lieu après 17 ans
d'enquête sur
l'assassinat du juge François Renaud. Ce premier juge assassiné dans
l'histoire de la Vème République avait découvert les auteurs et les
commanditaires du
célèbre casse de Strasbourg du 30 juin 71 : les responsables lyonnais
du SAC,
chargés d'alimenter les caisses du parti gaulliste de l'époque,
ancêtre du RPR.
Pour être remonté jusqu'aux commanditaires du casse, le juge Renaud
sera
assassiné. Et M. Georges Fenech, fidèle serviteur du parti en
question, refermera
le dossier de l'assassinat du juge, alors que tout permettait
d'identifier et
d'arrêter les auteurs. M. Georges Fenech, magistrat, commettait là un
acte que
tous les professionnels connaissent, de complicité active avec les
auteurs
d'un crime.
Cerise sur le gâteau, qui justifie une seconde fois notre qualificatif
de
gangster d'État attribué à ce magistrat : M. George Fenech fait
très directement
partie du groupe d'acteurs rémunérés par l'État pour protéger
activement les
meurtriers des 74 victimes de l'Ordre du Temple Solaire sauvagement
assassinés
en France et en Suisse entre 94 et 95.
Autrement dit, nous affirmons que M. Georges Fenech, magistrat et
candidat
UMP aux législatives du 10 juin 2007, grand pourfendeur des sectes,
est un des
complices actifs du réseau multidimensionnel des assassins et
commanditaires du
crime d'État de l'OTS, comme cela a été démontré par nos soins
lors du procès
en appel qui s'est tenu à Grenoble pour cette affaire en octobre 2006.
M. Georges Fenech sait que nombre des candidats de la France En Action
sont
parfaitement informés de ces faits criminels. M. Georges Fenech sait
pertinemment que Politique de Vie, qui travaille activement sur un
certain nombre de
dossiers criminels de corruption politico-judiciaire et s'est associée
à la FEA
animée par Jean-Marc Governatori pour les élections législatives, ne
lâchera
pas les criminels de l'OTS et agira aussi longtemps que nécessaire
pour que ce
crime d'État, qui justifie et fonde aux yeux de l'opinion publique
savamment
manipulée depuis 95 une chasse aux sectes ignoble, soit jugé pour ce
qu'il est :
le résultat d'une culture politique qui mélange au quotidien grands
acteurs
politiques, mafia des armes et des drogues et tueurs d'État.
L'on comprend mieux pourquoi M. Fenech éprouve le besoin de dénoncer
La
France en Action comme le parti des sectes : nous sommes fiers d'agir
pour l'éveil
des consciences, en toute liberté et dans le respect des piliers de la
République que sont ses valeurs fondatrices de Liberté, Égalité et
Fraternité. Le
temps des mensonges d'État est révolu.
Christian Cotten, Thierry Bécourt et Smaïn Bedrouni.
Texte publié sur : http://www.politiquedevie.net
Merci de publier et faire circuler le plus largement et rapidement
possible.
Merci enfin de voter et faire voter dimanche 10 juin pour tous les 475
candidats de La France En Action.
http://www.lafranceenaction.com
Article : "M. Fenech (UMP) dénonce la présence de sectes derrière "La France en action".
La "France en action" présente 475 candidats aux législatives. Le député UMP, Georges Fenech, président de la commission d'enquête parlementaire sur les sectes, a expliqué jeudi que FEA "est l'émanation de plusieurs mouvements sectaires".
Sur quoi se base-t-il pour affirmer cela ? Sur la présence parmi ces 475 candidats de huit personnes qui auraient des attaches avec des mouvements classés parmi les sectes. 8 sur 475 !!! Est-il démontré que ces personnes ont commis des actes tombant sous le coup de la loi ? Bien sûr que non. Il n'est pas même question de suspicion de tels faits à leur encontre.
Par ailleurs ne peut-on en France fréquenter un groupe étiquetté secte et comme n'importe quel citoyen se présenter à une élection dès lors que les idées du mouvement pour lequel vous vous alignez sont proches des vôtres ?
Et un mouvement qui lance un appel à la population pour le représenter lors d'une élection doit-il être automatiquement soupçonné de rouler pour une/des sectes au motif que quelques-uns des citoyens qui ont fait suite à sa proposition entretiennent dans leur vie privée des contacts avec un groupe classé secte par la commission d'enquête parlementaire sur les sectes ? Que de discriminations en puissance derrière ce procès en "sectellerie" !
Mais le simple fait de dire qu'il sont proches de certains groupements pâtissant d'une "mauvaise" réputation suffit à jeter l'opprobe et le doute sur l'ensemble des gens investis dans ce mouvement et qui pour la plupart d'entre eux sont des gens au moins aussi honnêtes que leurs homologues des autres partis politiques. Je vous laisse imaginer le choc éprouvé par ces personnes de totale bonne foi et qui du jour au lendemain se voit mêlées à des affaires de secte. Bonjour l'effet sur les proches !
Et pour finir, M. Fenech déplore la présence de ces partis qui ne viennent que pour ramasser de l'argent au profit de sectes. Pas le moindre commencement là encore d'un soupçon de relation entre FEA et des sectes qui en ponctionneraient les subsides trop dénéreusement accordés par l'Etat. Juste des allégations aucunement circonstanciées.
Autrement dit EN L'ÉTAT ACTUEL, le dossier qui est présenté à la presse est creux, vide.
Nous sommes là en présence d'une entreprise de démolition de la réputation d'une petite organisation politique qui semble faire de l'ombre à certains. Un procédé rodé, activé chaque fois qu'il faut couper les ailes aux impudents qui veulent se mêler d'un peu trop prèt et avec un peu trop de succès.
But recherché : manipuler les citoyens par la peur ...
Voici un lien vers une émission radio où M.Fenech s'est fait piégé.
http://www.onnouscachetout.com/telechargements/Sud_Radio_08-06-2007_20-heures.mp3
Christian Cotten écrit :
Communiqué de presse - Législatives 2007 - 8 juin 2007.
M. Georges Fenech, député UMP du Rhône, dénonce « les sectes »
derrière les
candidats de La France en Action.
Pour mieux cacher ses propres crimes et délits de
député-magistrat-gangster ?
Christian Cotten, candidat de la France en Action (Hauts de Seine),
Président
de Politique de Vie, écrivain, psychosociologue.
Thierry Bécourt, candidat de la France en Action (Nord), membre du
bureau de
Politique de Vie, Président de Cap-Lc, enseignant.
Smaïn Bedrouni, candidat de la France En Action (Seine-Saint-Denis),
membre
du bureau de Politique de Vie, journaliste indépendant.
L'Agence France-Presse fait connaître ce jour un communiqué du
député Georges
Fenech, qui agresse de façon particulièrement ignoble les 475
candidats du
parti politique La France En Action (FEA) qui serait l'émanation de
plusieurs
mouvements sectaires.
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-31197194@7-354,0.html
Ainsi, Thierry Bécourt, militant de la liberté de conscience, est
affublé de
l'étiquette supposée infâmante de scientologue, Christian Cotten,
faussement
désigné comme président de l'Omnium des Libertés, serait
représentant d'un
syndicat des sectes, quand ils sont l'un et l'autre candidats pour la
France En
Action. M. Fenech ajoute qu'il s'agit d'une pompe à fric et d'une
manière de
s'attaquer à tous ceux qui luttent contre les mouvements sectaires.
Outre leur caractère diffamatoire, les propos de M. Fenech sont
constitutifs
d'un délit de discrimination mis en oeuvre par un représentant de
l'État à
l'égard de membres réels ou supposés de minorités spirituelles,
délits condamnés
régulièrement par la Cour Européenne des Droits de l'Homme ou les
Tribunaux
français.
Bien évidemment, ni Thierry Bécourt ni Christian Cotten ni Smaïn
Bedrouni ne
sont scientologues : ils assument simplement leurs rôles de citoyens,
face à
des atteintes majeures à la liberté de conscience et à l'ordre
public mises en
oeuvre par les fanatiques de la chasse aux sectes, qui s'inquiètent de
la
montée en puissance de trop d'intelligences vives de ce pays dans le
champ clos de
la politique.
Le plus surprenant, dans les propos de M. Fenech, est qu'ils émanent
d'un des
personnages les plus troubles de l'histoire cachée de la Vème
République,
impliqué lui-même dans plusieurs affaires criminelles ou
délictueuses qui
justifient amplement d'attribuer à ce magistrat devenu député le
qualificatif de
gangster de la République. Il devient aujourd'hui une honte pour le
corps tout
entier de la magistrature, qu'il déshonore de façon manifeste. Nous
assumons
pleinement toutes les conséquences de ces deux phrases. Pour mémoire,
nous
rappellerons aux journalistes et aux électeurs les faits suivants.
Le 9 décembre 98, le ministère de la Justice précise que la tenue de
propos à
connotation antisémite dans la revue que dirige M. Fenech en tant que
président de l'APM (Association Professionnelle des Magistrats,
classée
extrême-droite, ndr) et les interrogations que suscite, au regard de
la magistrature, sa
participation à une mission non officielle d'observation des
élections
présidentielles gabonaises ont convaincu Mme le Garde des Sceaux de
retirer sa
proposition (de nomination à un poste de premier juge d'instruction à
Paris).
Après avoir été reconnu coupable (mais non sanctionné par ses
collègues) des
propos antisémites publiés dans sa revue, M. Fenech sera ensuite
impliqué en
2000 dans l'affaire de l'Angolate Gate : M. Georges Fenech avait reçu
en 97 des
trafiquants d'armes Arcadi Gaydamak et Pierre Falcone un soutien
financier
significatif pour sa revue de l'APM (dissoute depuis). M. Georges
Fenech sera
mis en examen pour ce recel d'abus de biens sociaux. Son souci actuel,
qui peut
expliquer pour partie ses récentes agressions à l'égard de la France
en Action
et de militants des droits de l'homme : M. Fenech vient d'être
convoqué pour
cette affaire, en même temps que Charles Pasqua, Jean-Christophe
Mitterrand,
Falcone, Gaydamak, Paul-Loup Sultizer, Jacques Attali, Jean-Charles
Marchiani
et Bernard Guillet devant le tribunal correctionnel pour un procès qui
risque
d'être très délicat pour nombre de personnes (courant 2008).
Mais il y a beaucoup plus grave. Le 17 septembre 92, M. Fenech, 6ème
juge
d'instruction dans le dossier, prononçait un non-lieu après 17 ans
d'enquête sur
l'assassinat du juge François Renaud. Ce premier juge assassiné dans
l'histoire de la Vème République avait découvert les auteurs et les
commanditaires du
célèbre casse de Strasbourg du 30 juin 71 : les responsables lyonnais
du SAC,
chargés d'alimenter les caisses du parti gaulliste de l'époque,
ancêtre du RPR.
Pour être remonté jusqu'aux commanditaires du casse, le juge Renaud
sera
assassiné. Et M. Georges Fenech, fidèle serviteur du parti en
question, refermera
le dossier de l'assassinat du juge, alors que tout permettait
d'identifier et
d'arrêter les auteurs. M. Georges Fenech, magistrat, commettait là un
acte que
tous les professionnels connaissent, de complicité active avec les
auteurs
d'un crime.
Cerise sur le gâteau, qui justifie une seconde fois notre qualificatif
de
gangster d'État attribué à ce magistrat : M. George Fenech fait
très directement
partie du groupe d'acteurs rémunérés par l'État pour protéger
activement les
meurtriers des 74 victimes de l'Ordre du Temple Solaire sauvagement
assassinés
en France et en Suisse entre 94 et 95.
Autrement dit, nous affirmons que M. Georges Fenech, magistrat et
candidat
UMP aux législatives du 10 juin 2007, grand pourfendeur des sectes,
est un des
complices actifs du réseau multidimensionnel des assassins et
commanditaires du
crime d'État de l'OTS, comme cela a été démontré par nos soins
lors du procès
en appel qui s'est tenu à Grenoble pour cette affaire en octobre 2006.
M. Georges Fenech sait que nombre des candidats de la France En Action
sont
parfaitement informés de ces faits criminels. M. Georges Fenech sait
pertinemment que Politique de Vie, qui travaille activement sur un
certain nombre de
dossiers criminels de corruption politico-judiciaire et s'est associée
à la FEA
animée par Jean-Marc Governatori pour les élections législatives, ne
lâchera
pas les criminels de l'OTS et agira aussi longtemps que nécessaire
pour que ce
crime d'État, qui justifie et fonde aux yeux de l'opinion publique
savamment
manipulée depuis 95 une chasse aux sectes ignoble, soit jugé pour ce
qu'il est :
le résultat d'une culture politique qui mélange au quotidien grands
acteurs
politiques, mafia des armes et des drogues et tueurs d'État.
L'on comprend mieux pourquoi M. Fenech éprouve le besoin de dénoncer
La
France en Action comme le parti des sectes : nous sommes fiers d'agir
pour l'éveil
des consciences, en toute liberté et dans le respect des piliers de la
République que sont ses valeurs fondatrices de Liberté, Égalité et
Fraternité. Le
temps des mensonges d'État est révolu.
Christian Cotten, Thierry Bécourt et Smaïn Bedrouni.
Texte publié sur : http://www.politiquedevie.net
Merci de publier et faire circuler le plus largement et rapidement
possible.
Merci enfin de voter et faire voter dimanche 10 juin pour tous les 475
candidats de La France En Action.
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