29 août 2007
Dassault et la liberté de la presse
Edifiant !
Durée 4mn28
Durée 4mn28
Jimmy Walter et atmoh
Tour d'horizon sur l'agenda de Bush et consort...
Durée 17mn53
Durée 17mn53
Colonisation vue par sarkozy
Discours de N.Sarkozy à Dakkar entrecoupé d'extrait d'un documentaire des années 50 de René Vautier.
Ce doc. était une simple commande de la Ligue de l'enseignement destinée à mettre en valeur la mission éducative de la France dans ses colonies. Sur place, il décide de témoigner d'une réalité non commandée, le film sera interdit pendant plus de quarante ans. Ce sera le premier film anticolonialiste français, chef-d’œuvre du cinéma engagé, qui lui vaudra 13 inculpations et une condamnation de prison, son co-inculpé est Félix Houphouët-Boigny. Il s'agit une condamnation en violation du décret Pierre Laval (Ministre des colonies) de 1934 et Vautier est mis en prison militaire à Saint-Maixent, puis à Niederlahnstein en zone française d’occupation allemande. Il sort en juin 1952...
Je tâcherais de mettre en ligne ce documentaire bientôt...
Durée 4mn29
Ce doc. était une simple commande de la Ligue de l'enseignement destinée à mettre en valeur la mission éducative de la France dans ses colonies. Sur place, il décide de témoigner d'une réalité non commandée, le film sera interdit pendant plus de quarante ans. Ce sera le premier film anticolonialiste français, chef-d’œuvre du cinéma engagé, qui lui vaudra 13 inculpations et une condamnation de prison, son co-inculpé est Félix Houphouët-Boigny. Il s'agit une condamnation en violation du décret Pierre Laval (Ministre des colonies) de 1934 et Vautier est mis en prison militaire à Saint-Maixent, puis à Niederlahnstein en zone française d’occupation allemande. Il sort en juin 1952...
Je tâcherais de mettre en ligne ce documentaire bientôt...
Durée 4mn29
28 août 2007
La vérité sur un tour de magie
...marrant, un tour de magie dévoilé.
belle prouesse.
Durée 3mn22
belle prouesse.
Durée 3mn22
The voice
Ecoutez ma voix...
... vous dormez...
En anglais - durée 1mn36
... vous dormez...
En anglais - durée 1mn36
One Nation Under Siege
9/11 was only the tip of the iceberg! From documentary filmmaker William Lewis comes a bone chilling documentary on the spying, tracking ... Tout » and control of the American public.
En anglais - Durée 1h27
En anglais - Durée 1h27
Scrap the SPP
Durée 2mn49
600 personnes nues...
600 personnes nues photographiées par Spencer Tunick pour dénoncer les changements climatique.
Par Greenpeace France, lundi 20 août 2007 à 12:37 :: Jour après jour
Pour dénoncer les changements climatiques qui provoquent la fonte des glaces alpines, près de 600 volontaires ont posé nus, samedi 17 août, devant l’œil du photographe américain Spencer Tunick au pied du d’Aletsch.
Durée 2mn
Durant les 150 dernières années, les glaciers alpins ont perdu près du tiers de leur surface et près de la moitié de leur masses, sous l’effet des changements climatiques. Le glacier suisse d’Aletsch, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, a reculé de près de 115 mètres entre 2005 et 2006.
Connu pour ses photographies de foules nues dans des lieux publics, Spencer Tunick s’est associé à Greenpeace pour attirer l’attention du public sur la fonte des glaciers. La mise en scène au glacier d’Aletsch symbolise la vulnérabilité des glaciers en train de fondre. « Avec l’environnement, c’est aussi l’homme qui est menacé par les changements climatiques, note Karine Gavand, responsable de la campagne Climat de Greenpeace France. L’œuvre de Spencer Tunick doit nous mettre en garde : l’artiste nous montre à quel point l’avenir de l’homme est lié à celui de la planète et nous rappelle qu’il est urgent d’agir. »
Samedi 17 août, six cents hommes et femmes se sont dévêtus sous un ciel bleu et par une température fraîche. Spencer Tunick les a divisés en deux groupes pour des prises séparées au pied d’une spectaculaire coulée de glace, à une altitude de 2 300 mètres. Dans ses précédentes oeuvres, Spencer Tunick, qui décrit ses modèles comme des « sculptures vivantes », avait fait poser ceux-ci devant la Biennale à Lyon (2005), sur un pont à Cleveland (Ohio) ou dans une station de métro à New York (2003). Environ 18 000 personnes nues ont posé pour lui sur la place Zocalo de Mexico en mai dernier. « Mes photos doivent émouvoir le spectateur. Il doit se sentir touché dans son existence d’individu », affirme l’artiste.
Par Greenpeace France, lundi 20 août 2007 à 12:37 :: Jour après jour
Pour dénoncer les changements climatiques qui provoquent la fonte des glaces alpines, près de 600 volontaires ont posé nus, samedi 17 août, devant l’œil du photographe américain Spencer Tunick au pied du d’Aletsch.
Durée 2mn
Durant les 150 dernières années, les glaciers alpins ont perdu près du tiers de leur surface et près de la moitié de leur masses, sous l’effet des changements climatiques. Le glacier suisse d’Aletsch, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, a reculé de près de 115 mètres entre 2005 et 2006.
Connu pour ses photographies de foules nues dans des lieux publics, Spencer Tunick s’est associé à Greenpeace pour attirer l’attention du public sur la fonte des glaciers. La mise en scène au glacier d’Aletsch symbolise la vulnérabilité des glaciers en train de fondre. « Avec l’environnement, c’est aussi l’homme qui est menacé par les changements climatiques, note Karine Gavand, responsable de la campagne Climat de Greenpeace France. L’œuvre de Spencer Tunick doit nous mettre en garde : l’artiste nous montre à quel point l’avenir de l’homme est lié à celui de la planète et nous rappelle qu’il est urgent d’agir. »
Samedi 17 août, six cents hommes et femmes se sont dévêtus sous un ciel bleu et par une température fraîche. Spencer Tunick les a divisés en deux groupes pour des prises séparées au pied d’une spectaculaire coulée de glace, à une altitude de 2 300 mètres. Dans ses précédentes oeuvres, Spencer Tunick, qui décrit ses modèles comme des « sculptures vivantes », avait fait poser ceux-ci devant la Biennale à Lyon (2005), sur un pont à Cleveland (Ohio) ou dans une station de métro à New York (2003). Environ 18 000 personnes nues ont posé pour lui sur la place Zocalo de Mexico en mai dernier. « Mes photos doivent émouvoir le spectateur. Il doit se sentir touché dans son existence d’individu », affirme l’artiste.
27 août 2007
Le réchauffement n'est plus ce qu'il était...
tiré de la revue de presse de courrier international :
http://www.courrierinternational.fr/article.asp?obj_id=76716
CLIMAT • Le réchauffement n'est plus ce qu'il était
Le réchauffement climatique est-il une réalité... même s'il fait froid en août ? Dans la presse internationale, le débat n'est pas clos. On trouve toujours de subtils opposants à ce qui, pour beaucoup, est désormais une évidence.
Rien n'est moins sûr que ce fameux réchauffement climatique dont on nous parle tant et dont on ne sait en fait rien : c'est à peu près ce que voudraient faire croire un certain nombre de scientifiques, d'intellectuels ou d'industriels, souvent très marqués à droite, qui s'expriment dans des médias très, très conservateurs, comme The Washington Times, qui est connu pour ses positions pro-Bush. Les techniques de ces contestataires sont assez simples : en premier lieu, semer le doute sur les résultats scientifiques.
Prenez l'année la plus chaude du siècle. Tous ceux qui ont suivi le sujet vous répondront en chœur : 2006. Les chiffres ont été confirmés par la très sérieuse NASA en janvier 2007, aucune raison d'en douter. Sauf, explique le Washington Times, qu'en mai dernier la NASA a émis un communiqué pour expliquer que, tout bien recalculé, 1998 avait été l'année la plus chaude du siècle. Et il y a deux semaines, la même NASA a publié un nouveau classement dans lequel l'année la plus chaude était 1934, suivie de 1998, 1921, 2006 et enfin 1931.
Une autre façon de semer le doute ? Prenez le New York Post, un autre quotidien conservateur. On vous y explique que conduire une voiture moyenne sur 5 km rejette 0,9 litre de CO2 dans l'atmosphère. Mais si vous marchez ces mêmes 5 km, vous consommez 180 calories. Pour compenser cette perte, il vous faut manger à peu près 100 g de viande. Or, pour produire cette viande, il a fallu rejeter dans l'atmosphère près de 4 litres de CO2. Conclusion, mieux vaut conduire et manger moins pour sauver la planète...
Enfin, troisième technique : le duel argumentaire. Certains textes très violents accusent les écologistes d'être des ayatollahs, des nouveaux censeurs, des tenants d'un ordre politiquement correct mondialisé. Bien plus subtil, un certain Samuelson explique dans les colonnes de The New Zealand Herald que le problème n'est pas de savoir si le réchauffement climatique est réel. Le problème – selon lui –, c'est que l'on manque de moyens scientifiques pour le mesurer.
En plus, ajoute-t-il, quand bien même le réchauffement serait scientifiquement avéré, les efforts de l'Occident pour faire baisser ses émissions de CO2 seraient immédiatement compensés par les efforts d'autres pays – notamment la Chine et l'Inde – pour augmenter les leurs. Et on ne peut pas, explique-t-il, empêcher 2 milliards et demi d'hommes d'accéder au développement et donc d'émettre toujours plus de gaz à effet de serre. Pire encore, conclut-il, toutes les expériences passées, en particulier celle de la crise du pétrole en 1973, nous ont montré que les sociétés humaines étaient incapables de se discipliner dans un domaine aussi crucial que la consommation énergétique...
Autrement dit, et au nom de ce pessimisme radical, M. Samuelson trouve qu'il est à peine utile de se poser des questions aussi vaines. Autant abandonner tout de suite et expliquer que, par méconnaissance, nous n'avons pas de solution au réchauffement climatique – si tant est qu'il en existe une.
http://www.courrierinternational.fr/article.asp?obj_id=76716
CLIMAT • Le réchauffement n'est plus ce qu'il était
Le réchauffement climatique est-il une réalité... même s'il fait froid en août ? Dans la presse internationale, le débat n'est pas clos. On trouve toujours de subtils opposants à ce qui, pour beaucoup, est désormais une évidence.
Rien n'est moins sûr que ce fameux réchauffement climatique dont on nous parle tant et dont on ne sait en fait rien : c'est à peu près ce que voudraient faire croire un certain nombre de scientifiques, d'intellectuels ou d'industriels, souvent très marqués à droite, qui s'expriment dans des médias très, très conservateurs, comme The Washington Times, qui est connu pour ses positions pro-Bush. Les techniques de ces contestataires sont assez simples : en premier lieu, semer le doute sur les résultats scientifiques.
Prenez l'année la plus chaude du siècle. Tous ceux qui ont suivi le sujet vous répondront en chœur : 2006. Les chiffres ont été confirmés par la très sérieuse NASA en janvier 2007, aucune raison d'en douter. Sauf, explique le Washington Times, qu'en mai dernier la NASA a émis un communiqué pour expliquer que, tout bien recalculé, 1998 avait été l'année la plus chaude du siècle. Et il y a deux semaines, la même NASA a publié un nouveau classement dans lequel l'année la plus chaude était 1934, suivie de 1998, 1921, 2006 et enfin 1931.
Une autre façon de semer le doute ? Prenez le New York Post, un autre quotidien conservateur. On vous y explique que conduire une voiture moyenne sur 5 km rejette 0,9 litre de CO2 dans l'atmosphère. Mais si vous marchez ces mêmes 5 km, vous consommez 180 calories. Pour compenser cette perte, il vous faut manger à peu près 100 g de viande. Or, pour produire cette viande, il a fallu rejeter dans l'atmosphère près de 4 litres de CO2. Conclusion, mieux vaut conduire et manger moins pour sauver la planète...
Enfin, troisième technique : le duel argumentaire. Certains textes très violents accusent les écologistes d'être des ayatollahs, des nouveaux censeurs, des tenants d'un ordre politiquement correct mondialisé. Bien plus subtil, un certain Samuelson explique dans les colonnes de The New Zealand Herald que le problème n'est pas de savoir si le réchauffement climatique est réel. Le problème – selon lui –, c'est que l'on manque de moyens scientifiques pour le mesurer.
En plus, ajoute-t-il, quand bien même le réchauffement serait scientifiquement avéré, les efforts de l'Occident pour faire baisser ses émissions de CO2 seraient immédiatement compensés par les efforts d'autres pays – notamment la Chine et l'Inde – pour augmenter les leurs. Et on ne peut pas, explique-t-il, empêcher 2 milliards et demi d'hommes d'accéder au développement et donc d'émettre toujours plus de gaz à effet de serre. Pire encore, conclut-il, toutes les expériences passées, en particulier celle de la crise du pétrole en 1973, nous ont montré que les sociétés humaines étaient incapables de se discipliner dans un domaine aussi crucial que la consommation énergétique...
Autrement dit, et au nom de ce pessimisme radical, M. Samuelson trouve qu'il est à peine utile de se poser des questions aussi vaines. Autant abandonner tout de suite et expliquer que, par méconnaissance, nous n'avons pas de solution au réchauffement climatique – si tant est qu'il en existe une.
Pub écolo
Durée 34sec
Dentiers et dents pucés
Bientôt tous pucés...
Resitance:
France : http://www.jameh.org
Belgique : http://www.stoppuce.be
Suisse : http://www.implanter.org
Durée 4mn28
Resitance:
France : http://www.jameh.org
Belgique : http://www.stoppuce.be
Suisse : http://www.implanter.org
Durée 4mn28
20 août 2007
The corporation
Documentaire enfin disponible en sous-titrage français.
Très pédagogique, à voir absolument!!
1ère partie - Durée 51mn44
2ème partie - Durée 51mn
3ème partie - Durée 40mn35
Très pédagogique, à voir absolument!!
1ère partie - Durée 51mn44
2ème partie - Durée 51mn
3ème partie - Durée 40mn35
Bush senior en flagrant délit de shapeshifting
Wikipédia modifié...
Ces entreprises et organismes qui modifient Wikipédia dans leur intérêt
par Claire Ané
Mondialisation.ca, Le 16 aout 2007
Le Monde
C'est en apprenant que des élus du Congrès ou leurs collaborateurs avaient eux-mêmes écrit leur notice biographique sur l'encyclopédie libre Wikipédia que Virgil Griffith, un étudiant américain – qui avait déjà révélé les failles de différents systèmes informatiques –, s'est attelé l'an dernier à créer le WikiScanner, mis en ligne lundi 13 août. Ce logiciel, qui croise différentes bases de données, permet à tout internaute de trouver à quels organismes ou entreprises appartiennent les adresses IP des ordinateurs d'où ont été modifiées anonymement des notes de l'encyclopédie libre. Et, en comparant ainsi deux versions d'une notule, de constater qu'un utilisateur du réseau informatique d'une entité a modifié ou supprimé des passages qui le gênaient.
Les exemples sont légion. Le magazine américain Wired évoque notamment la disparition, le 17 novembre 2005, de plusieurs paragraphes critiquant la fiabilité des machines à voter Diebold et les liens entre son dirigeant et George W. Bush. Une suppression qui, selon le WikiScanner, émane d'adresses IP utilisées par les bureaux de la firme Diebold elle-même. La chaîne de supermarchés Wal-Mart a pour sa part remplacé une phrase sur ses salaires : le premier texte les disait plus bas que ceux du reste de la grande distribution... le nouveau les qualifiait de deux fois plus élevés que le salaire minimum.
CIA, NSA, FBI
Du côté des autorités, des modifications ont été effectuées depuis des adresses IP de la CIA, mais elles sont plutôt marginales selon Wired. Plutôt que de tenter de relever lui-même toutes les modifications "honteuses", le site a sollicité ses visiteurs, qui soumettent des cas et désignent ceux qui leur paraissent les plus ou les moins scandaleux. On y lit ainsi qu'une personne se connectant du réseau de la NSA (Agence de sécurité américaine) a supprimé, dans la note sur "l'extraction d'information", un lien qu'elle jugeait "non pertinent" vers le réseau Echelon, système de la NSA qui permet d'intercepter les communications ; que le FBI a supprimé des vues aériennes de la prison de Guantanamo ; qu'un membre du réseau informatique du gouvernement israélien a tenté de supprimer toute la note concernant le "mur" construit pour séparer l'Etat hébreu de la Cisjordanie.
On apprend aussi, entre autres modifications classées très haut par les internautes, que les références à la catastrophe de l'usine de pesticides de Bhopal et de l'agent orange ont été supprimées depuis le réseau du fabricant de produits chimiques Dow Chemical. Ou encore qu'un membre du Parti républicain a remplacé "armée d'occupation" par "armée de libération" pour évoquer la coalition emmenée par les Etats-Unis en Irak. Les scientologues, eux, œuvrent à supprimer toute critique à leur encontre. On découvre également qu'une phrase affirmant que le système de Microsoft MSN Search est "un rival majeur de Google" émane justement de l'agence chargée des relations publiques de Microsoft.
Articles de Claire Ané publiés par Mondialisation.ca
par Claire Ané
Mondialisation.ca, Le 16 aout 2007
Le Monde
C'est en apprenant que des élus du Congrès ou leurs collaborateurs avaient eux-mêmes écrit leur notice biographique sur l'encyclopédie libre Wikipédia que Virgil Griffith, un étudiant américain – qui avait déjà révélé les failles de différents systèmes informatiques –, s'est attelé l'an dernier à créer le WikiScanner, mis en ligne lundi 13 août. Ce logiciel, qui croise différentes bases de données, permet à tout internaute de trouver à quels organismes ou entreprises appartiennent les adresses IP des ordinateurs d'où ont été modifiées anonymement des notes de l'encyclopédie libre. Et, en comparant ainsi deux versions d'une notule, de constater qu'un utilisateur du réseau informatique d'une entité a modifié ou supprimé des passages qui le gênaient.
Les exemples sont légion. Le magazine américain Wired évoque notamment la disparition, le 17 novembre 2005, de plusieurs paragraphes critiquant la fiabilité des machines à voter Diebold et les liens entre son dirigeant et George W. Bush. Une suppression qui, selon le WikiScanner, émane d'adresses IP utilisées par les bureaux de la firme Diebold elle-même. La chaîne de supermarchés Wal-Mart a pour sa part remplacé une phrase sur ses salaires : le premier texte les disait plus bas que ceux du reste de la grande distribution... le nouveau les qualifiait de deux fois plus élevés que le salaire minimum.
CIA, NSA, FBI
Du côté des autorités, des modifications ont été effectuées depuis des adresses IP de la CIA, mais elles sont plutôt marginales selon Wired. Plutôt que de tenter de relever lui-même toutes les modifications "honteuses", le site a sollicité ses visiteurs, qui soumettent des cas et désignent ceux qui leur paraissent les plus ou les moins scandaleux. On y lit ainsi qu'une personne se connectant du réseau de la NSA (Agence de sécurité américaine) a supprimé, dans la note sur "l'extraction d'information", un lien qu'elle jugeait "non pertinent" vers le réseau Echelon, système de la NSA qui permet d'intercepter les communications ; que le FBI a supprimé des vues aériennes de la prison de Guantanamo ; qu'un membre du réseau informatique du gouvernement israélien a tenté de supprimer toute la note concernant le "mur" construit pour séparer l'Etat hébreu de la Cisjordanie.
On apprend aussi, entre autres modifications classées très haut par les internautes, que les références à la catastrophe de l'usine de pesticides de Bhopal et de l'agent orange ont été supprimées depuis le réseau du fabricant de produits chimiques Dow Chemical. Ou encore qu'un membre du Parti républicain a remplacé "armée d'occupation" par "armée de libération" pour évoquer la coalition emmenée par les Etats-Unis en Irak. Les scientologues, eux, œuvrent à supprimer toute critique à leur encontre. On découvre également qu'une phrase affirmant que le système de Microsoft MSN Search est "un rival majeur de Google" émane justement de l'agence chargée des relations publiques de Microsoft.
Articles de Claire Ané publiés par Mondialisation.ca
The Road To Guantanamo (en français)
Le film The Road To Guantanamo réalisé par l'Anglais Michael Winterbottom (In This World) pourrait sortir de la même manière que Bubble de ... Tout » Steven Soderbergh, à savoir simultanément en salles, en dvd et en vod. Le long-métrage, qui mêle fiction et documentaire, raconte l'histoire de trois musulmans britanniques emprisonnés à Guantanamo Bay pendant deux ans, avant d'avoir été relâchés faute de charge. Ce drame est attendu en compétition officielle du 56ème Festival de Berlin qui a ouvert le 9 février. Il sera diffusé le 9 mars prochain sur Channel 4, chaîne britannique qui a participé à la production. Il sera également visible le lendemain (le 10 mars) en salles sur 20 à 30 copies, tout en étant accessible sur dvd et via internet. Le producteur Andrew Eaton a, d'ailleurs, déclaré qu'il souhaitait que le film soit téléchargeable sur le web…
Durée 1h31
Durée 1h31
19 août 2007
Les Illuminati
Les Illuminati sont une "élite dans l'élite". C'est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des "Maîtres du Monde". La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l'identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s'agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller (notamment l'incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR).
Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l'Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. A cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée.
1ère partie, durée 18mn54
2ème partie, durée 18mn55
3ème partie, durée 19mn06
4ème partie, durée 9mn28
Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l'Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. A cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée.
1ère partie, durée 18mn54
2ème partie, durée 18mn55
3ème partie, durée 19mn06
4ème partie, durée 9mn28
18 août 2007
Carburant vert
Un carburant à base de phytoplancton et de CO2...
Durée 1mn50
Durée 1mn50
NET NEUTRALITY
La neutralité des réseaux menacée...
http://www.savetheinternet.com/=faq
En anglais, durée 10mn26
http://www.savetheinternet.com/=faq
En anglais, durée 10mn26
Hubert Reeves au Sénat
http://www.naturavox.fr/
Durée 8mn45
Durée 8mn45
Visage de Mars et Cropcircles
Depuis l'observation de constructions sur Mars, de nombreuses spéculations ont été formulées. Une étude faite par un chercheur permet de rapprocher les constructions de Mars à des constructions faites sur notre planète ainsi que certains Cropcircles...
Introduction de CYDONIA
Documentaire complet sur le mois de Mars de ce même blog.
Durée 17mn51
Introduction de CYDONIA
Documentaire complet sur le mois de Mars de ce même blog.
Durée 17mn51
SIDA : Le Doute
SIDA : Le doute de Djamel Tahi (1996).
Un document capital diffusé une fois en 1996 sur Arte mais depuis introuvable.
Pour tout un chacun, il est communément reconnu que la cause du Sida est un virus, le HIV, qui détruit le système immunitaire des personnes infectées. Or, depuis l'identification du virus dit du Sida, voilà aujourd'hui onze ans, il n`a pas été possible pour la communauté scientifique, d'expliquer et de démontrer précisément, l'étiologie du virus. Cette question essentielle divise largement les chercheurs toujours en quête d'une explication. De ce fait, scientifiquement parlant, la théorie du virus HIV comme cause du Sida, n`est alors qu'une hypothèse. Soutenue il est vrai par la majorité des chercheurs, mais cela reste néanmoins une hypothèse.
Pour cette raison certains chercheurs, comme le Professeur Luc Montagnier de l`lnstitut Pasteur, ou le Professeur américain Robert Root-Bernstein de l'université du Michigan, ont invoqué l'implication d'autres agents dans la maladie, les cofacteurs, en attribuant qu'un rôle secondaire au virus HIV. Ce n'est également qu'une hypothèse.
D`autres chercheurs sont allés plus loin, et avancent que le virus HIV n'est pas la cause du Sida. Pour ces chercheurs, appartenant à l'élite scientifique, toutes les connaissances accumulées sur le Sida au cours de ces dix dernières années, permettent d'affirmer que ce n'est pas une maladie infectieuse, et que son évolution pathologique et épidémiologique le prouve. Leur hypothèse est que le Sida est une maladie due à plusieurs facteurs liés au mode de vie des personnes atteintes, qui provoquerait un désordre immunitaire irréversible.
Dans ce film consacré au Sida, il ne s'agit pas bien sûr de tenter de démontrer quelle est la théorie qui l'emporte sur l'autre, mais plutôt de faire un état des lieu des connaissances, des doutes, et des interrogations qui persistent après toutes ces années de recherche. Pour cela nous développerons les arguments qui questionnent la cause du Sida. Nous lèverons le voile sur la controverse qui règne, presque à huis clos, au sein de la communauté scientifique. Et à travers les portraits des principaux acteurs qui animent ce débat, nous tenterons de comprendre pourquoi, ils n'acceptent pas ce qui reconnu par tous.
Durée 50mn
Un document capital diffusé une fois en 1996 sur Arte mais depuis introuvable.
Pour tout un chacun, il est communément reconnu que la cause du Sida est un virus, le HIV, qui détruit le système immunitaire des personnes infectées. Or, depuis l'identification du virus dit du Sida, voilà aujourd'hui onze ans, il n`a pas été possible pour la communauté scientifique, d'expliquer et de démontrer précisément, l'étiologie du virus. Cette question essentielle divise largement les chercheurs toujours en quête d'une explication. De ce fait, scientifiquement parlant, la théorie du virus HIV comme cause du Sida, n`est alors qu'une hypothèse. Soutenue il est vrai par la majorité des chercheurs, mais cela reste néanmoins une hypothèse.
Pour cette raison certains chercheurs, comme le Professeur Luc Montagnier de l`lnstitut Pasteur, ou le Professeur américain Robert Root-Bernstein de l'université du Michigan, ont invoqué l'implication d'autres agents dans la maladie, les cofacteurs, en attribuant qu'un rôle secondaire au virus HIV. Ce n'est également qu'une hypothèse.
D`autres chercheurs sont allés plus loin, et avancent que le virus HIV n'est pas la cause du Sida. Pour ces chercheurs, appartenant à l'élite scientifique, toutes les connaissances accumulées sur le Sida au cours de ces dix dernières années, permettent d'affirmer que ce n'est pas une maladie infectieuse, et que son évolution pathologique et épidémiologique le prouve. Leur hypothèse est que le Sida est une maladie due à plusieurs facteurs liés au mode de vie des personnes atteintes, qui provoquerait un désordre immunitaire irréversible.
Dans ce film consacré au Sida, il ne s'agit pas bien sûr de tenter de démontrer quelle est la théorie qui l'emporte sur l'autre, mais plutôt de faire un état des lieu des connaissances, des doutes, et des interrogations qui persistent après toutes ces années de recherche. Pour cela nous développerons les arguments qui questionnent la cause du Sida. Nous lèverons le voile sur la controverse qui règne, presque à huis clos, au sein de la communauté scientifique. Et à travers les portraits des principaux acteurs qui animent ce débat, nous tenterons de comprendre pourquoi, ils n'acceptent pas ce qui reconnu par tous.
Durée 50mn
Bilderberg
Documentaire pour mieux comprendre ce qu'est Bilderberg...
En anglais,
Introduction - durée 9mn32
Part 1
Micro-trottoir sur Bilderberg au Canada où s'est déroulée la réunion de 2006 (Messieurs Devedjian et Barnier y ont participé)
http://questionscritiques.free.fr/Bilderberg/Bilderberg_2006_arrivee.htm,
Durée 9mn03
Part 2
Durée 8mn
Part 3
Durée 9mn37
Part 4
Durée 5mn04
Part 5
Durée 7mn34
Part 6
Durée 4mn40
En anglais,
Introduction - durée 9mn32
Part 1
Micro-trottoir sur Bilderberg au Canada où s'est déroulée la réunion de 2006 (Messieurs Devedjian et Barnier y ont participé)
http://questionscritiques.free.fr/Bilderberg/Bilderberg_2006_arrivee.htm,
Durée 9mn03
Part 2
Durée 8mn
Part 3
Durée 9mn37
Part 4
Durée 5mn04
Part 5
Durée 7mn34
Part 6
Durée 4mn40
15 août 2007
David Icke - Was He Right?
Channel 5 documentary from 12/26/06 which chronicles David Icke's career to present day, and asks the big question - Was he right? Anyone ... Tout » who is paying attention knows the answer to that.
A very impartial and fair documentary. Thank you Channel 5 for this great piece of journalism.
En anglais, durée 46mn
Bonus :
David Icke on 911
En anglais, durée 14mn
Tentative de destabilisation utilisant l'antisémitisme...
En anglais, durée 48mn54
The Robots Rebellion
En anglais, durée 2h05
Interview de D.Icke : http://www.consciousmedianetwork.com/members/dicke.htm
http://www.consciousmedianetwork.com/members/dicke2.htm
A very impartial and fair documentary. Thank you Channel 5 for this great piece of journalism.
En anglais, durée 46mn
Bonus :
David Icke on 911
En anglais, durée 14mn
Tentative de destabilisation utilisant l'antisémitisme...
En anglais, durée 48mn54
The Robots Rebellion
En anglais, durée 2h05
Interview de D.Icke : http://www.consciousmedianetwork.com/members/dicke.htm
http://www.consciousmedianetwork.com/members/dicke2.htm
Corrida et BVP
Le BVP autorise les pubs qui abrutissent (pléonasme) mais refuse ceux contre la corrida. Meme lorsque les images sont floutées ...
Si vous voulez réagir auprès du BVP:
CONSEIL DE L’ETHIQUE PUBLICITAIRE du BVP
11, rue ST Florentin 75008 PARIS
Métro Concorde ou Madeleine
Tel : 01 40 15 15 40
Fax : 01 40 15 15 41 ou 01 40 15 15 42
contact@bvp.org
Composé de :
Dominique WOLTON - Jean Pierre TEYSSIER - Catherine BRECHIGNAC
Boris CYRULNIK - Marie-Dominique HAGELSTEEN - Christine MENZAGHI
Robert ROCHEFORT - Elisabeth ROUDINESCO - Monique VEAUTE
Pierre CALLEGARI - Philippe CALLEUX - Claude COHEN - François DEVEVEY
Alain GRANGE CABANE - Gérard NOEL - Gérard UNGER
Durée 1mn54
Si vous voulez réagir auprès du BVP:
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Durée 1mn54
14 août 2007
The Turning of the Tide
By David Icke.
En anglais, durée 2h14
En anglais, durée 2h14
13 août 2007
Le mystère de Rennes-le-chateau
Documentaire en 4 partie
1ère partie, durée 30mn24
2ème partie, durée 29mn36
3ème partie, durée 29mn16
4ème partie, durée 30mn28
1ère partie, durée 30mn24
2ème partie, durée 29mn36
3ème partie, durée 29mn16
4ème partie, durée 30mn28
12 août 2007
Freedom Road
David Icke tells the astonishing story of how the world is controlled today by "royal" bloodlines seeded in the ancient world ... Tout » that have ... all » ... all » passed through history, manipulating the human race for thousands of years. The bloodlines that were the kings and queens of the distant past are the same bloodlines that today produce the political leaders and those who control the banks, transnational corporations and media. Using hundreds of illustrations, Icke exposes this biggest secret and explains how and why we are now racing towards a global fascist state - unless we wake up fast. He also offers the spiritual (not religious) road to freedom and says that we can transform the world and our lives by transforming ourselves and understanding our true power to design our own destiny.
En anglais,
Part 1, durée 1h56
Part 2, durée 1h42
Part 3, durée 1h08
En anglais,
Part 1, durée 1h56
Part 2, durée 1h42
Part 3, durée 1h08
11 août 2007
Influence de la télé
"Le tube" : Documentaire sur l'influence de la télé sur les téléspectateurs...
Durée 81mn
Durée 81mn
American Blackout
Cynnthia Mckinney congresswomen afro-americaine dénonce le coup d'état de l'administration Bush. Dans ce documentaire, elle démontre avec son équipe d'expert comment la fraude aux elections a permis Bush - Cheney d'être elus deux fois à l'aide de methode digne des dictatures. Une mise en avant des machines de vote électronique et comment ces machines peuvent permettre l'élection d'un president par fraude. Ceci peut se passer dans tous les pays qui utilisent ces machines à voter électronique.
À voir absolument et nous prevenir sur la fraude possible même en France à l'aide de ces machines.
Cynnthia Mckinney a demandé à Mike Ruppert d'être un de ses expert.
Superbe poeme de Talaam Acey "True lies" en introduction de ce documentaire.
En anglais,
1ère partie
Durée 17mn54
2ème partie
durée 17mn55
3ème partie
Durée 17mn55
4ème partie
Durée 17mn56
5ème partie
Durée 18mn02
À voir absolument et nous prevenir sur la fraude possible même en France à l'aide de ces machines.
Cynnthia Mckinney a demandé à Mike Ruppert d'être un de ses expert.
Superbe poeme de Talaam Acey "True lies" en introduction de ce documentaire.
En anglais,
1ère partie
Durée 17mn54
2ème partie
durée 17mn55
3ème partie
Durée 17mn55
4ème partie
Durée 17mn56
5ème partie
Durée 18mn02
07 août 2007
Formation d'OVNI sur l'Allemagne
Durée 1mn19
Expérience Milgram
Extrait du film "I comme Icare",
L'expérience de Milgram vise à définir le niveau d'obéissance d'un individu à une autorité qu'il juge comme légitime et le processus qui mène et maintien cette obéissance.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
Durée 19mn
L'expérience de Milgram vise à définir le niveau d'obéissance d'un individu à une autorité qu'il juge comme légitime et le processus qui mène et maintien cette obéissance.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
Durée 19mn
06 août 2007
Globovisión ou l’incitation à l’insurrection
par Salim Lamrani
Mondialisation.ca, Le 5 juillet 2007
La chaîne de télévision privée vénézuélienne Globovisión, opposée au gouvernement démocratique d’Hugo Chávez, est gravement impliquée dans une tentative de déstabilisation de la société. Profitant du non renouvellement de la concession de la chaîne RCTV le 27 mai 2007, Globovisión a lancé des appels implicites à l’insurrection qui ont débouché sur des actes de violence relativement graves dans les rues de Caracas. La chaîne, qui avait déjà activement participé au coup d’Etat du 11 avril 2002, incite désormais la population à la sédition (1).
Les protestations étudiantes qui ont suivi l’affaire RCTV ont été promues par les présentateurs de Globvisión. Le journaliste du Canal 8, Ernesto Villegas, a souligné que les programmes de la chaîne incriminée n’ont pas constitué « une couverture » des évènements mais « une convocation » à manifester. Globovisión a en effet fermement condamné la décision, pourtant légale et légitime, prise par les autorités vénézuéliennes et l’a présentée comme étant une violation de la liberté d’expression (2).
Plus grave encore, Globovisión s’est rendue coupable d’incitation à l’assassinat du président Chávez en manipulant des images et en lançant des messages subliminaux. Lors de la diffusion du programme Aló, Ciudadano, où une interview de Marcel Granier, directeur de RCTV, était diffusée, la chaîne a montré simultanément les images de l’attentat contre le Pape Jean-Paul II survenu en mai 1981. Le fond musical qui accompagnait ces images était une chanson de Ruben Blades intitulé « Ce n’est pas fini » (« Esto no termina aquí » (3)3.
Le ministre de la Communication et de l’information, William Lara, a immédiatement condamné cette conspiration. « Cette chaîne de télévision, dans ce fragment spécifique de son programme, s’est rendue coupable du délit d’incitation à l’assassinat, en la personne du chef d’Etat vénézuélien », a-t-il dénoncé. Pour lui, l’objectif était clair. En effet, Globovisión n’a pas su expliquer pourquoi elle avait diffusé des images de l’attentat dans un programme traitant du non renouvellement de la concession de RCTV (4). Plusieurs experts en sémiotique ont été catégoriques à ce sujet : « On incite à l’assassinat du Président (5) ».
Les journalistes de Globovisión ainsi que les présentateurs de la chaîne ont également multiplié les expressions diffamatrices à l’égard du gouvernement en utilisant les termes « dictature » et « tyrannie », afin de justifier les appels à la désobéissance civile et les actes de violence. Le cas RCTV est selon eux une preuve du « totalitarisme et des pratiques dictatoriales » de Chávez. Ces expressions ont été inlassablement réitérées (6).
Manipulation médiatique
William Lara a également fustigé la chaîne étasunienne CNN qui avait manipulé la réalité qui faisait croire aux téléspectateurs qu’elle couvrait les manifestations d’étudiants au Venezuela, mais qui utilisait en réalité des images d’une manifestation survenue à Acapulco au Mexique suite à l’assassinat d’un journaliste. « La violation de l’éthique journalistique et le mensonge ouvert ont atteint un extrême », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il était inacceptable de « légitimer le mensonge pour faire de la propagande contre un pays (7) ».
Le 28 mai 2007, le ministre Lara a porté plainte contre Globovisión et la CNN. En effet, ces deux chaînes avaient montré sur le même écran Hugo Chávez et un supposé leader d’Al Qaeda, dans le but évident d’associer le président vénézuélien au terrorisme et à la violence. Ces mêmes images ont été diffusées par CNN en Español et démontrent qu’il s’agissait d’une campagne minutieusement préparée afin de délégitimer le locataire du Palais Miraflores aux yeux de l’opinion publique internationale. En effet, pourquoi montrer sur le même écran l’image d’un supposé terroriste et celle d’un président démocratiquement élu, si ce n’est pour assouvir des intentions malveillantes (8) ?
Le ministre Lara, répondant aux attaques de Globovisión, a rappelé que durant les huit années de présidence de Chávez, les deux seuls cas de fermeture de médias avaient été le fait de l’opposition lors du sanglant coup d’Etat de 2002. En effet, suite à la rupture de l’ordre constitutionnel orchestrée par le dictateur Pedro Carmona, l’ancien gouverneur de l’Etat Miranda, Enrique Cardoso et Alfredo Peña, alors maire de Caracas –tous deux impliqués dans le renversement du président – avaient respectivement ordonné l’interruption de la chaîne publique Venezolana de Televisión et de la chaîne communautaire Catia TV. Pour ce qui est de RCTV, Lara a souligné qu’il s’agissait de la fin d’une concession et non d’un cas de fermeture, ajoutant que la chaîne pouvait continuer à émettre via le câble ou le satellite (9).
Le gouverneur de l’Etat de Zulia, Manuel Rosales, ancien candidat à la présidence de la République, qui a été largement battu par Chávez en décembre 2006, a également lancé des appels à la rébellion. Il s’est réjoui de la couverture médiatique réalisée par Globovisión. Il a condamné la création de médias communautaires et alternatifs qui représentent une sérieuse menace contre le monopole médiatique détenu par l’oligarchie du pays. Il a également stigmatisé les « eunuques » de l’Assemblée nationale, en référence aux parlementaires. La position de Rosales n’est guère surprenante. En effet, ce dernier avait participé au coup d’Etat de 2002, en signant le décret qui nommait le putschiste Pedro Carmona nouveau Président de la République (10).
Réaction populaire
Le président Chávez s’est adressé à la nation, la mettant en garde contre cette nouvelle tentative de déstabilisation de la part d’une opposition qui refuse d’admettre qu’elle a perdu le contrôle politique du pays, rejetant le suffrage populaire et démocratique. Il a dénoncé les violences survenues devant le siège de la Commission nationale des télécommunications (Conatel). « La seule chose qu’ils recherchent, c’est de faire des morts », a-t-il averti (11). Il a également lancé un appel aux étudiants les invitant à ne pas se laisser abuser par la manipulation médiatique (12).
L’avertissement de Chávez a eu un impact retentissant. Le 2 juin 2007, une immense manifestation de soutien au gouvernement a eu lieu des les rues de Caracas. A cette occasion, le président a affirmé que « chaque plan déstabilisateur de l’oligarchie vénézuélienne […] sera suivi par une nouvelle offensive révolutionnaire ». Il a appelé le peuple à « investir les rues » afin de dénoncer les manigances antidémocratiques de l’opposition. Faisant clairement référence aux Etats-Unis, il a annoncé que le Venezuela n’accepterait aucune ingérence dans ses affaires internes. Il a également salué la naissance de la nouvelle chaîne publique TVes, « libérée de l’oligarchie ». Les médias ont été mis face à leurs responsabilités : tout délit de leur part sera sanctionné par la loi (13).
L’ancien vice-président, José Vicente Rangel, a salué la marche populaire comme étant « la réponse à la politique déstabilisatrice, putschiste et terroriste » de l’opposition. « Il n’y a pas de pays au monde où il y a plus de liberté d’expression. Ici, on insulte, on agresse, on conspire, on diffame le gouvernement et le président Hugo Chávez et il ne se passe absolument rien », remarquait-il (14).
Les manigances de Reporters sans frontières
L’organisation française Reporters sans frontières (RSF) est partie prenante de cette manipulation médiatique internationale autour du cas RCTV. Elle continue de parler de « fermeture » de la chaîne alors qu’il s’agit simplement d’un non renouvellement de concession. RSF a également pris la défense de Globovisión et a même accusé le gouvernement de s’attaquer à « la seule chaîne privée d’opposition », oubliant sans doute que Televen et Venevisión sont également des chaînes privées d’opposition parmi tant d’autres. Mais l’entité dirigée par Robert Ménard n’en est pas à un mensonge près (15).
« Hugo Chávez fait preuve de paranoïa et d’intolérance », assène RSF, qui récuse l’existence d’un plan de déstabilisation orchestrée par Globovisión. L’hypocrisie de Ménard dépasse toutes les limites. Quelle nation de la planète accepterait que l’on lance des appels à la révolte au nom de la « liberté d’expression » ? En France, comme dans n’importe quel pays du monde, Globovisión aurait déjà cessé d’émettre et ses dirigeants seraient entre les mains de la justice. RSF voudrait-elle faire croire que si la chaîne privée TF1 lançait des appels à l’insurrection, comparait le président français Nicolas Sarkozy à un terroriste d’Al Qaeda, diffusait des messages subliminaux appelant à l’assassinat du locataire du Palais de l’Elysée, elle s’en tirerait sans aucun dommage (16) ?
Pour RSF, le non renouvellement de la concession de RCTV « est une grave atteinte à la liberté d’expression » et elle a lancé un appel à « la communauté internationale » qui est resté sans réponse (17). José Miguel Insulza, secrétaire général de l’Organisation des Etats américains (OEA) a rejeté la demande de Washington et a refusé d’étudier le cas RCTV lors de la 37ème réunion de l’organisme qui s’est déroulée du 3 au 5 juin 2007 à Panama (18). L’oligarchie vénézuélienne et les Etats-Unis, amplement soutenus par la presse mondiale, tentent de transformer une décision ordinaire en une atteinte au pluralisme. RSF, financée par les Etats-Unis, défend bien évidemment les intérêts de ses généreux mécènes. Quant à Globovisión qui viole les principes les plus élémentaires de l’éthique journalistique, il ne faudra pas qu’elle s’étonne si elle subit les rigueurs de la loi vénézuélienne.
Notes
1 Agencia Bolivaria de Noticias, « Periodistas coinciden en que Globovisión es promotor de protestas de oposición », 29 mai 2007.
2 Ibid.
3 Agencia Bolivaria de Noticias, « Ministro Lara denunció que medios de oposición incitan a magnicidio », 27 mai 2007.
4 Ibid.
5 Agencia Bolivaria de Noticias, « CNN miente sobre Venezuela y Globovisión incita al magnicidio », 28 mai 2007.
6 Agencia Bolivaria de Noticias, « Globovisión continúa con la instigación a la desestabilización », 29 mai 2007.
7 Agencia Bolivaria de Noticias, « Ministro Lara denunció que medios de oposición incitan a magnicidio », op. cit.
8 Agencia Bolivaria de Noticias, « CNN miente sobre Venezuela y Globovisión incita al magnicidio », op. cit.
9 Agencia Bolivaria de Noticias, « Oposición es la única que ha cerrado medios de comunicación en Venezuela », 27 mai 2007.
10 Agencia Bolivaria de Noticias, « Rosales afianza propuestas de sectores más violentos del país », 30 mai 2007.
11 Agencia Bolivaria de Noticias, « Chávez llamó al pueblo a estar alerta ante plan desestabilizador », 29 mai 2007.
12 Agencia Bolivaria de Noticias, « Chávez instó a universitarios a tomar conciencia sobre manipulación mediática », 2 juin 2007.
13 Agencia Bolivaria de Noticias, « Pueblo y Gobierno responderán juntos a planes desestabilizadores », 2 juin 2007.
14 Agencia Bolivaria de Noticias, « Golpistas están derrotados porque el pueblo salió a la calle », 2 juin 2007.
15 Reporters sans frontières, « Après la fermeture de RCTV, Hugo Chávez s’attaque à Globovisión, seule chaîne privée d’opposition », 31 mai 2007. http://www.rsf.org/article.php3?id_article=22363 (site consulté le 2 juin 2007).
16 Ibid.
17 Reporters sans frontières, « Reporters sans frontières appelle à la mobilisation internationale après la fermeture de RCTV », 28 mai 2007. http://www.rsf.org/article.php3?id_article=22323 (site consulté le 2 juin 2007).
18 Agencia Bolivaria de Noticias, « Insulza descartó que caso RCTV sea abordado en asamblea de la OEA », 2 juin 2007.
Mondialisation.ca, Le 5 juillet 2007
La chaîne de télévision privée vénézuélienne Globovisión, opposée au gouvernement démocratique d’Hugo Chávez, est gravement impliquée dans une tentative de déstabilisation de la société. Profitant du non renouvellement de la concession de la chaîne RCTV le 27 mai 2007, Globovisión a lancé des appels implicites à l’insurrection qui ont débouché sur des actes de violence relativement graves dans les rues de Caracas. La chaîne, qui avait déjà activement participé au coup d’Etat du 11 avril 2002, incite désormais la population à la sédition (1).
Les protestations étudiantes qui ont suivi l’affaire RCTV ont été promues par les présentateurs de Globvisión. Le journaliste du Canal 8, Ernesto Villegas, a souligné que les programmes de la chaîne incriminée n’ont pas constitué « une couverture » des évènements mais « une convocation » à manifester. Globovisión a en effet fermement condamné la décision, pourtant légale et légitime, prise par les autorités vénézuéliennes et l’a présentée comme étant une violation de la liberté d’expression (2).
Plus grave encore, Globovisión s’est rendue coupable d’incitation à l’assassinat du président Chávez en manipulant des images et en lançant des messages subliminaux. Lors de la diffusion du programme Aló, Ciudadano, où une interview de Marcel Granier, directeur de RCTV, était diffusée, la chaîne a montré simultanément les images de l’attentat contre le Pape Jean-Paul II survenu en mai 1981. Le fond musical qui accompagnait ces images était une chanson de Ruben Blades intitulé « Ce n’est pas fini » (« Esto no termina aquí » (3)3.
Le ministre de la Communication et de l’information, William Lara, a immédiatement condamné cette conspiration. « Cette chaîne de télévision, dans ce fragment spécifique de son programme, s’est rendue coupable du délit d’incitation à l’assassinat, en la personne du chef d’Etat vénézuélien », a-t-il dénoncé. Pour lui, l’objectif était clair. En effet, Globovisión n’a pas su expliquer pourquoi elle avait diffusé des images de l’attentat dans un programme traitant du non renouvellement de la concession de RCTV (4). Plusieurs experts en sémiotique ont été catégoriques à ce sujet : « On incite à l’assassinat du Président (5) ».
Les journalistes de Globovisión ainsi que les présentateurs de la chaîne ont également multiplié les expressions diffamatrices à l’égard du gouvernement en utilisant les termes « dictature » et « tyrannie », afin de justifier les appels à la désobéissance civile et les actes de violence. Le cas RCTV est selon eux une preuve du « totalitarisme et des pratiques dictatoriales » de Chávez. Ces expressions ont été inlassablement réitérées (6).
Manipulation médiatique
William Lara a également fustigé la chaîne étasunienne CNN qui avait manipulé la réalité qui faisait croire aux téléspectateurs qu’elle couvrait les manifestations d’étudiants au Venezuela, mais qui utilisait en réalité des images d’une manifestation survenue à Acapulco au Mexique suite à l’assassinat d’un journaliste. « La violation de l’éthique journalistique et le mensonge ouvert ont atteint un extrême », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il était inacceptable de « légitimer le mensonge pour faire de la propagande contre un pays (7) ».
Le 28 mai 2007, le ministre Lara a porté plainte contre Globovisión et la CNN. En effet, ces deux chaînes avaient montré sur le même écran Hugo Chávez et un supposé leader d’Al Qaeda, dans le but évident d’associer le président vénézuélien au terrorisme et à la violence. Ces mêmes images ont été diffusées par CNN en Español et démontrent qu’il s’agissait d’une campagne minutieusement préparée afin de délégitimer le locataire du Palais Miraflores aux yeux de l’opinion publique internationale. En effet, pourquoi montrer sur le même écran l’image d’un supposé terroriste et celle d’un président démocratiquement élu, si ce n’est pour assouvir des intentions malveillantes (8) ?
Le ministre Lara, répondant aux attaques de Globovisión, a rappelé que durant les huit années de présidence de Chávez, les deux seuls cas de fermeture de médias avaient été le fait de l’opposition lors du sanglant coup d’Etat de 2002. En effet, suite à la rupture de l’ordre constitutionnel orchestrée par le dictateur Pedro Carmona, l’ancien gouverneur de l’Etat Miranda, Enrique Cardoso et Alfredo Peña, alors maire de Caracas –tous deux impliqués dans le renversement du président – avaient respectivement ordonné l’interruption de la chaîne publique Venezolana de Televisión et de la chaîne communautaire Catia TV. Pour ce qui est de RCTV, Lara a souligné qu’il s’agissait de la fin d’une concession et non d’un cas de fermeture, ajoutant que la chaîne pouvait continuer à émettre via le câble ou le satellite (9).
Le gouverneur de l’Etat de Zulia, Manuel Rosales, ancien candidat à la présidence de la République, qui a été largement battu par Chávez en décembre 2006, a également lancé des appels à la rébellion. Il s’est réjoui de la couverture médiatique réalisée par Globovisión. Il a condamné la création de médias communautaires et alternatifs qui représentent une sérieuse menace contre le monopole médiatique détenu par l’oligarchie du pays. Il a également stigmatisé les « eunuques » de l’Assemblée nationale, en référence aux parlementaires. La position de Rosales n’est guère surprenante. En effet, ce dernier avait participé au coup d’Etat de 2002, en signant le décret qui nommait le putschiste Pedro Carmona nouveau Président de la République (10).
Réaction populaire
Le président Chávez s’est adressé à la nation, la mettant en garde contre cette nouvelle tentative de déstabilisation de la part d’une opposition qui refuse d’admettre qu’elle a perdu le contrôle politique du pays, rejetant le suffrage populaire et démocratique. Il a dénoncé les violences survenues devant le siège de la Commission nationale des télécommunications (Conatel). « La seule chose qu’ils recherchent, c’est de faire des morts », a-t-il averti (11). Il a également lancé un appel aux étudiants les invitant à ne pas se laisser abuser par la manipulation médiatique (12).
L’avertissement de Chávez a eu un impact retentissant. Le 2 juin 2007, une immense manifestation de soutien au gouvernement a eu lieu des les rues de Caracas. A cette occasion, le président a affirmé que « chaque plan déstabilisateur de l’oligarchie vénézuélienne […] sera suivi par une nouvelle offensive révolutionnaire ». Il a appelé le peuple à « investir les rues » afin de dénoncer les manigances antidémocratiques de l’opposition. Faisant clairement référence aux Etats-Unis, il a annoncé que le Venezuela n’accepterait aucune ingérence dans ses affaires internes. Il a également salué la naissance de la nouvelle chaîne publique TVes, « libérée de l’oligarchie ». Les médias ont été mis face à leurs responsabilités : tout délit de leur part sera sanctionné par la loi (13).
L’ancien vice-président, José Vicente Rangel, a salué la marche populaire comme étant « la réponse à la politique déstabilisatrice, putschiste et terroriste » de l’opposition. « Il n’y a pas de pays au monde où il y a plus de liberté d’expression. Ici, on insulte, on agresse, on conspire, on diffame le gouvernement et le président Hugo Chávez et il ne se passe absolument rien », remarquait-il (14).
Les manigances de Reporters sans frontières
L’organisation française Reporters sans frontières (RSF) est partie prenante de cette manipulation médiatique internationale autour du cas RCTV. Elle continue de parler de « fermeture » de la chaîne alors qu’il s’agit simplement d’un non renouvellement de concession. RSF a également pris la défense de Globovisión et a même accusé le gouvernement de s’attaquer à « la seule chaîne privée d’opposition », oubliant sans doute que Televen et Venevisión sont également des chaînes privées d’opposition parmi tant d’autres. Mais l’entité dirigée par Robert Ménard n’en est pas à un mensonge près (15).
« Hugo Chávez fait preuve de paranoïa et d’intolérance », assène RSF, qui récuse l’existence d’un plan de déstabilisation orchestrée par Globovisión. L’hypocrisie de Ménard dépasse toutes les limites. Quelle nation de la planète accepterait que l’on lance des appels à la révolte au nom de la « liberté d’expression » ? En France, comme dans n’importe quel pays du monde, Globovisión aurait déjà cessé d’émettre et ses dirigeants seraient entre les mains de la justice. RSF voudrait-elle faire croire que si la chaîne privée TF1 lançait des appels à l’insurrection, comparait le président français Nicolas Sarkozy à un terroriste d’Al Qaeda, diffusait des messages subliminaux appelant à l’assassinat du locataire du Palais de l’Elysée, elle s’en tirerait sans aucun dommage (16) ?
Pour RSF, le non renouvellement de la concession de RCTV « est une grave atteinte à la liberté d’expression » et elle a lancé un appel à « la communauté internationale » qui est resté sans réponse (17). José Miguel Insulza, secrétaire général de l’Organisation des Etats américains (OEA) a rejeté la demande de Washington et a refusé d’étudier le cas RCTV lors de la 37ème réunion de l’organisme qui s’est déroulée du 3 au 5 juin 2007 à Panama (18). L’oligarchie vénézuélienne et les Etats-Unis, amplement soutenus par la presse mondiale, tentent de transformer une décision ordinaire en une atteinte au pluralisme. RSF, financée par les Etats-Unis, défend bien évidemment les intérêts de ses généreux mécènes. Quant à Globovisión qui viole les principes les plus élémentaires de l’éthique journalistique, il ne faudra pas qu’elle s’étonne si elle subit les rigueurs de la loi vénézuélienne.
Notes
1 Agencia Bolivaria de Noticias, « Periodistas coinciden en que Globovisión es promotor de protestas de oposición », 29 mai 2007.
2 Ibid.
3 Agencia Bolivaria de Noticias, « Ministro Lara denunció que medios de oposición incitan a magnicidio », 27 mai 2007.
4 Ibid.
5 Agencia Bolivaria de Noticias, « CNN miente sobre Venezuela y Globovisión incita al magnicidio », 28 mai 2007.
6 Agencia Bolivaria de Noticias, « Globovisión continúa con la instigación a la desestabilización », 29 mai 2007.
7 Agencia Bolivaria de Noticias, « Ministro Lara denunció que medios de oposición incitan a magnicidio », op. cit.
8 Agencia Bolivaria de Noticias, « CNN miente sobre Venezuela y Globovisión incita al magnicidio », op. cit.
9 Agencia Bolivaria de Noticias, « Oposición es la única que ha cerrado medios de comunicación en Venezuela », 27 mai 2007.
10 Agencia Bolivaria de Noticias, « Rosales afianza propuestas de sectores más violentos del país », 30 mai 2007.
11 Agencia Bolivaria de Noticias, « Chávez llamó al pueblo a estar alerta ante plan desestabilizador », 29 mai 2007.
12 Agencia Bolivaria de Noticias, « Chávez instó a universitarios a tomar conciencia sobre manipulación mediática », 2 juin 2007.
13 Agencia Bolivaria de Noticias, « Pueblo y Gobierno responderán juntos a planes desestabilizadores », 2 juin 2007.
14 Agencia Bolivaria de Noticias, « Golpistas están derrotados porque el pueblo salió a la calle », 2 juin 2007.
15 Reporters sans frontières, « Après la fermeture de RCTV, Hugo Chávez s’attaque à Globovisión, seule chaîne privée d’opposition », 31 mai 2007. http://www.rsf.org/article.php3?id_article=22363 (site consulté le 2 juin 2007).
16 Ibid.
17 Reporters sans frontières, « Reporters sans frontières appelle à la mobilisation internationale après la fermeture de RCTV », 28 mai 2007. http://www.rsf.org/article.php3?id_article=22323 (site consulté le 2 juin 2007).
18 Agencia Bolivaria de Noticias, « Insulza descartó que caso RCTV sea abordado en asamblea de la OEA », 2 juin 2007.
05 août 2007
L'affaire Gemplus
Durée 17mn16
Simplicite volontaire et décroissance
Durée 59mn
LES INSOUMIS
Appel à la résistance
www.lesinsoumis.org
Durée 4mn
www.lesinsoumis.org
Durée 4mn
OVNI sur Washington - 1952
Des OVNI ont survolé Washington en 1952. Récits des témoins. Réaction de la presse etc...
Durée 7mn06
Durée 7mn06
OVNI Pérou 20 Mai 2007
Flotte d'OVNI au-dessus de Lima (Pérou) le 20 Mai 2007. Reportage journal télévisé, une équipe de télé était sur place.
(même phénomène qu'au Mexique il y a peu...)
Durée 1mn53 en espagnol
(même phénomène qu'au Mexique il y a peu...)
Durée 1mn53 en espagnol
Statistiques
Interview Steven Bassett sur Fox
Le 6 juillet 2007, Fox News a interviewé Steven Bassett, directeur de l’Extraterrestrial Phenomenon Political Action Committee, qui pense que tous les candidats à la présidence “doivent s’exprimer sur ce sujet.”
“Le gouvernement cache-t-il l’existence des extraterrestres?“, c’est la question posée par Fox News lors du soixantième anniversaire de l’incident de Roswell en 1947 au Nouveau-Mexique.
“J’ai eu des personnes au sein du gouvernement qui m’ont confirmé la présence extraterrestre,” dit Bassett. Il cite également Bill Ridchardson, le gouverneur du Nouveau-Mexique, qui s’est prononcé en faveur d’une réouverture du dossier Roswell.
Bassett soutient la candidature Hillary Clinton - Bill Richardson en 2008, car il pense que la Maison Blanche avait conscience des extraterrestres sous le mandat de Bill Clinton. “C’est une affaire sérieuse,” conclut Bassett.
Durée 4mn25 en anglais
“Le gouvernement cache-t-il l’existence des extraterrestres?“, c’est la question posée par Fox News lors du soixantième anniversaire de l’incident de Roswell en 1947 au Nouveau-Mexique.
“J’ai eu des personnes au sein du gouvernement qui m’ont confirmé la présence extraterrestre,” dit Bassett. Il cite également Bill Ridchardson, le gouverneur du Nouveau-Mexique, qui s’est prononcé en faveur d’une réouverture du dossier Roswell.
Bassett soutient la candidature Hillary Clinton - Bill Richardson en 2008, car il pense que la Maison Blanche avait conscience des extraterrestres sous le mandat de Bill Clinton. “C’est une affaire sérieuse,” conclut Bassett.
Durée 4mn25 en anglais
L' Amérique prise en otage
Un documentaire inédit sur le coup d'état organisé par l'administration Bush. Analyse profonde d'anciens militaires, d'experts et de journalistes américains sur la plus grande trahison jamais perpétrée contre la population américaine et habitants de cette planète.
Pour les personnes qui sont encore perplexes ce documentaire pourra sans doute vous ouvrir les yeux.
Il manque simplement le point de départ de toute l'histoire ; le hoax du 9/11 , et ce serait parfait...
A voir également un autre documentaire sur le même thème sur
Documentaire en 5 parties (1/5) en anglais.
1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie
5ème partie
Pour les personnes qui sont encore perplexes ce documentaire pourra sans doute vous ouvrir les yeux.
Il manque simplement le point de départ de toute l'histoire ; le hoax du 9/11 , et ce serait parfait...
A voir également un autre documentaire sur le même thème sur
Documentaire en 5 parties (1/5) en anglais.
1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie
5ème partie
Immigration coloniale
Un montage sur l'immigration originaire de ce qu'on appelait a la belle epoque "la plus grande France".
Durée 8mn45
Durée 8mn45
Coca cola voleur d'eau
Durée 13mn
BILDERBERG 2007
La réunion 2007 du Groupe de Bilderberg (le gouvernement mondial occulte) a rassemblé l'élite de la politique, de la finance, de l'économie et des médias à Istanbul du 31 mai au 3 Juin au palace Ritz-Carlton
Comme d'habitude, les médias ne vous diront pas un mot sur cette réunion. Et comme d'habitude encore, la réunion du G8 aura lieu une semaine plus tard, pour appliquer les décisions qui auront été prises à la réunion du Bilderberg.
(vidéo en anglais désolé...)
Liste des participants:
http://www.syti.net/Blog/Blog1.html
Comme d'habitude, les médias ne vous diront pas un mot sur cette réunion. Et comme d'habitude encore, la réunion du G8 aura lieu une semaine plus tard, pour appliquer les décisions qui auront été prises à la réunion du Bilderberg.
(vidéo en anglais désolé...)
Liste des participants:
http://www.syti.net/Blog/Blog1.html
Who Killed the Electric Car ?
Un documentaire sur la naissance et la mort de la voiture électrique, évoquant également la question des énergies recyclables.C’était une des voitures les plus simples et rapides à produire. Elle roulait grâce à l’électricité, ne produisait pas d’émissions de gaz et permettait à l’industrie automobile américaine d’être à la pointe de la technologie. Alors pourquoi General Motors a-t-elle détruit toute sa flotte de véhicules électriques EV1?
( sous-titré en francais)
Durée 92mn
( sous-titré en francais)
Durée 92mn
L'info faite par les publicitaires
Les publicitaires au service de l'info politique.
Édifiant témoignage sur ce que colportent nos JT officiels quand il s'agit de la communication du gouvernement, le tout édulcoré par des professionnels de la publicité histoire que l'IMAGE passe avant toute info...
Estampillé par zalea TV, chaine associative que je recommande fortement, merci à eux.
Durée 39mn
Édifiant témoignage sur ce que colportent nos JT officiels quand il s'agit de la communication du gouvernement, le tout édulcoré par des professionnels de la publicité histoire que l'IMAGE passe avant toute info...
Estampillé par zalea TV, chaine associative que je recommande fortement, merci à eux.
Durée 39mn
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