31 mai 2006
2013
FIN
CECI EST LA FIN
IL N'Y A PLUS DE VISIONNAIRES,
IL N'Y A PLUS D'INVENTEURS.
Nous regardons toujours le même monde de la même manière,Pris dans la spirale de l'escalier d'un phare,Recommençant sans cesse les mêmes erreurs....
Mais d'un étage plus haut !Il est temps de changer le monde,Il est temps de changer de ronde.
N'as-tu jamais rêvé d'un autre monde ?
N'as-tu jamais rêvé d'une autre vie ?
N'as-tu jamais rêvé qu'un jour l'homme retrouve sa place dans l'univers ?
N'as-tu jamais rêvé qu'un jour, l'homme communique avec la nature, toute la nature, et qu'elle lui réponde en partenaire et non plus en ennemie vaincue ?
N'as-tu jamais rêvé de parler aux animaux, aux nuages et aux montagnes ?
D'oeuvrer ensemble, et non plus les uns contre les autres ?
N'as-tu jamais rêvé que des gens se regroupent pour tenter de créer une cité où seraient différents les rapports humains ?
Réussir ou échouer n'aurait plus d'importance.Personne ne s'autoriserait à juger quiconque.
Chacun serait libre de ses actes.... et préoccupé pourtant de la réussite de tous.N'as-tu jamais rêvé d'un monde qui ne craindrais pas ce qui ne lui ressemble pas ?
N'as-tu jamais rêvé d'un monde où chacun saurait trouver en lui sa perfection ?
Moi, j'ai rêvé, pour changer nos vieilles habitudes, d'une révolution.Une révolution des petits, une révolution des fourmis.Mieux qu'une révolution : .... une Evolution !!!
Ouvrons tous nos sens,Un vent nouveau souffle ce matin.
Rien ne pourra ralentir sa folle danse,Mille métamorphoses s'opèreront dans ce monde endormi.
NOUS SOMMES LES NOUVEAUX VISIONNAIRES,
NOUS SOMMES LES NOUVEAUX INVENTEURS.
CECI N'EST PAS UNE FIN,
BIEN AU CONTRAIRE.
CE N'EST QU'UN DÉBUT ...
D'après Bernard Werberhttp://www.werberweb.com/
CECI EST LA FIN
IL N'Y A PLUS DE VISIONNAIRES,
IL N'Y A PLUS D'INVENTEURS.
Nous regardons toujours le même monde de la même manière,Pris dans la spirale de l'escalier d'un phare,Recommençant sans cesse les mêmes erreurs....
Mais d'un étage plus haut !Il est temps de changer le monde,Il est temps de changer de ronde.
N'as-tu jamais rêvé d'un autre monde ?
N'as-tu jamais rêvé d'une autre vie ?
N'as-tu jamais rêvé qu'un jour l'homme retrouve sa place dans l'univers ?
N'as-tu jamais rêvé qu'un jour, l'homme communique avec la nature, toute la nature, et qu'elle lui réponde en partenaire et non plus en ennemie vaincue ?
N'as-tu jamais rêvé de parler aux animaux, aux nuages et aux montagnes ?
D'oeuvrer ensemble, et non plus les uns contre les autres ?
N'as-tu jamais rêvé que des gens se regroupent pour tenter de créer une cité où seraient différents les rapports humains ?
Réussir ou échouer n'aurait plus d'importance.Personne ne s'autoriserait à juger quiconque.
Chacun serait libre de ses actes.... et préoccupé pourtant de la réussite de tous.N'as-tu jamais rêvé d'un monde qui ne craindrais pas ce qui ne lui ressemble pas ?
N'as-tu jamais rêvé d'un monde où chacun saurait trouver en lui sa perfection ?
Moi, j'ai rêvé, pour changer nos vieilles habitudes, d'une révolution.Une révolution des petits, une révolution des fourmis.Mieux qu'une révolution : .... une Evolution !!!
Ouvrons tous nos sens,Un vent nouveau souffle ce matin.
Rien ne pourra ralentir sa folle danse,Mille métamorphoses s'opèreront dans ce monde endormi.
NOUS SOMMES LES NOUVEAUX VISIONNAIRES,
NOUS SOMMES LES NOUVEAUX INVENTEURS.
CECI N'EST PAS UNE FIN,
BIEN AU CONTRAIRE.
CE N'EST QU'UN DÉBUT ...
D'après Bernard Werberhttp://www.werberweb.com/
30 mai 2006
La simplicité volontaire
source : http://fr.ekopedia.org
Principes :L'idée est de chercher la simplification pour améliorer sa qualité de vie.
Cette philosophie de vie est née de la constatation que la consommation n'apporte pas le bonheur. Dans la société de consommation, on consacre son temps à gagner toujours plus d'argent pour satisfaire des besoins matériels.
Le principe de la simplicité volontaire est de moins consommer, donc d'avoir moins besoin d'argent et moins besoin de travailler. En vivant en dessous de ses moyens, on gagne alors du temps pour ce qui est important pour soi.La simplicité volontaire n'est pas la pauvreté ni le sacrifice. C'est un choix de vie délibéré. Mais elle peut représenter une aide pour des personnes ayant des difficultés financières.
La simplicité volontaire, dans le sens où elle limite la consommation de biens matériels, contribue à ralentir la destruction des ressources naturelles. De la même façon, le refus du gaspillage permet d'économiser l'eau, l'électricité et toutes les formes d'énergie.
La simplicité volontaire peut être critiquée sur le fait qu'il ne s'agit que d'actions individuelles (voire individualistes) qui ne sont pas en mesure de changer la société. Mais la simplicité volontaire n'a pas l'ambition de changer le monde, simplement de favoriser la réflexion pour changer sa façon de vivre.L'un des spécialistes, Mark A. Burch, explique que la simplicité volontaire peut s'appliquer également à des domaines moins matériels comme les activités, les relations, les souvenirs. L'idée est de vivre mieux avec moins, or il n'y a pas que les objets qui nous encombrent ! On peut même penser que c'est en ayant l'esprit désencombré que l'on est alors capable d'appliquer la simplicité volontaire sur les objets qui nous entourent, car nous savons alors ce qui a vraiment de l'importance pour nous.
Exemples de remise en cause de ses habitudes
La simplification commence par remettre en cause les habitudes prises parfois sous l'influence de la publicité et de la télévision.
Mais a-t-on vraiment besoin de 20 détergents différents (un pour chaque type de surface) ?
A-t-on besoin de 10 crèmes de beauté différentes (une pour chaque partie du corps) ?
A-t-on besoin du dernier lecteur DVD sorti sur le marché ?
La simplicité volontaire est une démarche propre à chacun qui commence par la définition de ses vrais besoins et envies.
C'est aussi alléger sa vie de tout ce qui l'encombre et privilégier l'être plutôt que l'avoir. La simplicité volontaire valorise les relations humaines et la solidarité : l'entraide permet en effet de résoudre bien des problèmes. On peut citer l'exemple des systèmes d'échanges locaux (SEL) basés sur le troc.Pratiquer le désencombrement. Par exemple, ne garder que les papiers vraiment importants et les livres que vous adorez. Vous avez alors besoin de moins de meubles de rangement, de moins d'espace, et donc de moins de produits d'entretien.Le service public est utile quand on veut se simplifier la vie. Le recours aux transports collectifs, aux piscines ou bibliothèques publiques évite des achats (par exemple l'achat d'une voiture).
La simplicité volontaire implique souvent de chercher à être autosuffisant, c'est-à-dire faire soi-même au lieu d'acheter, par exemple en jardinant, cuisinant, cousant, et en construisant ou retapant sa maison. L'idée aussi est de privilégier la valeur d'usage. Avoir pour avoir n'a aucun intérêt. N'ayez que des choses que vous utilisez vraiment. Un livre que vous n'avez pas relu depuis dix ans, c'est un livre qui aurait plutôt sa place dans une bibliothèque.
Un vêtement que vous n'avez pas porté depuis un an pourrait être déposé dans une association. Vous allez rapidement vous rendre compte qu'en fait vous n'avez pas besoin de grand chose !
Des sites à visiter :
http://www.simplicitevolontaire.org/rqsv/definition.htm
http://www.amisdelaterre.be/rubrique.php3?id_rubrique=32
Principes :L'idée est de chercher la simplification pour améliorer sa qualité de vie.
Cette philosophie de vie est née de la constatation que la consommation n'apporte pas le bonheur. Dans la société de consommation, on consacre son temps à gagner toujours plus d'argent pour satisfaire des besoins matériels.
Le principe de la simplicité volontaire est de moins consommer, donc d'avoir moins besoin d'argent et moins besoin de travailler. En vivant en dessous de ses moyens, on gagne alors du temps pour ce qui est important pour soi.La simplicité volontaire n'est pas la pauvreté ni le sacrifice. C'est un choix de vie délibéré. Mais elle peut représenter une aide pour des personnes ayant des difficultés financières.
La simplicité volontaire, dans le sens où elle limite la consommation de biens matériels, contribue à ralentir la destruction des ressources naturelles. De la même façon, le refus du gaspillage permet d'économiser l'eau, l'électricité et toutes les formes d'énergie.
La simplicité volontaire peut être critiquée sur le fait qu'il ne s'agit que d'actions individuelles (voire individualistes) qui ne sont pas en mesure de changer la société. Mais la simplicité volontaire n'a pas l'ambition de changer le monde, simplement de favoriser la réflexion pour changer sa façon de vivre.L'un des spécialistes, Mark A. Burch, explique que la simplicité volontaire peut s'appliquer également à des domaines moins matériels comme les activités, les relations, les souvenirs. L'idée est de vivre mieux avec moins, or il n'y a pas que les objets qui nous encombrent ! On peut même penser que c'est en ayant l'esprit désencombré que l'on est alors capable d'appliquer la simplicité volontaire sur les objets qui nous entourent, car nous savons alors ce qui a vraiment de l'importance pour nous.
Exemples de remise en cause de ses habitudes
La simplification commence par remettre en cause les habitudes prises parfois sous l'influence de la publicité et de la télévision.
Mais a-t-on vraiment besoin de 20 détergents différents (un pour chaque type de surface) ?
A-t-on besoin de 10 crèmes de beauté différentes (une pour chaque partie du corps) ?
A-t-on besoin du dernier lecteur DVD sorti sur le marché ?
La simplicité volontaire est une démarche propre à chacun qui commence par la définition de ses vrais besoins et envies.
C'est aussi alléger sa vie de tout ce qui l'encombre et privilégier l'être plutôt que l'avoir. La simplicité volontaire valorise les relations humaines et la solidarité : l'entraide permet en effet de résoudre bien des problèmes. On peut citer l'exemple des systèmes d'échanges locaux (SEL) basés sur le troc.Pratiquer le désencombrement. Par exemple, ne garder que les papiers vraiment importants et les livres que vous adorez. Vous avez alors besoin de moins de meubles de rangement, de moins d'espace, et donc de moins de produits d'entretien.Le service public est utile quand on veut se simplifier la vie. Le recours aux transports collectifs, aux piscines ou bibliothèques publiques évite des achats (par exemple l'achat d'une voiture).
La simplicité volontaire implique souvent de chercher à être autosuffisant, c'est-à-dire faire soi-même au lieu d'acheter, par exemple en jardinant, cuisinant, cousant, et en construisant ou retapant sa maison. L'idée aussi est de privilégier la valeur d'usage. Avoir pour avoir n'a aucun intérêt. N'ayez que des choses que vous utilisez vraiment. Un livre que vous n'avez pas relu depuis dix ans, c'est un livre qui aurait plutôt sa place dans une bibliothèque.
Un vêtement que vous n'avez pas porté depuis un an pourrait être déposé dans une association. Vous allez rapidement vous rendre compte qu'en fait vous n'avez pas besoin de grand chose !
Des sites à visiter :
http://www.simplicitevolontaire.org/rqsv/definition.htm
http://www.amisdelaterre.be/rubrique.php3?id_rubrique=32
27 mai 2006
Mondialisation et emploi
Une affirmation (une évidence ?) : la bataille pour l’emploi dans les pays occidentaux est irrémédiablement perdue dans un système mondialisé.
Des constats :
- Le volume des exportations chinoises vers l’Europe a été multiplié par 40 depuis 78
- Il représentait 175 milliards d’euros en 2004, contre 97 milliards d’euros d’exportations européennes vers la Chine
- Le N°1 de la distribution dans le monde, l’américain Wal-Mart, a importé pour 18 milliards de dollars à la Chine en 2005 ; cela représente 1 million d’emplois délocalisés
- La Chine fabrique 85% des tracteurs, 75% des montres, 60% des lecteurs DVD, produits dans le monde
- Les délocalisations touchent de plus en plus les services :
o L’agence Reuters délocalise l’édition et les légendes de ses photos à Singapour
o Des compagnies basées à New Delhi en Inde proposent des devoirs à la maison individualisés aux étudiants américains
o L’industrie informatique américaine a perdu 16% de ses emplois en 3 ans, de 2001 à 2004
Des prévisions :
- plus de 4 millions d’emplois perdus dans les pays occidentaux dans le secteur des services d’ici 2008
- d’après une étude de l’OCDE, 15 catégories d’emplois, représentant 19% des emplois de l’union Européenne sont concernés : employés de bureau, ingénieurs et architectes, mathématiciens, chimistes, physiciens…
Des explications :
- la Chine dispose bien sûr de main d’œuvre bon marché (et le réservoir est immense) pour fabriquer des produits de base…
- … mais surtout la Chine et l’Inde rattrapent –ou plutôt ont rattrapé- leur retard technologique très rapidement
o la taille de ces pays leur donne des moyens énormes, à la fois financiers et en matière grise
§ la Chine forme 250 000 ingénieurs chaque année, dont 50 000 dans les nouvelles technologies ; il y a plus d’ingénieurs informatiques à Bangalore en Inde qu’à la Silicon Valley
§ l’investissement dans la recherche s’accroît de 20% par an en Chine
o la Chine accueille les investissements étrangers sur son sol, et bénéficie ainsi à la fois de nouveaux emplois et de transferts de technologies
o quand il n’est pas souhaité par les firmes étrangères, le transfert de technologie est souvent une condition nécessaire pour exporter (à court terme !) vers la Chine
§ La Chine achète des Airbus, mais la première usine de construction d’Airbus sera construite en Chine en 2008
§ La firme allemande Siemens a vendu 60 TGV à la Chine, mais 3 seulement seront construits en Allemagne
Une question : Pourquoi les économistes occidentaux continuent-ils à prôner la mondialisation, à affirmer contre toute évidence qu’elle profitera aux pays occidentaux s’ils investissent dans les nouvelles technologies ?
Une réponse ? Peut-être parce que la mondialisation profite aux sociétés occidentales : 85% des exportations chinoises dans les industries high-tech (pharmacie, aéronautique, télécommunications…) sont réalisées par des sociétés non chinoises. Les bénéfices sont rapatriés dans les pays occidentaux.
Qui est gagnant :
- les actionnaires de ces grandes compagnies
- une minorité de nouveaux riches dans les pays en développement
Qui est perdant ?
- les salariés occidentaux, réduits au chômage ou dont les conditions de travail et les revenus ne cessent de se dégrader, au nom de l’exigence de compétitivité
- la grande majorité des travailleurs chinois, dont les conditions de travail et les revenus n’ont bien sûr rien à voir avec ceux des occidentaux. Les raisons : une très forte concurrence, un exode rural qui amène toujours plus de travailleurs dans les villes (300 millions de plus prévus entre 2004 et 2010), un taux de chômage allant jusqu’à 70% dans certaines villes
- l’environnement en Chine : l’OMS estime que les 6 villes les plus polluées au monde sont en Chine, les pluies acide tombent sur 1/3 du pays, la moitié de ses eaux est « inutilisable », et la Chine va devenir le premier émetteur de gaz à effet de serre au monde.
Un changement brutal de société aurait des conséquences très graves à court terme : chômage, désorganisation. Les évolutions doivent être rapides –il y a urgence- mais progressives, pour que la société puisse s’y adapter. Elles reposent sur des changements culturels que des changements politiques accompagneront.
C’est pourquoi vous, simple grain de sable dans la multitude, vous pouvez agir :
- en consommant moins et en consommant mieux (producteurs, artisans locaux)
- en diffusant ces idées, en plaidant autour de vous pour l’abandon du dogme de la croissance, le refus de la publicité, une décroissance énergétique radicale, une politique favorisant les projets locaux et de dimensions humaines,
Nous pouvons changer notre vie !
Des constats :
- Le volume des exportations chinoises vers l’Europe a été multiplié par 40 depuis 78
- Il représentait 175 milliards d’euros en 2004, contre 97 milliards d’euros d’exportations européennes vers la Chine
- Le N°1 de la distribution dans le monde, l’américain Wal-Mart, a importé pour 18 milliards de dollars à la Chine en 2005 ; cela représente 1 million d’emplois délocalisés
- La Chine fabrique 85% des tracteurs, 75% des montres, 60% des lecteurs DVD, produits dans le monde
- Les délocalisations touchent de plus en plus les services :
o L’agence Reuters délocalise l’édition et les légendes de ses photos à Singapour
o Des compagnies basées à New Delhi en Inde proposent des devoirs à la maison individualisés aux étudiants américains
o L’industrie informatique américaine a perdu 16% de ses emplois en 3 ans, de 2001 à 2004
Des prévisions :
- plus de 4 millions d’emplois perdus dans les pays occidentaux dans le secteur des services d’ici 2008
- d’après une étude de l’OCDE, 15 catégories d’emplois, représentant 19% des emplois de l’union Européenne sont concernés : employés de bureau, ingénieurs et architectes, mathématiciens, chimistes, physiciens…
Des explications :
- la Chine dispose bien sûr de main d’œuvre bon marché (et le réservoir est immense) pour fabriquer des produits de base…
- … mais surtout la Chine et l’Inde rattrapent –ou plutôt ont rattrapé- leur retard technologique très rapidement
o la taille de ces pays leur donne des moyens énormes, à la fois financiers et en matière grise
§ la Chine forme 250 000 ingénieurs chaque année, dont 50 000 dans les nouvelles technologies ; il y a plus d’ingénieurs informatiques à Bangalore en Inde qu’à la Silicon Valley
§ l’investissement dans la recherche s’accroît de 20% par an en Chine
o la Chine accueille les investissements étrangers sur son sol, et bénéficie ainsi à la fois de nouveaux emplois et de transferts de technologies
o quand il n’est pas souhaité par les firmes étrangères, le transfert de technologie est souvent une condition nécessaire pour exporter (à court terme !) vers la Chine
§ La Chine achète des Airbus, mais la première usine de construction d’Airbus sera construite en Chine en 2008
§ La firme allemande Siemens a vendu 60 TGV à la Chine, mais 3 seulement seront construits en Allemagne
Une question : Pourquoi les économistes occidentaux continuent-ils à prôner la mondialisation, à affirmer contre toute évidence qu’elle profitera aux pays occidentaux s’ils investissent dans les nouvelles technologies ?
Une réponse ? Peut-être parce que la mondialisation profite aux sociétés occidentales : 85% des exportations chinoises dans les industries high-tech (pharmacie, aéronautique, télécommunications…) sont réalisées par des sociétés non chinoises. Les bénéfices sont rapatriés dans les pays occidentaux.
Qui est gagnant :
- les actionnaires de ces grandes compagnies
- une minorité de nouveaux riches dans les pays en développement
Qui est perdant ?
- les salariés occidentaux, réduits au chômage ou dont les conditions de travail et les revenus ne cessent de se dégrader, au nom de l’exigence de compétitivité
- la grande majorité des travailleurs chinois, dont les conditions de travail et les revenus n’ont bien sûr rien à voir avec ceux des occidentaux. Les raisons : une très forte concurrence, un exode rural qui amène toujours plus de travailleurs dans les villes (300 millions de plus prévus entre 2004 et 2010), un taux de chômage allant jusqu’à 70% dans certaines villes
- l’environnement en Chine : l’OMS estime que les 6 villes les plus polluées au monde sont en Chine, les pluies acide tombent sur 1/3 du pays, la moitié de ses eaux est « inutilisable », et la Chine va devenir le premier émetteur de gaz à effet de serre au monde.
Un changement brutal de société aurait des conséquences très graves à court terme : chômage, désorganisation. Les évolutions doivent être rapides –il y a urgence- mais progressives, pour que la société puisse s’y adapter. Elles reposent sur des changements culturels que des changements politiques accompagneront.
C’est pourquoi vous, simple grain de sable dans la multitude, vous pouvez agir :
- en consommant moins et en consommant mieux (producteurs, artisans locaux)
- en diffusant ces idées, en plaidant autour de vous pour l’abandon du dogme de la croissance, le refus de la publicité, une décroissance énergétique radicale, une politique favorisant les projets locaux et de dimensions humaines,
Nous pouvons changer notre vie !
24 mai 2006
OGM = DANGER
Le mois dernier j'ai mis en ligne un court extrait d'un reportage de Canal + sur les OGM.
Voici la quasi intégralité du reportage de 22 minutes qui fait frémir...
www.ogmpda.com/ogm.avi
Voici la quasi intégralité du reportage de 22 minutes qui fait frémir...
www.ogmpda.com/ogm.avi
Droit Universel De Création Monétaire
Aujourd'hui des pans entier de population n'ont plus accès à l'élémentaire parce qu'elle n'ont plus accès à l'argent. Pourquoi ?
Seraient ils aveugles… Manqueraient ils de volonté, de courage, de forces !!..Si comme la grande majorité des gens vous dites : « moi, je ne comprend rien aux problèmes monétaires »… Cela veut dire que le stratagème machiavélique de l'établissement financier et économique a réussi à maintenir un voile sur vos yeux grâce à une théorie complexe, une théorie truffée de concepts erronés, une théorie interdisant toute interprétation réelle des problèmes monétaires et économiques.- Nous ne voyons plus, nous ne savons plus qu’ en réalité ce sont tous les citoyens des peuples qui produisent tous les biens et services mis sur le marché.
- Nous ne voyons plus que sans ces biens et services, la monnaie n´aurait aucune raison d´être, donc aucune valeur.
- Ce sont donc les peuples par leur productivité qui font la valeur de la monnaie.
- De nos jours, a l’ instar des siècles précédents, la monnaie n´apparaît pas spontanément dans la nature, comme les biens et services la passivité est création de l´homme. Les anciens eux en avaient pleine connaissance.
- Le droit à la création de la monnaie appartient donc aux peuples puisqu´ils en font la réelle valeur produite.- Pourtant ce droit de création monétaire a été retiré aux peuples.
Ce droit de création a été confié aux banques.
- Qui disposent ainsi d'un monopole abyssal.
- Les peuples maintenant doivent acheter, emprunter, s'endetter auprès de ces banques
- Afin de disposer de la monnaie dont la valeur de leur propre travail de production
- Afin de disposer de la monnaie nécessaire à l'échange de leur propre travail de production
- A cette mise à disposition, cet emprunt, viennent s'y ajouter les TAUX d'intérêts
- De ce fait les coûts de production sont dépassés
- Nous achetons à ces banques de la monnaie de compte….de la monnaie de singe…
- Cette monnaie fiduciaire ne dispose plus de réelle garantie.
- Ainsi l´humanité est assise sur une montagne de dettes artificielles dont les conséquences sont dramatiques :
Diminution générale du pouvoir d´achat, extension de la pauvreté, et misère absolue pour une majeure partie de la population terrestre.Combien de temps encore pouvons-nous garder ce voile en acceptant de produire toutes les richesses sauf la monnaie indispensable à l´échange de ces mêmes richesses.
De grands économistes tels que Irving Fisher aux Etats-Unis? et Maurice Allais (prix Nobel d´économie) en France nous incitent déjà à la prise de conscience.
Il n´est pas trop tard pour agir mais il y a urgence.Redonnons du sens à notre société, en recréant un véritable système économique basé sur la transparence et le partage.Comment ?Il nous apparaît indispensable de commencer par définir les fondements juridiques et universels qui peuvent servir de base à un système financier et économique digne de notre conception de l'homme et de ses droits fondamentaux.
Nous proposons donc d'ajouter à la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme une section traitant des droits fondamentaux en ce qui concerne le système monétaire et économique.
Ce qui suit est une proposition qui doit servir de base de travail à l'élaboration d'une chartre définitive.PréambuleLa Déclaration Universelle des Droits de l'Homme adoptée en 1948 par les Nations Unies spécifie que :Article 2 : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.Article 4 : Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.Article 17 :Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.
Article 23 :Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égalQuiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.
Article 25:Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.Le système monétaire actuelLe système monétaire actuel est :Un monopole privé géré par des intérêts privés, ce monopole est sans représentation des intérêts du Peuple. Les citoyens n'ont ni contrôle ni pouvoir de décision sur l'émission de la monnaie et sur ses règles de circulation, la transparence sur la valeur de la monnaie est inexistante ou illusoire.Cet état de fait ce traduit par des monnaies:Payantes: la création monétaire se fait par création de crédits dont la seule contrepartie est une simple ligne d'écriture. Malgré cette création ex nihilo, tout crédit fait l'objet d'un taux d'usure (intérêt). Ce taux d'usure ou d'intérêt est la cause principale de l'inflation et le coût de l'argent représente une part majoritaire du prix des choses.Soutenant un esprit de compétition: l'argent nécessaire au remboursement de l'intérêt n'est pas crée lors de la création de crédit. Par conséquent les acteurs économiques sont en compétition pour obtenir l'argent nécessaire au remboursement de l'intérêt. Cet impératif est en grande partie responsable de l'inflation, de l'endettement de la course folle au profit.Instables : l'intérêt est une courbe exponentielle, ce qui veut dire que son montant peut rapidement dépasser la masse monétaire totale en circulation. Pour cette raison, les systèmes monétaires actuels n'ont pas d'autre alternative que l'effondrement, lorsque la masse monétaire initialement dédiée aux transactions est dépassée par la masse monétaire de remboursement d'intérêt.En conséquence, le Peuple déclare queLe système monétaire en cours, pour les raisons listées plus haut, ne respecte pas les Droits de l'Homme, en particulier les articles 2, 3, 17 et 25. Il génère des inégalités, des ségrégations, des formes masquées d'esclavage et empêche l'accès aux droits fondamentaux des personnes (santé, alimentation, éducation, habitation, sûreté, travail...).En conséquence, le Peuple déclare que :Le système monétaire est un bien commun. L'accès et l'utilisation du système monétaire est un droit inaliénable et gratuit.Tout groupe de personnes a le droit de créer et choisir ses propres outils monétaires. C'est un principe de souveraineté, d'égalité, et d'autodétermination de tout groupe de personnes.Toute monnaie est un bien commun du groupe de personne ayant décidé de sa création et utilisation.La gestion du système monétaire et des monnaies doit être un processus démocratique et transparent.Le système monétaire et économique a pour finalité première et prioritaire la satisfaction des besoins et droits fondamentaux décrits dans la Charte des Droits de l'Homme, en particulier en ce qui concerne les droits à l'alimentation, le logement, la santé, l'éducation, et au travail.Les ressources naturelles sont un bien commun. L'accès et l'utilisation des ressources font l'objet d'un partage et non d'une appropriation exclusive.
Seraient ils aveugles… Manqueraient ils de volonté, de courage, de forces !!..Si comme la grande majorité des gens vous dites : « moi, je ne comprend rien aux problèmes monétaires »… Cela veut dire que le stratagème machiavélique de l'établissement financier et économique a réussi à maintenir un voile sur vos yeux grâce à une théorie complexe, une théorie truffée de concepts erronés, une théorie interdisant toute interprétation réelle des problèmes monétaires et économiques.- Nous ne voyons plus, nous ne savons plus qu’ en réalité ce sont tous les citoyens des peuples qui produisent tous les biens et services mis sur le marché.
- Nous ne voyons plus que sans ces biens et services, la monnaie n´aurait aucune raison d´être, donc aucune valeur.
- Ce sont donc les peuples par leur productivité qui font la valeur de la monnaie.
- De nos jours, a l’ instar des siècles précédents, la monnaie n´apparaît pas spontanément dans la nature, comme les biens et services la passivité est création de l´homme. Les anciens eux en avaient pleine connaissance.
- Le droit à la création de la monnaie appartient donc aux peuples puisqu´ils en font la réelle valeur produite.- Pourtant ce droit de création monétaire a été retiré aux peuples.
Ce droit de création a été confié aux banques.
- Qui disposent ainsi d'un monopole abyssal.
- Les peuples maintenant doivent acheter, emprunter, s'endetter auprès de ces banques
- Afin de disposer de la monnaie dont la valeur de leur propre travail de production
- Afin de disposer de la monnaie nécessaire à l'échange de leur propre travail de production
- A cette mise à disposition, cet emprunt, viennent s'y ajouter les TAUX d'intérêts
- De ce fait les coûts de production sont dépassés
- Nous achetons à ces banques de la monnaie de compte….de la monnaie de singe…
- Cette monnaie fiduciaire ne dispose plus de réelle garantie.
- Ainsi l´humanité est assise sur une montagne de dettes artificielles dont les conséquences sont dramatiques :
Diminution générale du pouvoir d´achat, extension de la pauvreté, et misère absolue pour une majeure partie de la population terrestre.Combien de temps encore pouvons-nous garder ce voile en acceptant de produire toutes les richesses sauf la monnaie indispensable à l´échange de ces mêmes richesses.
De grands économistes tels que Irving Fisher aux Etats-Unis? et Maurice Allais (prix Nobel d´économie) en France nous incitent déjà à la prise de conscience.
Il n´est pas trop tard pour agir mais il y a urgence.Redonnons du sens à notre société, en recréant un véritable système économique basé sur la transparence et le partage.Comment ?Il nous apparaît indispensable de commencer par définir les fondements juridiques et universels qui peuvent servir de base à un système financier et économique digne de notre conception de l'homme et de ses droits fondamentaux.
Nous proposons donc d'ajouter à la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme une section traitant des droits fondamentaux en ce qui concerne le système monétaire et économique.
Ce qui suit est une proposition qui doit servir de base de travail à l'élaboration d'une chartre définitive.PréambuleLa Déclaration Universelle des Droits de l'Homme adoptée en 1948 par les Nations Unies spécifie que :Article 2 : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.Article 4 : Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.Article 17 :Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.
Article 23 :Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égalQuiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.
Article 25:Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.Le système monétaire actuelLe système monétaire actuel est :Un monopole privé géré par des intérêts privés, ce monopole est sans représentation des intérêts du Peuple. Les citoyens n'ont ni contrôle ni pouvoir de décision sur l'émission de la monnaie et sur ses règles de circulation, la transparence sur la valeur de la monnaie est inexistante ou illusoire.Cet état de fait ce traduit par des monnaies:Payantes: la création monétaire se fait par création de crédits dont la seule contrepartie est une simple ligne d'écriture. Malgré cette création ex nihilo, tout crédit fait l'objet d'un taux d'usure (intérêt). Ce taux d'usure ou d'intérêt est la cause principale de l'inflation et le coût de l'argent représente une part majoritaire du prix des choses.Soutenant un esprit de compétition: l'argent nécessaire au remboursement de l'intérêt n'est pas crée lors de la création de crédit. Par conséquent les acteurs économiques sont en compétition pour obtenir l'argent nécessaire au remboursement de l'intérêt. Cet impératif est en grande partie responsable de l'inflation, de l'endettement de la course folle au profit.Instables : l'intérêt est une courbe exponentielle, ce qui veut dire que son montant peut rapidement dépasser la masse monétaire totale en circulation. Pour cette raison, les systèmes monétaires actuels n'ont pas d'autre alternative que l'effondrement, lorsque la masse monétaire initialement dédiée aux transactions est dépassée par la masse monétaire de remboursement d'intérêt.En conséquence, le Peuple déclare queLe système monétaire en cours, pour les raisons listées plus haut, ne respecte pas les Droits de l'Homme, en particulier les articles 2, 3, 17 et 25. Il génère des inégalités, des ségrégations, des formes masquées d'esclavage et empêche l'accès aux droits fondamentaux des personnes (santé, alimentation, éducation, habitation, sûreté, travail...).En conséquence, le Peuple déclare que :Le système monétaire est un bien commun. L'accès et l'utilisation du système monétaire est un droit inaliénable et gratuit.Tout groupe de personnes a le droit de créer et choisir ses propres outils monétaires. C'est un principe de souveraineté, d'égalité, et d'autodétermination de tout groupe de personnes.Toute monnaie est un bien commun du groupe de personne ayant décidé de sa création et utilisation.La gestion du système monétaire et des monnaies doit être un processus démocratique et transparent.Le système monétaire et économique a pour finalité première et prioritaire la satisfaction des besoins et droits fondamentaux décrits dans la Charte des Droits de l'Homme, en particulier en ce qui concerne les droits à l'alimentation, le logement, la santé, l'éducation, et au travail.Les ressources naturelles sont un bien commun. L'accès et l'utilisation des ressources font l'objet d'un partage et non d'une appropriation exclusive.
Paroles
La langue est l'armure du cœur ; elle garde sa vie. Une parole forte et irresponsable, pleine de colère et de haine, affecte la santé de l'homme. Elle multiplie la colère et la haine dans les autres. Le silence est dit être d'or. L'homme silencieux n'a aucun ennemi, bien qu'il puisse ne pas avoir beaucoup d'amis non plus. Il a l'occasion de plonger en soi-même et d'examiner ses propres défauts et échecs. Il n'a plus d’inclination à les chercher dans les autres. Si votre pied glisse, vous souffrez d’une fracture ; si votre langue glisse, vous cassez la foi ou la joie de quelqu’un. Cette fracture ne peut jamais être bien placée ; cette blessure s'infectera à jamais. Par conséquent, utilisez la langue avec grand soin. Plus tendre est votre discours, moins vous parlez, le plus doucement vous parlez, plus le monde sera meilleur.
Sathya Sai Baba
Sathya Sai Baba
23 mai 2006
Qui possède les médias?
Résume très sommaire de l’état de concentration des médias tels qu’ils peuvent être perçus en France.
Les médias sont résumés ci-dessous par grands domaines.
Le sigle [FF] signifie que le capital appartient majoritairement à une seule famille, en général éponyme.
Le sigle [FI] signifie que le capital appartient en majorité à des établissements financiers, c’est-à-dire un peu des banques, et surtout des fonds d’investissement: mutual funds et private equity.
Production musicale: plus des deux tiers de la production mondiale sont réalisés par 4 sociétés, Universal Music (Vivendi [FI]), BMG (Sony [FI]/Bertelsmann [FF]), EMI [FI] et Warner Music [FI].
Production cinématographique : plus des deux tiers de la production mondiale sont réalisés par 5 sociétés, Disney [FI], Time Warner [FI], Viacom [FI], NBC (General Electric [FI]), Sony [FI].
Télévision: l’Etat français contrôle une diffusion réalisant 40% de l’audience française, et 45% sont contrôlés par Bouygues [FI] et Bertelsmann [FF].
Edition de livres: Lagardère [FI] et Editis (Wendel - FI ) réalisent plus des deux tiers de la production littéraire française.
Publicité/marketing/sondages : toutes les grandes sociétés mondiales (Omnicom, VNU, Publicis, Havas, Aegis...) appartiennent majoritairement à des établissements financiers, en petit nombre pour les gros actionnaires.
Journaux quotidiens nationaux d’information générale: les deux tiers des titres appartiennent, au moins en grande partie, à des établissements financiers et un tiers à des groupes familiaux (Dassault, Arnault et bientôt Bolloré avec "Direct soir").
Presse magazine: les deux tiers de la diffusion sont réalisés par 4 sociétés, Lagardère [FI], Bertelsmann [FF], EMAP (en vente, sera racheté par des fonds ou Bertelsmann), Dassault [FF].
Agences de presse: il n’y a que trois agences mondiales AP (presse US), Reuters [FI] et AFP (lié à l’Etat français).
Distribution de livres, musique et films: 40% de la distribution en France est faite par les groupes Pinault [FF] et Lagardère [FI]; 40% est faite par les grandes surfaces (Carrefour, Promodes, ...)
Distribution de journaux: plus des deux tiers faits en France par Lagardere [FI], et Bertelsmann [FF].Les groupes familiaux restants, à part Bertelsmann qui perd progressivement le contrôle et commence à devoir revendre, par exemple actuellement ses parts de BMG, ne sont pas des groupes de presse: Dassault (marchand de canons), Pinault (distribution, art et luxe), et Arnault (distribution, art et luxe), Bolloré (transport et exploitation forestière).
Les établissements financiers qui possèdent le reste sont:
- des banques: BNP Paribas, Crédit suisse, et surtout des banques new-yorkaises comme JP Morgan
- des fonds spéculatifs: Bain, Lee, Providence, Cinven, Wendel, Eurazeo, Carlyle
- des fonds de pension, comme Fidelity, dont la défense à l’OPA sur VNU montrent qu’ils ne se contentent pas d’un simple rôle de gestionnaire de portefeuille, et que leurs déclarations de propriété sont fort peu crédibles.Il s’agit au moins aux deux tiers d’intérêts US.
Cette prise de contrôle s’est faite à la faveur de plusieurs faillites, dont, en tout premier lieu, celle de Vivendi, qui a tout acheté puis dû tout revendre.Tous ces groupes ont des intérêts croisés deux à deux: administrateurs communs, actionnaires communs...
Un grand nombre de leurs dirigeants proviennent de cabinets ministériels, et réciproquement.
Aucun des établissements financiers qui contrôlent tout cela n’est investi uniquement dans les médias. A part Bertelsmann, il n’y a plus de société de médias qui soit pour son propriétaire une finalité.Et la concentration n’est pas finie, à en juger, par exemple, par les mouvements récents sur Dreamworks, Pixar, et les mouvements en cours sur Vivendi, VNU, Warner, BMG, Aegis, BVA, CSA...
Quelles en sont les conséquences ?
Tous ces tuyaux géants déversent un flux permanent de désinformation à but lucratif. Elles ne fâchent personne qui compte. On n’y apprendra, par exemple, pas grand chose sur les activités en Afrique des grands groupes français.Cela ne veut pas dire qu’une idée qui n’est pas publiée est vraie - même les miennes. Mais ce niveau de concentration, même s’il y a toujours eu des liens entre puissances de l’argent, de la presse et pouvoirs, atteint un degré et une puissance inégalés, qui menace la démocratie. En effet, le bon fonctionnement d’un système repose sur l’équilibre des pouvoirs. Or, comment créer des contre-pouvoirs sans moyens d’information d’une ampleur comparable?
Les médias sont résumés ci-dessous par grands domaines.
Le sigle [FF] signifie que le capital appartient majoritairement à une seule famille, en général éponyme.
Le sigle [FI] signifie que le capital appartient en majorité à des établissements financiers, c’est-à-dire un peu des banques, et surtout des fonds d’investissement: mutual funds et private equity.
Production musicale: plus des deux tiers de la production mondiale sont réalisés par 4 sociétés, Universal Music (Vivendi [FI]), BMG (Sony [FI]/Bertelsmann [FF]), EMI [FI] et Warner Music [FI].
Production cinématographique : plus des deux tiers de la production mondiale sont réalisés par 5 sociétés, Disney [FI], Time Warner [FI], Viacom [FI], NBC (General Electric [FI]), Sony [FI].
Télévision: l’Etat français contrôle une diffusion réalisant 40% de l’audience française, et 45% sont contrôlés par Bouygues [FI] et Bertelsmann [FF].
Edition de livres: Lagardère [FI] et Editis (Wendel - FI ) réalisent plus des deux tiers de la production littéraire française.
Publicité/marketing/sondages : toutes les grandes sociétés mondiales (Omnicom, VNU, Publicis, Havas, Aegis...) appartiennent majoritairement à des établissements financiers, en petit nombre pour les gros actionnaires.
Journaux quotidiens nationaux d’information générale: les deux tiers des titres appartiennent, au moins en grande partie, à des établissements financiers et un tiers à des groupes familiaux (Dassault, Arnault et bientôt Bolloré avec "Direct soir").
Presse magazine: les deux tiers de la diffusion sont réalisés par 4 sociétés, Lagardère [FI], Bertelsmann [FF], EMAP (en vente, sera racheté par des fonds ou Bertelsmann), Dassault [FF].
Agences de presse: il n’y a que trois agences mondiales AP (presse US), Reuters [FI] et AFP (lié à l’Etat français).
Distribution de livres, musique et films: 40% de la distribution en France est faite par les groupes Pinault [FF] et Lagardère [FI]; 40% est faite par les grandes surfaces (Carrefour, Promodes, ...)
Distribution de journaux: plus des deux tiers faits en France par Lagardere [FI], et Bertelsmann [FF].Les groupes familiaux restants, à part Bertelsmann qui perd progressivement le contrôle et commence à devoir revendre, par exemple actuellement ses parts de BMG, ne sont pas des groupes de presse: Dassault (marchand de canons), Pinault (distribution, art et luxe), et Arnault (distribution, art et luxe), Bolloré (transport et exploitation forestière).
Les établissements financiers qui possèdent le reste sont:
- des banques: BNP Paribas, Crédit suisse, et surtout des banques new-yorkaises comme JP Morgan
- des fonds spéculatifs: Bain, Lee, Providence, Cinven, Wendel, Eurazeo, Carlyle
- des fonds de pension, comme Fidelity, dont la défense à l’OPA sur VNU montrent qu’ils ne se contentent pas d’un simple rôle de gestionnaire de portefeuille, et que leurs déclarations de propriété sont fort peu crédibles.Il s’agit au moins aux deux tiers d’intérêts US.
Cette prise de contrôle s’est faite à la faveur de plusieurs faillites, dont, en tout premier lieu, celle de Vivendi, qui a tout acheté puis dû tout revendre.Tous ces groupes ont des intérêts croisés deux à deux: administrateurs communs, actionnaires communs...
Un grand nombre de leurs dirigeants proviennent de cabinets ministériels, et réciproquement.
Aucun des établissements financiers qui contrôlent tout cela n’est investi uniquement dans les médias. A part Bertelsmann, il n’y a plus de société de médias qui soit pour son propriétaire une finalité.Et la concentration n’est pas finie, à en juger, par exemple, par les mouvements récents sur Dreamworks, Pixar, et les mouvements en cours sur Vivendi, VNU, Warner, BMG, Aegis, BVA, CSA...
Quelles en sont les conséquences ?
Tous ces tuyaux géants déversent un flux permanent de désinformation à but lucratif. Elles ne fâchent personne qui compte. On n’y apprendra, par exemple, pas grand chose sur les activités en Afrique des grands groupes français.Cela ne veut pas dire qu’une idée qui n’est pas publiée est vraie - même les miennes. Mais ce niveau de concentration, même s’il y a toujours eu des liens entre puissances de l’argent, de la presse et pouvoirs, atteint un degré et une puissance inégalés, qui menace la démocratie. En effet, le bon fonctionnement d’un système repose sur l’équilibre des pouvoirs. Or, comment créer des contre-pouvoirs sans moyens d’information d’une ampleur comparable?
La joie
"La joie peut être comparée à une immense échelle. Oui, car la joie, comme beaucoup d’autres états de conscience, a une infinité de degrés: quand on mange, c’est une joie; quand on respire, quand on se promène, quand on lit, quand on chante, quand on rencontre et embrasse ceux que l’on aime, etc., ce sont chaque fois des joies différentes, plus ou moins intenses.Mais sur cette échelle de la joie, la plus grande, la plus haute joie est la fusion avec le Créateur. Le Créateur a donné aux créatures des possibilités infinies de joie, mais Il a gardé la plus grande félicité pour celui qui parvient à se fondre en Lui. Et lorsqu’il a goûté cet état de fusion, l’être humain commence à rayonner la Divinité, à la manifester consciemment tout autour de lui, afin d’en faire bénéficier toutes les créatures dans le monde, les aider, leur montrer le chemin. Voilà le degré le plus élevé de la joie."
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Omraam Mikhaël Aïvanhov
22 mai 2006
L'importance de nos attitudes.
L'accumulation de nos pensées quotidienne depuis votre naissance, fait ce que nous sommes aujourd'hui.Chaque émotion imprime une réalité dans notre corps.
Chaque croyance en imprime une autre.Et c'est celà qui nous permet d'expérimenter notre corps en totalité.Mais en sachant celà, il est possible aussi de comprendre la différence que peut avoir une pensée de joie ou une pensée de peine dans le corps, une pensée de santé ou de maladie, de chance ou de malchance, de réussite ou d'échec...
La grande différence entre les personnes qui restent longtemps en bonne santé et celles qui sont souvent malades vient bien souvent de leur moral et de leur façon de juger le monde.
Un plaignant permanent, active en lui des schémas de perte, d'échec et de maladie, alors qu'un optimiste qui ne s'écoute pas et continue de vivre en pensant que tout va aller mieux, va aller effectivement mieux !
Nous pouvons donc apprendre à repositiver nos pensées pour aller mieux volontairement.
En affirmant chaque jour des phrases comme 'je suis en parfaite santé, j'ai tout ce dont j'ai besoin à tout moment, je réussis tout ce que j'entreprends, je m'entend bien avec ma famille etc...' et en gardant ces idées bien actives à tout moment, nous imprimons alors une nouvelle réalité dans nos cellules qui se mettent à se réorganiser en conséquence.
C'est la nouvelle attitude qui change tout !
Alors osons être ce que nous rêvons d'être et arrêtons de subir notre propre châtiment !
Nous sommes notre propre bourreau et nous pouvons devenir notre propre libérateur !
Chacun est l'Être le plus important pour réussir sa propre vie !
Chaque croyance en imprime une autre.Et c'est celà qui nous permet d'expérimenter notre corps en totalité.Mais en sachant celà, il est possible aussi de comprendre la différence que peut avoir une pensée de joie ou une pensée de peine dans le corps, une pensée de santé ou de maladie, de chance ou de malchance, de réussite ou d'échec...
La grande différence entre les personnes qui restent longtemps en bonne santé et celles qui sont souvent malades vient bien souvent de leur moral et de leur façon de juger le monde.
Un plaignant permanent, active en lui des schémas de perte, d'échec et de maladie, alors qu'un optimiste qui ne s'écoute pas et continue de vivre en pensant que tout va aller mieux, va aller effectivement mieux !
Nous pouvons donc apprendre à repositiver nos pensées pour aller mieux volontairement.
En affirmant chaque jour des phrases comme 'je suis en parfaite santé, j'ai tout ce dont j'ai besoin à tout moment, je réussis tout ce que j'entreprends, je m'entend bien avec ma famille etc...' et en gardant ces idées bien actives à tout moment, nous imprimons alors une nouvelle réalité dans nos cellules qui se mettent à se réorganiser en conséquence.
C'est la nouvelle attitude qui change tout !
Alors osons être ce que nous rêvons d'être et arrêtons de subir notre propre châtiment !
Nous sommes notre propre bourreau et nous pouvons devenir notre propre libérateur !
Chacun est l'Être le plus important pour réussir sa propre vie !
Bollywood fait maison
Voici un site où il vous est possible de sous-titrer des extraits de films indiens et de les envoyer à des amis. Cela peut être très rigolo!
Voici 3 exemples:
http://www.grapheine.com/bombaytv/play_fr.php?id=1242169
http://www.grapheine.com/bombaytv/play_fr.php?id=1242121
http://www.grapheine.com/bombaytv/play_fr.php?id=1242090
Et voici le site:
http://www.grapheine.com/bombaytv/index_fr.php
Voici 3 exemples:
http://www.grapheine.com/bombaytv/play_fr.php?id=1242169
http://www.grapheine.com/bombaytv/play_fr.php?id=1242121
http://www.grapheine.com/bombaytv/play_fr.php?id=1242090
Et voici le site:
http://www.grapheine.com/bombaytv/index_fr.php
Les graines et semences rustiques gagnantes au procés intenté à Kokopelli !
jeudi 11 mai 2006
Alors que l’Etat Français, au mépris du consensus populaire, légalise la dissémination des chimères génétiques sur le territoire de France et ratifie, en catimini, la nouvelle version 1991 du traité de l’UPOV (qui interdit à tout jamais aux paysans de semer le grain récolté) ; alors que des militants faucheurs de chimères génétiques se voient bloquer leur compte bancaire et condamner à payer des amendes de centaines de milliers d’euros,
l’Association Kokopelli a gagné le premier des deux procès qui lui étaient intentés.
Le 14 mars 2006, le Tribunal d’Instance d’Alès a relaxé Dominique Guillet (président de l’Association Kokopelli), a débouté le GNIS et la FNPSP ( Fédération Nationale des Professionnels de Semences Potagères et Florales) de l’ensemble de leurs demandes et a laissé les dépens à la charge de l’Etat.
Le GNIS et la FNPSP avaient porté plainte contre l’Association Kokopelli pour commercialisation de variétés de semences non inscrites sur le catalogue national. Rappelons que le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences) est un organisme hybride ( à la fois officiel et interprofessionnel), sous tutelle du Ministère de l’Agriculture et dont la création remonte au gouvernement du Maréchal Pétain en 1941.
Le Tribunal d’Instance d’Alès a souligné que "il existe bien tant au niveau communautaire qu’au niveau national le cadre légal susceptible de permettre l’inscription de variétés de semences anciennes sur un catalogue officiel", que " l’incrimination générale des variétés de semences anciennes commercialisées par l’Association Kokopelli, au motif de leur non-inscription sur le catalogue officiel ou le registre annexe, est incompatible avec les objectifs du droit communautaire de créer une liste de variétés de conservation" et "qu’enfin, rien ne permet de soutenir, en l’absence justement de détermination précise des conditions de leur inscription au catalogue, que les semences de Kokopelli ne seraient pas éligibles à cette procédure".
Nous nous réjouissons de cette première victoire. Puisse t-elle nous encourager à continuer notre combat conte le terrorisme alimentaire orchestré depuis des dizaines d’années par les multinationales biocidaires avec la complicité de nombreux Etats : ces fabricants de poisons détruisent la Planète, imposent leurs chimères génétiques et leurs clones végétaux dégénérescents tout en confisquant le Vivant.
Soulignons de nouveau que le GNIS (sous tutelle du Ministère de l’Agriculture) attaque l’Association Kokopelli pour distribution de variétés anciennes de potagères alors que la France claironne haut et fort son engagement à lutter conte l’érosion génétique et qu’elle a signé en juin 2004 le Traité de Rome portant sur la protection de la biodiversité alimentaire.
La réalité est, en fait, que cinq multinationales contrôlent 75 % du marché des semences potagères sur la planète : elles dictent leurs lois et ont pris en otages les peuples et les nations. Monsanto est le numéro 1 de ces cinq corporations.
Nous vous invitions à signer notre pétition, en ligne, pour les Semences Libres : http://www.univers-nature.com/signe...
Le second procès, intenté contre l’Association Kokopelli par la société Graines Baumaux de Nancy n’a pas encore été appelé à l’audience. Voir le communiqué
Nous vous invitons également à lire un communiqué de Jean-Pierre Berlan, directeur de recherches INRA. http://www.kokopelli.asso.fr/actu/n...
Encore merci pour votre soutien
Dominique Guillet
Association Kokopelli
Alors que l’Etat Français, au mépris du consensus populaire, légalise la dissémination des chimères génétiques sur le territoire de France et ratifie, en catimini, la nouvelle version 1991 du traité de l’UPOV (qui interdit à tout jamais aux paysans de semer le grain récolté) ; alors que des militants faucheurs de chimères génétiques se voient bloquer leur compte bancaire et condamner à payer des amendes de centaines de milliers d’euros,
l’Association Kokopelli a gagné le premier des deux procès qui lui étaient intentés.
Le 14 mars 2006, le Tribunal d’Instance d’Alès a relaxé Dominique Guillet (président de l’Association Kokopelli), a débouté le GNIS et la FNPSP ( Fédération Nationale des Professionnels de Semences Potagères et Florales) de l’ensemble de leurs demandes et a laissé les dépens à la charge de l’Etat.
Le GNIS et la FNPSP avaient porté plainte contre l’Association Kokopelli pour commercialisation de variétés de semences non inscrites sur le catalogue national. Rappelons que le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences) est un organisme hybride ( à la fois officiel et interprofessionnel), sous tutelle du Ministère de l’Agriculture et dont la création remonte au gouvernement du Maréchal Pétain en 1941.
Le Tribunal d’Instance d’Alès a souligné que "il existe bien tant au niveau communautaire qu’au niveau national le cadre légal susceptible de permettre l’inscription de variétés de semences anciennes sur un catalogue officiel", que " l’incrimination générale des variétés de semences anciennes commercialisées par l’Association Kokopelli, au motif de leur non-inscription sur le catalogue officiel ou le registre annexe, est incompatible avec les objectifs du droit communautaire de créer une liste de variétés de conservation" et "qu’enfin, rien ne permet de soutenir, en l’absence justement de détermination précise des conditions de leur inscription au catalogue, que les semences de Kokopelli ne seraient pas éligibles à cette procédure".
Nous nous réjouissons de cette première victoire. Puisse t-elle nous encourager à continuer notre combat conte le terrorisme alimentaire orchestré depuis des dizaines d’années par les multinationales biocidaires avec la complicité de nombreux Etats : ces fabricants de poisons détruisent la Planète, imposent leurs chimères génétiques et leurs clones végétaux dégénérescents tout en confisquant le Vivant.
Soulignons de nouveau que le GNIS (sous tutelle du Ministère de l’Agriculture) attaque l’Association Kokopelli pour distribution de variétés anciennes de potagères alors que la France claironne haut et fort son engagement à lutter conte l’érosion génétique et qu’elle a signé en juin 2004 le Traité de Rome portant sur la protection de la biodiversité alimentaire.
La réalité est, en fait, que cinq multinationales contrôlent 75 % du marché des semences potagères sur la planète : elles dictent leurs lois et ont pris en otages les peuples et les nations. Monsanto est le numéro 1 de ces cinq corporations.
Nous vous invitions à signer notre pétition, en ligne, pour les Semences Libres : http://www.univers-nature.com/signe...
Le second procès, intenté contre l’Association Kokopelli par la société Graines Baumaux de Nancy n’a pas encore été appelé à l’audience. Voir le communiqué
Nous vous invitons également à lire un communiqué de Jean-Pierre Berlan, directeur de recherches INRA. http://www.kokopelli.asso.fr/actu/n...
Encore merci pour votre soutien
Dominique Guillet
Association Kokopelli
20 mai 2006
L’avion magique du Pentagone : épisode 2
Le gouvernement américain s'enfonce et s'empêtre dans le mensonge!
par Pierre-Henri Bunel le 17 mai 2006
À la requête de l’association néo-conservatrice Judicial Watch, le département de la Défense des États-Unis a rendu publique la vidéo complète de l’attentat survenu le 11 septembre 2001 au Pentagone. La presse néo-conservatrice se réjouit de cette publication qui contredirait définitivement nos analyses. En réalité, la vidéo ne contient pas d’élément supplémentaire par rapport aux images déjà rendues publiques en 2002, et il reste absolument impossible d’y observer un Boeing 757-200. Cette séquence confirme au contraire l’analyse du commandant Pierre-Henri Bunel publiée par Thierry Meyssan dans son livre Le Pentagate et que nous reproduisons ici.
Les vidéos du département de la Défense des États-Unis
« L’effet d’une charge creuse », quatrième chapitre du livre Le Pentagate
Quelle est la nature de l’explosion qui a eu lieu au Pentagone le 11 septembre 2001 ?
Une analyse des images vidéo de l’impact et des photographies des dégâts permet de savoir par quel type d’engin l’attentat a été causé. L’explosion correspond-elle à celle qui peut être produite par le kérosène d’un avion ou à celle d’un véritable explosif ? L’incendie correspond-il à un incendie d’hydrocarbures ou à un feu classique ?
Déflagration ou détonation ?
En préambule, il paraît indispensable d’éclairer le lecteur sur un distinguo essentiel :
la différence entre une déflagration et une détonation.
La combustion des matières explosives chimiques, les poudres, les explosifs ou les hydrocarbures, par exemple, dégagent de l’énergie en produisant une onde de choc. La diffusion à grande vitesse de l’énorme quantité de gaz produite par la réaction chimique s’accompagne d’une flamme, de bruit causé par le déplacement de l’onde de choc dans l’air et de fumées. On observe également souvent, avant même de voir la flamme, un nuage de vapeur dû à la compression de l’air qui entoure la zone d’explosion. L’air ne peut pas se mettre en mouvement immédiatement, alors il se comprime sous l’influence de l’onde de choc. Dans le premier temps, sous la compression des molécules d’air, la vapeur d’eau invisible que contient toujours l’atmosphère en plus ou moins grande quantité se comprime et devient visible sous la forme d’un nuage blanc.Ce sur quoi je voudrais insister est la notion de l’onde de choc. Une explosion est une réaction qui projette des gaz à une vitesse plus ou moins grande. Les matières explosives, suivant leur constitution chimique et l’agencement physique de leurs molécules, impriment aux gaz qu’elles génèrent une vitesse de propagation plus ou moins grande. On dit qu’elles sont plus ou moins progressives. L’observation de l’onde de choc est donc une indication précieuse sur la vitesse des gaz projetés par l’explosion.
On divise les matières explosives en deux groupes, suivant leur progressivité. Les explosifs produisent une onde de choc dont la vitesse de propagation est supérieure à une valeur d’environ deux mille mètres par seconde. On dit qu’ils « détonent ». Les matières explosives dont la vitesse d’onde de choc est inférieure ne détonent pas. Elles « déflagrent ». Il s’agit par exemple de poudres ou d’hydrocarbures. Dans un moteur à explosion - et un turboréacteur de Boeing 757 est un moteur à explosion continue - le carburant sous pression déflagre et ne détone pas. S’il détonait, la structure du moteur n’y résisterait pas. Le kérosène d’un avion de ligne qui s’écrase s’enflamme et ne produit généralement même pas de déflagration, sauf exceptionnellement et sur des points limités aux moteurs. Dans le cas de l’Airbus qui est tombé à New York sur le quartier du Queens au mois de novembre 2001, les moteurs n’ont pas explosé à l’arrivée au sol. Le kérosène est une huile lourde analogue au gazole, trifiltrée pour remplir les conditions physiques de passage dans les injecteurs des moteurs à réaction. Ce n’est donc en aucun cas un explosif.
La couleur des explosions est aussi assez remarquable. Lors de détonations, l’onde de choc se déplace rapidement. Si l’explosion est aérienne et sans obstacle, la flamme est souvent jaune pâle au point d’explosion. En s’éloignant du point zéro, elle vire à l’orange puis au rouge. Lorsqu’elle rencontre des obstacles, comme les murs d’un bâtiment, on ne voit pratiquement pas la partie jaune clair. La durée d’illumination de cette couleur est brève. La forme de la flamme donne une impression de « raideur » en raison de la vitesse de propagation. Ce n’est que lorsque les poussières levées par l’onde de choc ont commencé à brûler sous la brutale élévation de température qu’apparaissent les fumées. Il s’agit alors de fumées d’incendie qui n’ont que peu de similitudes avec les volutes noires et lourdes des feux d’hydrocarbures.
Mais les explosifs solides ne sont pas de simples combinaisons chimiques. On peut améliorer leur efficacité en jouant sur leurs formes physiques. En principe, l’onde de choc des explosifs se propage perpendiculairement à la surface mise en réaction. En travaillant les formes des charges on peut donc orienter l’onde de choc de façon à envoyer le maximum d’énergie dans une direction donnée, comme on dirige la lumière d’un phare avec un réflecteur. C’est ainsi qu’on trouve des charges sphériques dont l’onde de choc part dans toutes les directions, des charges cylindriques comme celles qui équipent les obus shrapnell, ces armes qui éclatent en minuscules morceaux d’acier de la taille d’un carré de chocolat mitraillant le champ de bataille, des charges plates, qui permettent de faire des trous dans des obstacles plans avec le minimum de perte d’énergie dans les directions inutiles, mais aussi des charges creuses. Celles-ci concentrent l’onde de choc principale sous la forme d’un dard à haute température qui véhicule une quantité d’énergie capable de percer des blindages d’acier, de composites ou de béton.
La mise de feu
L’explosif qui constitue l’arme [1] doit exploser au moment voulu. Pour pouvoir réagir exactement comme le souhaite l’utilisateur, il faut qu’il ait une certaine stabilité. L’explosif qui constitue la charge principale d’une arme est trop stable pour exploser à un simple choc. En fait, pour initialiser la réaction chimique, il faut soumettre la charge à une onde de choc provoquée par un explosif plus sensible et moins puissant qu’on appelle le détonateur. La charge d’explosif du détonateur réagit à un choc, à une étincelle ou à une impulsion électrique ou électromagnétique. Il se crée alors une onde de choc qui provoque la détonation de la charge principale.
Le système qui commande l’explosion du détonateur s’appelle le système de mise de feu. Les dispositifs sont très variés et il serait trop long de les étudier tous. Je vais donc me contenter de traiter de deux systèmes qui peuvent avoir servi au Pentagone, le système de mise de feu des explosifs commandés par l’opérateur et les systèmes de mise de feu pour charge creuse à percussion instantanée et à court retard.
Les obus, les bombes ou les missiles sont équipés d’un système de mise de feu qui comprend un déclencheur, un système de retard, un détonateur. Ce dispositif s’appelle une fusée. Il se fixe sur l’arme soit à la construction, soit au moment du conditionnement pour le tir. Il comprend un système de sécurité qui empêche le fonctionnement de l’ensemble jusqu’au moment de l’armement.
Le déclencheur peut être activé par le choc dans le cas des fusées à percussion, par un radar détecteur de distance dans le cas des fusées radioélectriques, par la réaction à une source de chaleur ou à une masse magnétique dans le cas des fusées thermiques et magnétiques.
Soit le déclencheur provoque instantanément la détonation, soit le système de retard fait que l’arme ne détone que quelques millisecondes après l’impact. Dans ce dernier cas, l’arme commence à pénétrer l’objectif en l’entamant physiquement avec son blindage. La charge détone une fois que l’arme est déjà entrée dans l’objectif, ce qui accroît l’effet destructeur.
Pour certaines fortifications très dures, on trouve même des armes à plusieurs charges. Les premières fracturent le béton et la ou les suivantes pénètrent et détonent. En général, les charges anti-béton sont des charges creuses. Le dard d’énergie et de matières fondues perce la fortification et répand à l’intérieur des quantités de matières chaudes poussées par une colonne d’énergie qui perce les murs comme un emporte-pièce. La haute chaleur produite par la détonation de la charge creuse provoque des incendies de tout ce qui est combustible à l’intérieur.
Pendant la guerre du Golfe, les missiles ou les bombes guidés anti-fortification ont percé tous les bunkers de béton qui ont été touchés, notamment au Fort de As Salmân. Une même bombe pouvait percer trois épaisseurs de béton armé en ayant commencé par la plus épaisse, celle de l’extérieur.
Le missile
Pour conduire une attaque avec un tel système d’arme, il faut à l’évidence un lanceur. Dans le cas de bombes guidées, le lanceur est un avion ou à la rigueur un hélicoptère puissant. L’arme part alors avec une vitesse initiale qui est celle du véhicule porteur. Elle descend en vol plané et se guide en général en suivant une illumination laser. Dans le cas d’un missile, la portée est beaucoup plus grande parce que le missile dispose de son propre moteur. A la rigueur, on peut même concevoir que le missile parte d’une rampe de lancement à terre. Il existe d’ailleurs des missiles sol-sol capables d’emporter des armes anti-forteresse.
Un missile de croisière de modèle récent suit en général trois phases de vol. Le lancement, au cours duquel il prend sa vitesse de vol en sortant d’une soute d’avion ou d’un tube lance-missile. Poussé par un moteur à pleine puissance, il atteint sa vitesse de croisière et déploie ses ailes et empennage. Il descend ensuite à son altitude de croisière et suit son trajet d’approche. Au cours de cette phase du vol, il change souvent de direction, vire en fonction du programme de vol, monte ou descend pour rester assez bas au-dessus du sol pour échapper autant que faire se peut à la détection. On pourrait alors le prendre pour un avion de combat en vol tactique. Il a cette attitude jusqu’au moment où il arrive au point d’entrée de la phase terminale. Ce point se situe à une certaine distance de l’objectif, deux à trois kilomètres suivant les modèles. A partir de ce point, le missile vole en ligne droite vers la cible et subit une forte accélération qui lui donne le maximum de vitesse pour frapper l’objectif avec le maximum de force de pénétration.
Il faut donc que le missile aborde le point d’entrée de la phase terminale avec une grande précision et qu’avant la phase d’accélération il soit non seulement au bon endroit mais dans la bonne direction. C’est pourquoi il arrive fréquemment que le missile finisse son vol de croisière par un virage serré qui lui permet de prendre le bon « alignement ». Un témoin peut percevoir que le missile réduit sa puissance motrice avant de « remettre les gaz ».
Le type d’explosion observée au Pentagone
Le 8 mars 2002, un mois après le début de la polémique sur Internet et trois jours avant la sortie du livre L’Effroyable Imposture, cinq nouvelles images de l’attentat sont publiées par CNN. [2] Une agence photo les a ensuite très largement diffusées dans de nombreux journaux à travers le monde. Ces images issues d’une caméra de surveillance n’auraient pas été rendues publiques par le Pentagone, qui s’est contenté de les authentifier. On y voit se développer la flamme de l’impact sur la façade du bâtiment du département de la Défense.
http://www.youtube.com/watch?v=L75Gga92WO8
La première vue (cahier photo, p. II, reproduite ci-dessus) est celle d’une gerbe blanche qui semble être une fumée blanche. Elle rappelle immanquablement la vaporisation de l’eau contenue dans l’air ambiant au moment du début du déploiement dans l’atmosphère d’une onde de choc supersonique de matière détonante. On distingue toutefois des traces de flamme rouge caractéristique des hautes températures qu’atteint l’air sous la pression d’une onde de choc rapide.
Ce qui saute aux yeux, c’est que l’onde de choc démarre de l’intérieur du bâtiment. On voit au-dessus du toit la sortie de la boule d’énergie qui n’est pas encore une boule de feu. On peut légitimement penser à une détonation d’un explosif à haut pouvoir énergétique, mais pour le moment on ne peut encore déterminer s’il s’agit d’une charge à effet dirigé ou non.
On distingue au ras du sol, partant de la droite de la photo et allant vers la base de la masse de vapeur blanche, un sillon blanc de fumée. Il laisse carrément penser à la fumée qui sort de la tuyère d’un propulseur d’engin volant. A la différence de la fumée qui sortirait des deux moteurs à kérosène, celle-ci est bien blanche. Les turboréacteurs d’un Boeing 757 auraient, en effet, laissé une traînée de fumée beaucoup plus noire. Le seul examen de cette photo laisse déjà penser à un appareil volant monomoteur de beaucoup plus petite taille qu’un avion de ligne. Pas à deux turbopropulseurs General Electric.
http://www.youtube.com/watch?v=TAaP4Z3zls8
Sur la deuxième vue (cahier photo, p. III, reproduite ci-dessus), on voit toujours le sillon de fumée horizontal mais on distingue très nettement le développement de la flamme rouge. Il est intéressant de comparer à cette vue de l’impact sur le Pentagone celle de l’impact de l’avion sur la deuxième tour du World Trade Center (cahier photo, p. III). La couleur de celle-ci est jaune, témoignant d’une plus basse température de combustion. Elle est mêlée de fumées noires et lourdes. C’est celle de la combustion d’hydrocarbures dans l’air. En l’occurrence, il s’agit du kérosène contenu dans un avion. Cette flamme descend assez lentement en avant de la façade que l’avion a pénétrée, emportée par la chute du carburant qui tombe. Au contraire, la flamme de l’explosion du Pentagone monte vivement de l’intérieur du bâtiment en arrachant des débris qu’on voit mêlés à la flamme rouge. Il n’y a plus le nuage de vapeur dû à l’onde de choc qui, sur la première photo de l’impact au Pentagone, masque la flamme. La chaleur intense l’a fait s’évaporer. Ce qui est, nous l’avons vu, caractéristique des détonations d’explosif à fort rendement.
Et profitons-en pour noter l’aspect des fumées qui montent de la première tour frappée, alors que l’incendie s’y développe. Il s’agit de volutes lourdes et grasses. En ce qui concerne la trace de l’avion dans l’air, à la différence de l’appareil qui semble avoir frappé le Pentagone, il n’y a aucun sillage alors que l’impact vient d’avoir lieu.
Les photos de la page IV du cahier (reproduite ci-dessus) ont été prises très peu de temps après l’explosion. Les pompiers ne sont pas encore en action. Sur celle du haut, la flamme de l’explosion s’est éteinte. L’incendie allumé par l’explosif couve et les flammes ne sont pas encore visibles, à part au niveau du point d’impact, à l’endroit de la lueur rouge dans l’axe du support vertical du panneau autoroutier. Nous ne sommes donc pas dans la configuration d’un incendie d’avion de ligne car le kérosène se serait enflammé instantanément. La façade ne s’est pas encore effondrée. Elle ne présente pas de destruction mécanique importante visible, alors que les étages et le toit ont déjà été atteints par le souffle.
Sur la photo du bas, prise selon son auteur environ une minute plus tard, les incendies allumés à l’intérieur du bâtiment par l’onde de chaleur commencent à prendre de l’ampleur. La flèche indique un trou dans la façade par lequel on voit le foyer d’un incendie en train de monter. La façade ne s’est toujours pas effondrée et la fumée initiale se dissipe. Ce n’est qu’après que les feux auront commencé à se rejoindre et à constituer un incendie unique que des fumées plus fortes apparaîtront, mais sans jamais présenter l’aspect de fumées d’un incendie d’avion de ligne avec ses réservoirs de kérosène.
En somme, rien que l’examen de ces photos que tout le monde a pu voir dans la presse permet de mesurer des différences frappantes entre les deux explosions. Si la flamme du World Trade Center est à l’évidence celle du kérosène d’un avion, il semble bien qu’il en aille tout autrement au Pentagone. L’appareil volant qui a frappé le département de la Défense n’a, à première vue, rien à voir avec l’avion de ligne de la version officielle. Mais il faut poursuivre l’étude pour progresser dans la recherche d’éléments qui nous permettront peut-être de déterminer la nature de l’explosion qui a endommagé le Pentagone.
Un incendie d’hydrocarbures ?
Lorsque les pompiers interviennent sur le site, on voit clairement qu’ils utilisent de l’eau pour attaquer le feu (cahier photo, p. X). Plusieurs photographies officielles montrent un camion d’intervention de pompiers qu’on appelle en langage français un CCFM, camion citerne pour feu moyen. L’eau sort des lances avec une couleur blanche, elle ne contient donc pas cette substance que l’on utilise sur certains feux et que l’on appelle un retardant. En général les retardants colorent l’eau en rougeâtre ou en brunâtre. Donc ce feu principal que l’on attaque n’est pas un feu d’hydrocarbure, parce que l’on ne distingue pas de canon à mousse caractéristique des interventions sur accidents d’avion ni de lances projetant des produits adaptés.
Toutefois, l’examen de la photo du haut de la page VI (reproduite ci-dessus) montre des résidus de mousse carbonique. L’explication est donnée par certains témoignages du 11 septembre selon lesquels un hélicoptère, pour les uns, un camion, pour les autres, stationné à proximité de la façade aurait explosé. On observe en tout cas sur plusieurs images un camion en feu à droite de l’impact. En revanche, la quantité de résidus de mousse est assez faible. Elle est essentiellement répandue non sur l’incendie du bâtiment mais sur la pelouse qui s’étend devant, comme si l’on avait éteint un feu allumé par celui de l’attentat. C’est ce qu’on appelle un feu par sympathie, en langage de pompier. Une lance à mousse a donc été utilisée pour éteindre un ou plusieurs incendies secondaires.
On peut voir sur les images diffusées par le département de la Défense un camion armé d’un canon lance-mousse attaquer un feu situé en avant de la façade pendant que des pompes à grande puissance attaquent le feu principal à l’intérieur du bâtiment. L’aspersion telle qu’elle est conduite à ce moment-là vise manifestement à abaisser la température générale en mouillant tout a priori, avant de pouvoir pénétrer dans le bâtiment pour y éteindre les incendies point par point.
Ainsi, alors même que l’incendie de réservoirs presque pleins devrait nécessiter l’emploi massif de moyens spécialisés pour des feux d’hydrocarbures, les pompiers utilisent de l’eau normale qui sert à l’intervention sur ce qu’on appelle les feux urbains sans combustibles spéciaux. En outre, ce que l’on peut voir de la fumée correspond tout à fait à celle d’un incendie normal dans un immeuble en ville, tant dans les couleurs que dans l’aspect des volutes. Aucune comparaison possible avec celle qui monte du World Trade Center au même moment.
Artillerie, renseignement et BDA
Après avoir réagi en ancien pompier, je vais réagir en officier observateur d’artillerie. Parmi ses tâches, il doit repérer les objectifs, estimer le type d’arme qu’il va falloir employer pour les traiter et la quantité de projectiles qu’il faut appliquer pour les rendre inoffensifs. Une fois que l’objectif a été traité, il faut encore faire l’évaluation des dégâts réels pour mesurer si la première frappe a suffi ou s’il faut continuer les tirs.
Il s’agit d’établir un bilan des destructions qu’on transmet ensuite vers les échelons de commandement et de renseignement. Cette évaluation des dommages du champ de bataille s’appelle en anglais la BDA (battlefield damage assessment). Il faut bien sûr faire preuve du maximum d’objectivité dans ces évaluations : il serait stupide de redemander des tirs sur un objectif déjà neutralisé ou détruit, mais tout autant de laisser penser qu’un objectif est hors d’état de nuire alors qu’il présente encore une menace.
Pendant la guerre du Golfe, se tenait tous les jours une réunion au PC du général Schwarzkopf entre les trois commandants en chef français, britannique et américain. Une partie du chapitre « renseignement » du briefing portait sur l’examen de photos de BDA. Et Schwarzkopf y portait une attention toute particulière. Sur ces prises de vues on voyait les effets des armes et l’ampleur des dégâts infligés aux objectifs.
Ce n’était pas voyeurisme de la part des trois généraux. Cela leur permettait de décider s’il y avait lieu de continuer à attaquer les objectifs déjà traités mais aussi de décider d’utiliser des armes moins puissantes pour éviter que les destructions infligées aux objectifs militaires n’aient des conséquences sur l’environnement civil. Autant dire que l’évaluation des dommages, pour les interprétateurs d’images, pour les observateurs d’artillerie et pour les officiers de renseignement est une matière clé que nous étudions soigneusement. Et lorsqu’à la théorie on joint l’expérience, ce qui est malheureusement mon cas, on dispose tout de même de quelques éléments d’appréciation objective pour examiner les dégâts portés à un bâtiment ; surtout si on le connaît assez bien, ce qui là encore est mon cas.
Les photos officielles de la façade
Une vue générale de la façade est des plus intéressantes. Toujours en provenance des organismes officiels américains, elle est présentée en haut de la page V du cahier photo (reproduite ci-dessus).
Alors que les pompiers ont fini de travailler sur l’extérieur du bâtiment, on distingue plusieurs éléments instructifs. D’abord, les suies qui couvrent la façade sont un mélange de celles qu’auraient déposées les fumées d’un incendie classique. D’autres sont caractéristiques de celles que dépose l’onde de choc d’un explosif à haute performance, mais en aucun cas de la couche grasse et épaisse que dépose un feu de kérosène. Les vitres ont été brisées par une détonation et non pas fondues par un incendie d’hydrocarbures qui aurait duré plusieurs jours. Le plus remarquable, c’est que peu d’entre elles sont brisées, et que les fenêtres atteintes sont situées essentiellement près du point d’explosion et au niveau des bas étages. Près du point zéro, donc. Il est très vraisemblable que l’onde de choc s’est propagée le long des couloirs, et on le suit très bien sur la photo d’ensemble de la page XI du cahier. Cela corrobore le témoignage de David Theall [3]. Cet officier de liaison du Pentagone décrit l’arrivée soudaine d’un bruit violent accompagné de débris qui a ravagé le couloir où donnait son bureau.
Au début du déplacement, l’onde de choc a brisé les vitres et, une fois canalisée par les murs des couloirs, elle a pris une orientation qui n’a plus eu autant d’effet sur les fenêtres. Il faut préciser qu’il s’agit de fenêtres à double vitrage dont la vitre extérieure est particulièrement solide. C’est ce qu’a déclaré le représentant de la société qui les a placées [4] et c’est aussi ce que l’on m’avait expliqué bien avant cet attentat lors d’une visite officielle au Pentagone en tant qu’interprète.
Sur une photo cadrée de plus près et plus détaillée, en bas de la page V, on a une vue de la zone d’impact après déblaiement. Elle permet de distinguer nettement les piliers verticaux de béton de l’ossature du bâtiment et les couloirs qui parcourent les étages. On comprend alors mieux comment l’onde de choc a longé les fenêtres dont nous avons parlé plus haut.
Le cliché montre que les piliers verticaux, dont certains sont entourés de coffrages de bois, ont à l’évidence été fragilisés au rez-de-chaussée, c’est-à-dire à l’endroit où s’est produite la détonation. Mais ils n’ont pas été broyés et brisés comme cela aurait été le cas s’ils avaient été frappés par le bord d’attaque des ailes d’un avion de cent tonnes. Ils auraient été atteints par la partie du bord d’attaque située à peu près à l’endroit où sont fixées les nacelles des moteurs, c’est-à-dire à la zone la plus solide. Manifestement aucune aile n’a frappé ces piliers verticaux de l’ossature en béton.
Si un avion avait frappé le Pentagone, comme on veut nous le faire croire dans la version officielle, les ailes auraient touché les piliers verticaux approximativement au niveau du plancher sur lequel les hommes se tiennent debout. Manifestement, la zone fragilisée des piliers se situe au-dessous, là où l’on peut voir les coffrages de bois et les étais en acier couleur de minium. Donc le véhicule porteur de la charge qui a fragilisé les piliers a frappé plus bas que ne l’aurait fait un énorme avion de ligne. Et je renvoie à la première photographie étudiée sur laquelle nous pouvons voir la trace de fumée d’un propulseur très bas au-dessus du sol.
Cette image permet en outre de relativiser les déclarations de certains experts selon lesquelles « le Pentagone est construit en matériaux particulièrement solides ». Il est vrai que les entrepreneurs ont utilisé des matériaux durcis pour les vitres et les placages extérieurs, mais le Pentagone n’est pas plus un blockhaus qu’une voiture blindée n’est un char d’assaut.
Une charge creuse anti-béton
La dernière photo a été réalisée par le département de la Défense et publiée sur un site de la Navy [5]. Elle est présentée en page XII de notre cahier photo. En l’examinant, on peut voir un trou presque circulaire surmonté d’une trace noire. Cette perforation est d’un diamètre d’environ 2,30 m et se situe dans le mur de la troisième ligne de bâtiment en partant de la façade. Elle aurait été faite par le nez de l’avion.
Cela voudrait dire que le nez de l’appareil, un radôme en fibre de carbone qui est loin d’être un blindage, aurait traversé sans être détruit six murs porteurs d’un immeuble considéré comme plutôt solide. Et quelle serait alors l’origine de la trace noire qui marque le mur au-dessus du trou ? Le feu d’hydrocarbure ? Mais alors toute la façade de ce bâtiment serait marquée de suie et non seulement les quelques mètres carrés réellement souillés. Et les vitres brisées, est-ce le fait de l’impact ? Je rappelle que ce sont des vitres solides.
L’aspect de la perforation du mur rappelle immanquablement les effets des charges creuses anti-béton que j’ai pu voir sur un certain nombre de champs de bataille.
Ces armes se caractérisent par leur « dard ». Ce dard est un mélange de gaz et de matières en fusion qui est projeté dans la direction de l’axe du paraboloïde que constitue la face avant de l’arme. Propulsé à une vitesse de plusieurs milliers de mètres à la seconde avec une température de plusieurs milliers de degrés, ce dard perce le béton sur plusieurs mètres d’épaisseur. Il peut donc sans problème percer cinq épaisseurs de mur d’un bâtiment. Cinq épaisseurs sur les six parce que la façade a été perforée par le vecteur lui-même. La détonation de la charge militaire ne se fait, en effet, qu’une fois que la charge a été portée à l’intérieur de l’objectif. Comme je l’ai expliqué plus haut, les fusées armant les charges anti-béton ne sont pas instantanées, mais à court retard. C’est pourquoi la flamme de l’explosion s’est développée depuis l’intérieur du bâtiment vers l’extérieur. Comme on le voit sur les photos prises par la caméra de sécurité, l’onde de choc parasite a endommagé la façade, les étages et le toit et s’est propagée dans les couloirs à la hauteur de l’endroit où le vecteur a percuté : le rez-de-chaussée.
Le dard contient des gaz à haute température qui ralentissent et finissent par s’arrêter avant la course des matières fondues. Les gaz incendient ce qui est combustible sur leur parcours. Une image schématique de la flamme et du dard d’une charge creuse en train de percer des murs est présentée en page XIII du cahier photo.
Les matières fondues vont plus loin que les gaz et, en l’espèce, l’image rappelle immanquablement l’effet qu’auraient eu les matières fondues d’un dard en fin de trajectoire. Elles se seraient arrêtées dans le dernier mur qu’elles atteignent en bout de course. Encore assez chaudes, elles auraient marqué le mur de cette trace noire, juste au-dessus du trou. La chaleur monte des matières qui se mettent ensuite à refroidir et ne marque donc la façade qu’au-dessus de l’impact. A ce point terminal, il n’y a plus assez de température pour marquer davantage le ciment. En revanche, les restes de l’onde de choc ont assez d’énergie pour casser les vitres immédiatement autour du trou.
On comprend alors que les pompiers soient intervenus avec de l’eau. C’est le fluide extincteur qui présente la plus forte chaleur massique. C’est donc le plus adapté à refroidir des matériaux qui ont pris un « coup de chaleur » et à éteindre les feux urbains qui se sont allumés par sympathie. Il ne s’agissait donc pas pour les pompiers d’éteindre un feu d’hydrocarbures, mais des feux ponctuels et de refroidir des matériaux échauffés. Cette photo, et les effets décrits par la version officielle, me conduisent donc à penser que la détonation qui a frappé le bâtiment est celle d’une charge creuse de forte puissance destinée à détruire des bâtiments durs et portée par un véhicule aérien, un missile.
par Pierre-Henri Bunel le 17 mai 2006
À la requête de l’association néo-conservatrice Judicial Watch, le département de la Défense des États-Unis a rendu publique la vidéo complète de l’attentat survenu le 11 septembre 2001 au Pentagone. La presse néo-conservatrice se réjouit de cette publication qui contredirait définitivement nos analyses. En réalité, la vidéo ne contient pas d’élément supplémentaire par rapport aux images déjà rendues publiques en 2002, et il reste absolument impossible d’y observer un Boeing 757-200. Cette séquence confirme au contraire l’analyse du commandant Pierre-Henri Bunel publiée par Thierry Meyssan dans son livre Le Pentagate et que nous reproduisons ici.
Les vidéos du département de la Défense des États-Unis
« L’effet d’une charge creuse », quatrième chapitre du livre Le Pentagate
Quelle est la nature de l’explosion qui a eu lieu au Pentagone le 11 septembre 2001 ?
Une analyse des images vidéo de l’impact et des photographies des dégâts permet de savoir par quel type d’engin l’attentat a été causé. L’explosion correspond-elle à celle qui peut être produite par le kérosène d’un avion ou à celle d’un véritable explosif ? L’incendie correspond-il à un incendie d’hydrocarbures ou à un feu classique ?
Déflagration ou détonation ?
En préambule, il paraît indispensable d’éclairer le lecteur sur un distinguo essentiel :
la différence entre une déflagration et une détonation.
La combustion des matières explosives chimiques, les poudres, les explosifs ou les hydrocarbures, par exemple, dégagent de l’énergie en produisant une onde de choc. La diffusion à grande vitesse de l’énorme quantité de gaz produite par la réaction chimique s’accompagne d’une flamme, de bruit causé par le déplacement de l’onde de choc dans l’air et de fumées. On observe également souvent, avant même de voir la flamme, un nuage de vapeur dû à la compression de l’air qui entoure la zone d’explosion. L’air ne peut pas se mettre en mouvement immédiatement, alors il se comprime sous l’influence de l’onde de choc. Dans le premier temps, sous la compression des molécules d’air, la vapeur d’eau invisible que contient toujours l’atmosphère en plus ou moins grande quantité se comprime et devient visible sous la forme d’un nuage blanc.Ce sur quoi je voudrais insister est la notion de l’onde de choc. Une explosion est une réaction qui projette des gaz à une vitesse plus ou moins grande. Les matières explosives, suivant leur constitution chimique et l’agencement physique de leurs molécules, impriment aux gaz qu’elles génèrent une vitesse de propagation plus ou moins grande. On dit qu’elles sont plus ou moins progressives. L’observation de l’onde de choc est donc une indication précieuse sur la vitesse des gaz projetés par l’explosion.
On divise les matières explosives en deux groupes, suivant leur progressivité. Les explosifs produisent une onde de choc dont la vitesse de propagation est supérieure à une valeur d’environ deux mille mètres par seconde. On dit qu’ils « détonent ». Les matières explosives dont la vitesse d’onde de choc est inférieure ne détonent pas. Elles « déflagrent ». Il s’agit par exemple de poudres ou d’hydrocarbures. Dans un moteur à explosion - et un turboréacteur de Boeing 757 est un moteur à explosion continue - le carburant sous pression déflagre et ne détone pas. S’il détonait, la structure du moteur n’y résisterait pas. Le kérosène d’un avion de ligne qui s’écrase s’enflamme et ne produit généralement même pas de déflagration, sauf exceptionnellement et sur des points limités aux moteurs. Dans le cas de l’Airbus qui est tombé à New York sur le quartier du Queens au mois de novembre 2001, les moteurs n’ont pas explosé à l’arrivée au sol. Le kérosène est une huile lourde analogue au gazole, trifiltrée pour remplir les conditions physiques de passage dans les injecteurs des moteurs à réaction. Ce n’est donc en aucun cas un explosif.
La couleur des explosions est aussi assez remarquable. Lors de détonations, l’onde de choc se déplace rapidement. Si l’explosion est aérienne et sans obstacle, la flamme est souvent jaune pâle au point d’explosion. En s’éloignant du point zéro, elle vire à l’orange puis au rouge. Lorsqu’elle rencontre des obstacles, comme les murs d’un bâtiment, on ne voit pratiquement pas la partie jaune clair. La durée d’illumination de cette couleur est brève. La forme de la flamme donne une impression de « raideur » en raison de la vitesse de propagation. Ce n’est que lorsque les poussières levées par l’onde de choc ont commencé à brûler sous la brutale élévation de température qu’apparaissent les fumées. Il s’agit alors de fumées d’incendie qui n’ont que peu de similitudes avec les volutes noires et lourdes des feux d’hydrocarbures.
Mais les explosifs solides ne sont pas de simples combinaisons chimiques. On peut améliorer leur efficacité en jouant sur leurs formes physiques. En principe, l’onde de choc des explosifs se propage perpendiculairement à la surface mise en réaction. En travaillant les formes des charges on peut donc orienter l’onde de choc de façon à envoyer le maximum d’énergie dans une direction donnée, comme on dirige la lumière d’un phare avec un réflecteur. C’est ainsi qu’on trouve des charges sphériques dont l’onde de choc part dans toutes les directions, des charges cylindriques comme celles qui équipent les obus shrapnell, ces armes qui éclatent en minuscules morceaux d’acier de la taille d’un carré de chocolat mitraillant le champ de bataille, des charges plates, qui permettent de faire des trous dans des obstacles plans avec le minimum de perte d’énergie dans les directions inutiles, mais aussi des charges creuses. Celles-ci concentrent l’onde de choc principale sous la forme d’un dard à haute température qui véhicule une quantité d’énergie capable de percer des blindages d’acier, de composites ou de béton.
La mise de feu
L’explosif qui constitue l’arme [1] doit exploser au moment voulu. Pour pouvoir réagir exactement comme le souhaite l’utilisateur, il faut qu’il ait une certaine stabilité. L’explosif qui constitue la charge principale d’une arme est trop stable pour exploser à un simple choc. En fait, pour initialiser la réaction chimique, il faut soumettre la charge à une onde de choc provoquée par un explosif plus sensible et moins puissant qu’on appelle le détonateur. La charge d’explosif du détonateur réagit à un choc, à une étincelle ou à une impulsion électrique ou électromagnétique. Il se crée alors une onde de choc qui provoque la détonation de la charge principale.
Le système qui commande l’explosion du détonateur s’appelle le système de mise de feu. Les dispositifs sont très variés et il serait trop long de les étudier tous. Je vais donc me contenter de traiter de deux systèmes qui peuvent avoir servi au Pentagone, le système de mise de feu des explosifs commandés par l’opérateur et les systèmes de mise de feu pour charge creuse à percussion instantanée et à court retard.
Les obus, les bombes ou les missiles sont équipés d’un système de mise de feu qui comprend un déclencheur, un système de retard, un détonateur. Ce dispositif s’appelle une fusée. Il se fixe sur l’arme soit à la construction, soit au moment du conditionnement pour le tir. Il comprend un système de sécurité qui empêche le fonctionnement de l’ensemble jusqu’au moment de l’armement.
Le déclencheur peut être activé par le choc dans le cas des fusées à percussion, par un radar détecteur de distance dans le cas des fusées radioélectriques, par la réaction à une source de chaleur ou à une masse magnétique dans le cas des fusées thermiques et magnétiques.
Soit le déclencheur provoque instantanément la détonation, soit le système de retard fait que l’arme ne détone que quelques millisecondes après l’impact. Dans ce dernier cas, l’arme commence à pénétrer l’objectif en l’entamant physiquement avec son blindage. La charge détone une fois que l’arme est déjà entrée dans l’objectif, ce qui accroît l’effet destructeur.
Pour certaines fortifications très dures, on trouve même des armes à plusieurs charges. Les premières fracturent le béton et la ou les suivantes pénètrent et détonent. En général, les charges anti-béton sont des charges creuses. Le dard d’énergie et de matières fondues perce la fortification et répand à l’intérieur des quantités de matières chaudes poussées par une colonne d’énergie qui perce les murs comme un emporte-pièce. La haute chaleur produite par la détonation de la charge creuse provoque des incendies de tout ce qui est combustible à l’intérieur.
Pendant la guerre du Golfe, les missiles ou les bombes guidés anti-fortification ont percé tous les bunkers de béton qui ont été touchés, notamment au Fort de As Salmân. Une même bombe pouvait percer trois épaisseurs de béton armé en ayant commencé par la plus épaisse, celle de l’extérieur.
Le missile
Pour conduire une attaque avec un tel système d’arme, il faut à l’évidence un lanceur. Dans le cas de bombes guidées, le lanceur est un avion ou à la rigueur un hélicoptère puissant. L’arme part alors avec une vitesse initiale qui est celle du véhicule porteur. Elle descend en vol plané et se guide en général en suivant une illumination laser. Dans le cas d’un missile, la portée est beaucoup plus grande parce que le missile dispose de son propre moteur. A la rigueur, on peut même concevoir que le missile parte d’une rampe de lancement à terre. Il existe d’ailleurs des missiles sol-sol capables d’emporter des armes anti-forteresse.
Un missile de croisière de modèle récent suit en général trois phases de vol. Le lancement, au cours duquel il prend sa vitesse de vol en sortant d’une soute d’avion ou d’un tube lance-missile. Poussé par un moteur à pleine puissance, il atteint sa vitesse de croisière et déploie ses ailes et empennage. Il descend ensuite à son altitude de croisière et suit son trajet d’approche. Au cours de cette phase du vol, il change souvent de direction, vire en fonction du programme de vol, monte ou descend pour rester assez bas au-dessus du sol pour échapper autant que faire se peut à la détection. On pourrait alors le prendre pour un avion de combat en vol tactique. Il a cette attitude jusqu’au moment où il arrive au point d’entrée de la phase terminale. Ce point se situe à une certaine distance de l’objectif, deux à trois kilomètres suivant les modèles. A partir de ce point, le missile vole en ligne droite vers la cible et subit une forte accélération qui lui donne le maximum de vitesse pour frapper l’objectif avec le maximum de force de pénétration.
Il faut donc que le missile aborde le point d’entrée de la phase terminale avec une grande précision et qu’avant la phase d’accélération il soit non seulement au bon endroit mais dans la bonne direction. C’est pourquoi il arrive fréquemment que le missile finisse son vol de croisière par un virage serré qui lui permet de prendre le bon « alignement ». Un témoin peut percevoir que le missile réduit sa puissance motrice avant de « remettre les gaz ».
Le type d’explosion observée au Pentagone
Le 8 mars 2002, un mois après le début de la polémique sur Internet et trois jours avant la sortie du livre L’Effroyable Imposture, cinq nouvelles images de l’attentat sont publiées par CNN. [2] Une agence photo les a ensuite très largement diffusées dans de nombreux journaux à travers le monde. Ces images issues d’une caméra de surveillance n’auraient pas été rendues publiques par le Pentagone, qui s’est contenté de les authentifier. On y voit se développer la flamme de l’impact sur la façade du bâtiment du département de la Défense.
http://www.youtube.com/watch?v=L75Gga92WO8
La première vue (cahier photo, p. II, reproduite ci-dessus) est celle d’une gerbe blanche qui semble être une fumée blanche. Elle rappelle immanquablement la vaporisation de l’eau contenue dans l’air ambiant au moment du début du déploiement dans l’atmosphère d’une onde de choc supersonique de matière détonante. On distingue toutefois des traces de flamme rouge caractéristique des hautes températures qu’atteint l’air sous la pression d’une onde de choc rapide.
Ce qui saute aux yeux, c’est que l’onde de choc démarre de l’intérieur du bâtiment. On voit au-dessus du toit la sortie de la boule d’énergie qui n’est pas encore une boule de feu. On peut légitimement penser à une détonation d’un explosif à haut pouvoir énergétique, mais pour le moment on ne peut encore déterminer s’il s’agit d’une charge à effet dirigé ou non.
On distingue au ras du sol, partant de la droite de la photo et allant vers la base de la masse de vapeur blanche, un sillon blanc de fumée. Il laisse carrément penser à la fumée qui sort de la tuyère d’un propulseur d’engin volant. A la différence de la fumée qui sortirait des deux moteurs à kérosène, celle-ci est bien blanche. Les turboréacteurs d’un Boeing 757 auraient, en effet, laissé une traînée de fumée beaucoup plus noire. Le seul examen de cette photo laisse déjà penser à un appareil volant monomoteur de beaucoup plus petite taille qu’un avion de ligne. Pas à deux turbopropulseurs General Electric.
http://www.youtube.com/watch?v=TAaP4Z3zls8
Sur la deuxième vue (cahier photo, p. III, reproduite ci-dessus), on voit toujours le sillon de fumée horizontal mais on distingue très nettement le développement de la flamme rouge. Il est intéressant de comparer à cette vue de l’impact sur le Pentagone celle de l’impact de l’avion sur la deuxième tour du World Trade Center (cahier photo, p. III). La couleur de celle-ci est jaune, témoignant d’une plus basse température de combustion. Elle est mêlée de fumées noires et lourdes. C’est celle de la combustion d’hydrocarbures dans l’air. En l’occurrence, il s’agit du kérosène contenu dans un avion. Cette flamme descend assez lentement en avant de la façade que l’avion a pénétrée, emportée par la chute du carburant qui tombe. Au contraire, la flamme de l’explosion du Pentagone monte vivement de l’intérieur du bâtiment en arrachant des débris qu’on voit mêlés à la flamme rouge. Il n’y a plus le nuage de vapeur dû à l’onde de choc qui, sur la première photo de l’impact au Pentagone, masque la flamme. La chaleur intense l’a fait s’évaporer. Ce qui est, nous l’avons vu, caractéristique des détonations d’explosif à fort rendement.
Et profitons-en pour noter l’aspect des fumées qui montent de la première tour frappée, alors que l’incendie s’y développe. Il s’agit de volutes lourdes et grasses. En ce qui concerne la trace de l’avion dans l’air, à la différence de l’appareil qui semble avoir frappé le Pentagone, il n’y a aucun sillage alors que l’impact vient d’avoir lieu.
Les photos de la page IV du cahier (reproduite ci-dessus) ont été prises très peu de temps après l’explosion. Les pompiers ne sont pas encore en action. Sur celle du haut, la flamme de l’explosion s’est éteinte. L’incendie allumé par l’explosif couve et les flammes ne sont pas encore visibles, à part au niveau du point d’impact, à l’endroit de la lueur rouge dans l’axe du support vertical du panneau autoroutier. Nous ne sommes donc pas dans la configuration d’un incendie d’avion de ligne car le kérosène se serait enflammé instantanément. La façade ne s’est pas encore effondrée. Elle ne présente pas de destruction mécanique importante visible, alors que les étages et le toit ont déjà été atteints par le souffle.
Sur la photo du bas, prise selon son auteur environ une minute plus tard, les incendies allumés à l’intérieur du bâtiment par l’onde de chaleur commencent à prendre de l’ampleur. La flèche indique un trou dans la façade par lequel on voit le foyer d’un incendie en train de monter. La façade ne s’est toujours pas effondrée et la fumée initiale se dissipe. Ce n’est qu’après que les feux auront commencé à se rejoindre et à constituer un incendie unique que des fumées plus fortes apparaîtront, mais sans jamais présenter l’aspect de fumées d’un incendie d’avion de ligne avec ses réservoirs de kérosène.
En somme, rien que l’examen de ces photos que tout le monde a pu voir dans la presse permet de mesurer des différences frappantes entre les deux explosions. Si la flamme du World Trade Center est à l’évidence celle du kérosène d’un avion, il semble bien qu’il en aille tout autrement au Pentagone. L’appareil volant qui a frappé le département de la Défense n’a, à première vue, rien à voir avec l’avion de ligne de la version officielle. Mais il faut poursuivre l’étude pour progresser dans la recherche d’éléments qui nous permettront peut-être de déterminer la nature de l’explosion qui a endommagé le Pentagone.
Un incendie d’hydrocarbures ?
Lorsque les pompiers interviennent sur le site, on voit clairement qu’ils utilisent de l’eau pour attaquer le feu (cahier photo, p. X). Plusieurs photographies officielles montrent un camion d’intervention de pompiers qu’on appelle en langage français un CCFM, camion citerne pour feu moyen. L’eau sort des lances avec une couleur blanche, elle ne contient donc pas cette substance que l’on utilise sur certains feux et que l’on appelle un retardant. En général les retardants colorent l’eau en rougeâtre ou en brunâtre. Donc ce feu principal que l’on attaque n’est pas un feu d’hydrocarbure, parce que l’on ne distingue pas de canon à mousse caractéristique des interventions sur accidents d’avion ni de lances projetant des produits adaptés.
Toutefois, l’examen de la photo du haut de la page VI (reproduite ci-dessus) montre des résidus de mousse carbonique. L’explication est donnée par certains témoignages du 11 septembre selon lesquels un hélicoptère, pour les uns, un camion, pour les autres, stationné à proximité de la façade aurait explosé. On observe en tout cas sur plusieurs images un camion en feu à droite de l’impact. En revanche, la quantité de résidus de mousse est assez faible. Elle est essentiellement répandue non sur l’incendie du bâtiment mais sur la pelouse qui s’étend devant, comme si l’on avait éteint un feu allumé par celui de l’attentat. C’est ce qu’on appelle un feu par sympathie, en langage de pompier. Une lance à mousse a donc été utilisée pour éteindre un ou plusieurs incendies secondaires.
On peut voir sur les images diffusées par le département de la Défense un camion armé d’un canon lance-mousse attaquer un feu situé en avant de la façade pendant que des pompes à grande puissance attaquent le feu principal à l’intérieur du bâtiment. L’aspersion telle qu’elle est conduite à ce moment-là vise manifestement à abaisser la température générale en mouillant tout a priori, avant de pouvoir pénétrer dans le bâtiment pour y éteindre les incendies point par point.
Ainsi, alors même que l’incendie de réservoirs presque pleins devrait nécessiter l’emploi massif de moyens spécialisés pour des feux d’hydrocarbures, les pompiers utilisent de l’eau normale qui sert à l’intervention sur ce qu’on appelle les feux urbains sans combustibles spéciaux. En outre, ce que l’on peut voir de la fumée correspond tout à fait à celle d’un incendie normal dans un immeuble en ville, tant dans les couleurs que dans l’aspect des volutes. Aucune comparaison possible avec celle qui monte du World Trade Center au même moment.
Artillerie, renseignement et BDA
Après avoir réagi en ancien pompier, je vais réagir en officier observateur d’artillerie. Parmi ses tâches, il doit repérer les objectifs, estimer le type d’arme qu’il va falloir employer pour les traiter et la quantité de projectiles qu’il faut appliquer pour les rendre inoffensifs. Une fois que l’objectif a été traité, il faut encore faire l’évaluation des dégâts réels pour mesurer si la première frappe a suffi ou s’il faut continuer les tirs.
Il s’agit d’établir un bilan des destructions qu’on transmet ensuite vers les échelons de commandement et de renseignement. Cette évaluation des dommages du champ de bataille s’appelle en anglais la BDA (battlefield damage assessment). Il faut bien sûr faire preuve du maximum d’objectivité dans ces évaluations : il serait stupide de redemander des tirs sur un objectif déjà neutralisé ou détruit, mais tout autant de laisser penser qu’un objectif est hors d’état de nuire alors qu’il présente encore une menace.
Pendant la guerre du Golfe, se tenait tous les jours une réunion au PC du général Schwarzkopf entre les trois commandants en chef français, britannique et américain. Une partie du chapitre « renseignement » du briefing portait sur l’examen de photos de BDA. Et Schwarzkopf y portait une attention toute particulière. Sur ces prises de vues on voyait les effets des armes et l’ampleur des dégâts infligés aux objectifs.
Ce n’était pas voyeurisme de la part des trois généraux. Cela leur permettait de décider s’il y avait lieu de continuer à attaquer les objectifs déjà traités mais aussi de décider d’utiliser des armes moins puissantes pour éviter que les destructions infligées aux objectifs militaires n’aient des conséquences sur l’environnement civil. Autant dire que l’évaluation des dommages, pour les interprétateurs d’images, pour les observateurs d’artillerie et pour les officiers de renseignement est une matière clé que nous étudions soigneusement. Et lorsqu’à la théorie on joint l’expérience, ce qui est malheureusement mon cas, on dispose tout de même de quelques éléments d’appréciation objective pour examiner les dégâts portés à un bâtiment ; surtout si on le connaît assez bien, ce qui là encore est mon cas.
Les photos officielles de la façade
Une vue générale de la façade est des plus intéressantes. Toujours en provenance des organismes officiels américains, elle est présentée en haut de la page V du cahier photo (reproduite ci-dessus).
Alors que les pompiers ont fini de travailler sur l’extérieur du bâtiment, on distingue plusieurs éléments instructifs. D’abord, les suies qui couvrent la façade sont un mélange de celles qu’auraient déposées les fumées d’un incendie classique. D’autres sont caractéristiques de celles que dépose l’onde de choc d’un explosif à haute performance, mais en aucun cas de la couche grasse et épaisse que dépose un feu de kérosène. Les vitres ont été brisées par une détonation et non pas fondues par un incendie d’hydrocarbures qui aurait duré plusieurs jours. Le plus remarquable, c’est que peu d’entre elles sont brisées, et que les fenêtres atteintes sont situées essentiellement près du point d’explosion et au niveau des bas étages. Près du point zéro, donc. Il est très vraisemblable que l’onde de choc s’est propagée le long des couloirs, et on le suit très bien sur la photo d’ensemble de la page XI du cahier. Cela corrobore le témoignage de David Theall [3]. Cet officier de liaison du Pentagone décrit l’arrivée soudaine d’un bruit violent accompagné de débris qui a ravagé le couloir où donnait son bureau.
Au début du déplacement, l’onde de choc a brisé les vitres et, une fois canalisée par les murs des couloirs, elle a pris une orientation qui n’a plus eu autant d’effet sur les fenêtres. Il faut préciser qu’il s’agit de fenêtres à double vitrage dont la vitre extérieure est particulièrement solide. C’est ce qu’a déclaré le représentant de la société qui les a placées [4] et c’est aussi ce que l’on m’avait expliqué bien avant cet attentat lors d’une visite officielle au Pentagone en tant qu’interprète.
Sur une photo cadrée de plus près et plus détaillée, en bas de la page V, on a une vue de la zone d’impact après déblaiement. Elle permet de distinguer nettement les piliers verticaux de béton de l’ossature du bâtiment et les couloirs qui parcourent les étages. On comprend alors mieux comment l’onde de choc a longé les fenêtres dont nous avons parlé plus haut.
Le cliché montre que les piliers verticaux, dont certains sont entourés de coffrages de bois, ont à l’évidence été fragilisés au rez-de-chaussée, c’est-à-dire à l’endroit où s’est produite la détonation. Mais ils n’ont pas été broyés et brisés comme cela aurait été le cas s’ils avaient été frappés par le bord d’attaque des ailes d’un avion de cent tonnes. Ils auraient été atteints par la partie du bord d’attaque située à peu près à l’endroit où sont fixées les nacelles des moteurs, c’est-à-dire à la zone la plus solide. Manifestement aucune aile n’a frappé ces piliers verticaux de l’ossature en béton.
Si un avion avait frappé le Pentagone, comme on veut nous le faire croire dans la version officielle, les ailes auraient touché les piliers verticaux approximativement au niveau du plancher sur lequel les hommes se tiennent debout. Manifestement, la zone fragilisée des piliers se situe au-dessous, là où l’on peut voir les coffrages de bois et les étais en acier couleur de minium. Donc le véhicule porteur de la charge qui a fragilisé les piliers a frappé plus bas que ne l’aurait fait un énorme avion de ligne. Et je renvoie à la première photographie étudiée sur laquelle nous pouvons voir la trace de fumée d’un propulseur très bas au-dessus du sol.
Cette image permet en outre de relativiser les déclarations de certains experts selon lesquelles « le Pentagone est construit en matériaux particulièrement solides ». Il est vrai que les entrepreneurs ont utilisé des matériaux durcis pour les vitres et les placages extérieurs, mais le Pentagone n’est pas plus un blockhaus qu’une voiture blindée n’est un char d’assaut.
Une charge creuse anti-béton
La dernière photo a été réalisée par le département de la Défense et publiée sur un site de la Navy [5]. Elle est présentée en page XII de notre cahier photo. En l’examinant, on peut voir un trou presque circulaire surmonté d’une trace noire. Cette perforation est d’un diamètre d’environ 2,30 m et se situe dans le mur de la troisième ligne de bâtiment en partant de la façade. Elle aurait été faite par le nez de l’avion.
Cela voudrait dire que le nez de l’appareil, un radôme en fibre de carbone qui est loin d’être un blindage, aurait traversé sans être détruit six murs porteurs d’un immeuble considéré comme plutôt solide. Et quelle serait alors l’origine de la trace noire qui marque le mur au-dessus du trou ? Le feu d’hydrocarbure ? Mais alors toute la façade de ce bâtiment serait marquée de suie et non seulement les quelques mètres carrés réellement souillés. Et les vitres brisées, est-ce le fait de l’impact ? Je rappelle que ce sont des vitres solides.
L’aspect de la perforation du mur rappelle immanquablement les effets des charges creuses anti-béton que j’ai pu voir sur un certain nombre de champs de bataille.
Ces armes se caractérisent par leur « dard ». Ce dard est un mélange de gaz et de matières en fusion qui est projeté dans la direction de l’axe du paraboloïde que constitue la face avant de l’arme. Propulsé à une vitesse de plusieurs milliers de mètres à la seconde avec une température de plusieurs milliers de degrés, ce dard perce le béton sur plusieurs mètres d’épaisseur. Il peut donc sans problème percer cinq épaisseurs de mur d’un bâtiment. Cinq épaisseurs sur les six parce que la façade a été perforée par le vecteur lui-même. La détonation de la charge militaire ne se fait, en effet, qu’une fois que la charge a été portée à l’intérieur de l’objectif. Comme je l’ai expliqué plus haut, les fusées armant les charges anti-béton ne sont pas instantanées, mais à court retard. C’est pourquoi la flamme de l’explosion s’est développée depuis l’intérieur du bâtiment vers l’extérieur. Comme on le voit sur les photos prises par la caméra de sécurité, l’onde de choc parasite a endommagé la façade, les étages et le toit et s’est propagée dans les couloirs à la hauteur de l’endroit où le vecteur a percuté : le rez-de-chaussée.
Le dard contient des gaz à haute température qui ralentissent et finissent par s’arrêter avant la course des matières fondues. Les gaz incendient ce qui est combustible sur leur parcours. Une image schématique de la flamme et du dard d’une charge creuse en train de percer des murs est présentée en page XIII du cahier photo.
Les matières fondues vont plus loin que les gaz et, en l’espèce, l’image rappelle immanquablement l’effet qu’auraient eu les matières fondues d’un dard en fin de trajectoire. Elles se seraient arrêtées dans le dernier mur qu’elles atteignent en bout de course. Encore assez chaudes, elles auraient marqué le mur de cette trace noire, juste au-dessus du trou. La chaleur monte des matières qui se mettent ensuite à refroidir et ne marque donc la façade qu’au-dessus de l’impact. A ce point terminal, il n’y a plus assez de température pour marquer davantage le ciment. En revanche, les restes de l’onde de choc ont assez d’énergie pour casser les vitres immédiatement autour du trou.
On comprend alors que les pompiers soient intervenus avec de l’eau. C’est le fluide extincteur qui présente la plus forte chaleur massique. C’est donc le plus adapté à refroidir des matériaux qui ont pris un « coup de chaleur » et à éteindre les feux urbains qui se sont allumés par sympathie. Il ne s’agissait donc pas pour les pompiers d’éteindre un feu d’hydrocarbures, mais des feux ponctuels et de refroidir des matériaux échauffés. Cette photo, et les effets décrits par la version officielle, me conduisent donc à penser que la détonation qui a frappé le bâtiment est celle d’une charge creuse de forte puissance destinée à détruire des bâtiments durs et portée par un véhicule aérien, un missile.
17 mai 2006
Des projets visant à micro-pucer chaque nouveau-né aux Etats-Unis et en Europe
... sont en cours, selon l'ancien dirigeant médical en chef de la Finlande.Cette technologie existe afin de créer un Nouvel ordre mondial totalitaire et des plans sinistres visant à l’utiliser sur un public innocent sont dissimulés par les gens qui définissent la politique des États-Unis.
Le 11 mai 2006 Par Greg Szymanski Êtes-vous prêt pour une élimination totale de la vie privée et une robotisation de l'humanité, ainsi qu'une invasion de chaque pensée qui vous passe par la tête ? Êtes-vous disposés à vivre dans un monde dans lequel chaque bébé nouveau-né est micro-pucé ? Et êtes-vous finalement prêt à ce que chacun de vos mouvements soit pisté, enregistré et placé dans une banque de données de Big Brother ?Bien que cela semble impossible, des projets sont bel et bien en cours afin de contrôler chaque mouvement et chaque pensée de la population américaine une fois que le Nouvel ordre mondial aura terminé sa période de violence prolongée, une étape de changement dont le pays fait l’expérience en ce moment même. Et puisqu’il y a très peu de choses écrites (à ce sujet) dans les médias américains conformes (au pouvoir), une histoire qui a été publiée dans le journal de langue finlandaise, Spekula, dit aux Américains à quel point nous sommes près d’entrer dans le Nouvel ordre mondial totalitaire. Selon l'article finlandais, distribué aux médecins et aux étudiants en médecine, le temps est très court pour changer la direction de la médecine militaire et de la technologie du contrôle de l'esprit, et pour assurer le futur de la liberté des humains. « Pourtant, cette technologie existe afin de créer un Nouvel ordre mondial totalitaire, » a dit Rauni-Leena Luukanen-Kilde, MD, une ancienne dirigeante médicale en chef de la Finlande. « Des systèmes secrets de communication neurologique sont en place pour contrecarrer la pensée indépendante et pour contrôler l'activité sociale et politique au nom des intérêts privés et militaires égoïstes. « Lorsque nos fonctions cérébrales seront déjà reliées à des super ordinateurs à l'aide d’implants et de puces fonctionnant par radio(fréquence), il sera trop tard pour la protestation. Cette menace peut être vaincue seulement en instruisant le public, en utilisant la littérature disponible sur la biotélémétrie et les informations échangées durant les congrès internationaux. » Dans son article intitulé « Les micro-puces implantables, le contrôle de l'esprit et la cybernétique », le Dr. Kilde déclare que les États-Unis sont le principal coupable (qui se cache) derrière l'utilisation secrète de l'équipement et des armements électroniques, et elle dit « qu’une raison pour laquelle cette technologie est demeurée un secret d'état est le prestige répandu du manuel statistique de diagnostic psychiatrique IV (psychiatric Diagnostic Statistical Manual IV) publié par l'association psychiatrique américaine (APA) et imprimé dans 18 langues. « Les psychiatres travaillant pour les agences d'intelligence américaines ont sans aucun doute participé à l'écriture et à la mise à jour ce manuel. Cette « bible » psychiatrique dissimule le développement secret des technologies du CE (Contrôle de l’Esprit) en étiquetant certains de leurs effets comme étant les symptômes de la schizophrénie paranoïaque. » Le Dr. Kilde a ajouté que les médias sont restés « muets » concernant les véritables intention et but (qui se cachent) derrière le micro-puçage, disant que le parfait cyber-soldat peut être créé grâce à l'équipement sophistiqué et les armements qui sont employés dans certains pays de l'OTAN depuis les années 80. Écoutez le Dr. Kilde qui explique la nature sinistre (qui se trouve) derrière l'utilisation gouvernementale des armements électroniques en tant que moyens politiques de contrôle : Cette technologie secrète a été employée par les forces militaires dans certains pays de l'OTAN depuis les années 80 sans que les populations civiles et universitaires aient entendu quoi que ce soit à leur sujet. Ainsi, peu d'informations concernant de tels systèmes envahissants de contrôle de l’esprit sont disponibles dans les journaux professionnels universitaires. Le groupe « Signals Intelligence » (signaux d’intelligence) de la NSA peut surveiller à distance l'information des cerveaux humains en décodant les potentiels évoqués (3.50HZ, 5 milliwatts) émis par le cerveau. On a découvert que des prisonniers sur lesquels on a mené des expérimentations à Gothenburg, en Suède, et à Vienne, en Autriche, possédaient des lésions cérébrales évidentes. Une circulation sanguine diminuée ainsi qu’un manque d’oxygène dans les lobes frontal et temporal droit sont la conséquence de là où les implants cérébraux sont habituellement en action. Un sujet d’expérimentation finlandais a fait l’expérience d’une atrophie du cerveau ainsi que des attaques d’évanouissements intermittentes dues au manque de l'oxygène. Les techniques de contrôle de l'esprit peuvent être utilisées dans des buts politiques. Le but des contrôleurs de l'esprit aujourd'hui est d'inciter les personnes ou groupes visés à agir contre leurs propres convictions et leurs meilleurs intérêts. Des individus zombifiés peuvent même être programmés afin d’assassiner et de ne rien se rappeler de leur crime par après. On peut trouver des exemples alarmants de ce phénomène aux Etats-Unis. Cette guerre silencieuse est conduite à leur insu contre des civils et des soldats par des agences de l’armée et de l'intelligence. Depuis 1980, la stimulation électronique du cerveau (ESB) a été secrètement employée pour contrôler les personnes visées à leur insu et sans leur consentement. Tous les accords internationaux des droits de l'homme interdisent la manipulation non consensuelle des êtres humains même s’ils sont en prisons, et ceci sans même parler des populations civiles. Cibler les fonctions cérébrales avec des champs et des faisceaux électromagnétiques (depuis des hélicoptères et des avions, des satellites, des fourgons garés, des maisons voisines, des poteaux téléphoniques, des appareils électriques, des téléphones portables, la TV, la radio, etc.) constitue une partie du problème de rayonnement qui devrait être prise en compte dans les corps gouvernementaux démocratiquement élus. En plus du contrôle électronique de l’esprit, des méthodes chimiques ont également été développées. Des médicaments qui altèrent l’état d’esprit et différents gaz odorants qui affectent négativement la fonction cérébrale peuvent être injectés dans les conduits d'aération ou les conduites d'eau. Des bactéries et des virus ont été également testés de cette manière dans plusieurs pays. Concernant les projets visant à micro-pucer les nouveaux-nés, le Dr. Kilde a dit que les États-Unis se sont déplacés dans cette direction « en secret. » Elle a ajouté qu'en Suède, le premier ministre Olof Palme a donné la permission en 1973 d'implanter des prisonniers, et l'ex-Directeur Général de l'inspection des données Jan Freese a révélé que des patients de maisons de repos ont été implantés au milieu des années 80. La technologie a été dévoilée dans le rapport suédois d'état 1972:47, Statens Officiella Utradninger (SOU). « Les êtres humains implantés peuvent être suivis n'importe où. Leurs fonctions cérébrales peuvent être surveillées à distance par des ordinateurs géants et même altérées par un changement de fréquences, » a écrit le Dr. Kilde. « Les cobayes (utilisés) dans des expériences secrètes ont inclus des prisonniers, des soldats, des patients ayant des maladies mentales, des enfants handicapés, des personnes sourdes et aveugles, des homosexuels, des femmes célibataires, des personnes âgées, des écoliers, et n'importe quel groupe de personnes considéré comme « marginal » par les expérimentateurs de l'élite. Les expériences qui ont été publiées sur les prisonniers à la Prison d’Etat de l’Utah, par exemple, sont choquantes pour la conscience. « Les micro-puces d'aujourd'hui fonctionnent au moyen d'ondes radio de basse fréquence qui visent les individus. À l'aide de satellites, la personne implantée peut être pistée n'importe où sur Terre. Une telle technique faisait partie d’un certain nombre (de techniques) qui furent testées pendant la guerre de en Irak, selon le Dr. Carl Sanders, qui a inventé l'interface biotique d’intelligence équipée (intelligence-manned interface biotic ou IMI), qui est injectée dans les gens. (Auparavant, durant la guerre du Vietnam, ont avait injecté aux soldats la puce Rambo, conçue pour augmenter le flux d'adrénaline dans la circulation sanguine). Les super ordinateurs qui tournent à 20 milliards de bits par seconde à l'agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis pourraient maintenant « voir et entendre » ce que les soldats éprouvent sur le champ de bataille avec un système de télésurveillance (remote monitoring system ou RMS). « Lorsqu’une puce de 5 micromillimètres (le diamètre d'un cheveu est de 50 micromillimètres) est placée dans le nerf optique de l'oeil, elle tire les neuro-impulsions du cerveau qui incarnent les expériences, les odeurs, les vues, et la voix de la personne implantée. Une fois transférés et entreposés dans un ordinateur, ces neuro-impulsions peuvent être à nouveau renvoyées au cerveau de la personne par l'intermédiaire de la puce afin d’être revécues. En utilisant un RMS (système de télésurveillance), un opérateur informatique basé au sol peut envoyer des messages électromagnétiques (codés en tant que signaux) au système nerveux, affectant la performance de la cible. Avec le RMS, des personnes en bonne santé peuvent être incitées à avoir des hallucinations et peuvent entendre des voix dans leur tête. « Chaque pensée, réaction, audition, et observation visuelle provoque un certain potentiel neurologique, des pics, et des schémas dans le cerveau et dans ses champs électromagnétiques, schémas qui peuvent être à présent décodés en pensées, images et voix. La stimulation électromagnétique peut donc changer les ondes cérébrales d'une personne et affecter l'activité musculaire, causant de douloureuses crampes musculaires ressenties comme une torture. » Pour des articles plus instructifs, rendez-vous sur www.arcticbeacon.com Greg Szymanski Greg possède également sa propre émission quotidienne sur le Republic Broadcast Network. Rendez-vous sur www.rbnlive.com Greg que Szymanski est un journaliste investigateur indépendant et ses articles peuvent être lus sur www.LewisNews.com. Il également écrit pour l’American Free Press et possède son propre site www.arcticbeacon.com
Le 11 mai 2006 Par Greg Szymanski Êtes-vous prêt pour une élimination totale de la vie privée et une robotisation de l'humanité, ainsi qu'une invasion de chaque pensée qui vous passe par la tête ? Êtes-vous disposés à vivre dans un monde dans lequel chaque bébé nouveau-né est micro-pucé ? Et êtes-vous finalement prêt à ce que chacun de vos mouvements soit pisté, enregistré et placé dans une banque de données de Big Brother ?Bien que cela semble impossible, des projets sont bel et bien en cours afin de contrôler chaque mouvement et chaque pensée de la population américaine une fois que le Nouvel ordre mondial aura terminé sa période de violence prolongée, une étape de changement dont le pays fait l’expérience en ce moment même. Et puisqu’il y a très peu de choses écrites (à ce sujet) dans les médias américains conformes (au pouvoir), une histoire qui a été publiée dans le journal de langue finlandaise, Spekula, dit aux Américains à quel point nous sommes près d’entrer dans le Nouvel ordre mondial totalitaire. Selon l'article finlandais, distribué aux médecins et aux étudiants en médecine, le temps est très court pour changer la direction de la médecine militaire et de la technologie du contrôle de l'esprit, et pour assurer le futur de la liberté des humains. « Pourtant, cette technologie existe afin de créer un Nouvel ordre mondial totalitaire, » a dit Rauni-Leena Luukanen-Kilde, MD, une ancienne dirigeante médicale en chef de la Finlande. « Des systèmes secrets de communication neurologique sont en place pour contrecarrer la pensée indépendante et pour contrôler l'activité sociale et politique au nom des intérêts privés et militaires égoïstes. « Lorsque nos fonctions cérébrales seront déjà reliées à des super ordinateurs à l'aide d’implants et de puces fonctionnant par radio(fréquence), il sera trop tard pour la protestation. Cette menace peut être vaincue seulement en instruisant le public, en utilisant la littérature disponible sur la biotélémétrie et les informations échangées durant les congrès internationaux. » Dans son article intitulé « Les micro-puces implantables, le contrôle de l'esprit et la cybernétique », le Dr. Kilde déclare que les États-Unis sont le principal coupable (qui se cache) derrière l'utilisation secrète de l'équipement et des armements électroniques, et elle dit « qu’une raison pour laquelle cette technologie est demeurée un secret d'état est le prestige répandu du manuel statistique de diagnostic psychiatrique IV (psychiatric Diagnostic Statistical Manual IV) publié par l'association psychiatrique américaine (APA) et imprimé dans 18 langues. « Les psychiatres travaillant pour les agences d'intelligence américaines ont sans aucun doute participé à l'écriture et à la mise à jour ce manuel. Cette « bible » psychiatrique dissimule le développement secret des technologies du CE (Contrôle de l’Esprit) en étiquetant certains de leurs effets comme étant les symptômes de la schizophrénie paranoïaque. » Le Dr. Kilde a ajouté que les médias sont restés « muets » concernant les véritables intention et but (qui se cachent) derrière le micro-puçage, disant que le parfait cyber-soldat peut être créé grâce à l'équipement sophistiqué et les armements qui sont employés dans certains pays de l'OTAN depuis les années 80. Écoutez le Dr. Kilde qui explique la nature sinistre (qui se trouve) derrière l'utilisation gouvernementale des armements électroniques en tant que moyens politiques de contrôle : Cette technologie secrète a été employée par les forces militaires dans certains pays de l'OTAN depuis les années 80 sans que les populations civiles et universitaires aient entendu quoi que ce soit à leur sujet. Ainsi, peu d'informations concernant de tels systèmes envahissants de contrôle de l’esprit sont disponibles dans les journaux professionnels universitaires. Le groupe « Signals Intelligence » (signaux d’intelligence) de la NSA peut surveiller à distance l'information des cerveaux humains en décodant les potentiels évoqués (3.50HZ, 5 milliwatts) émis par le cerveau. On a découvert que des prisonniers sur lesquels on a mené des expérimentations à Gothenburg, en Suède, et à Vienne, en Autriche, possédaient des lésions cérébrales évidentes. Une circulation sanguine diminuée ainsi qu’un manque d’oxygène dans les lobes frontal et temporal droit sont la conséquence de là où les implants cérébraux sont habituellement en action. Un sujet d’expérimentation finlandais a fait l’expérience d’une atrophie du cerveau ainsi que des attaques d’évanouissements intermittentes dues au manque de l'oxygène. Les techniques de contrôle de l'esprit peuvent être utilisées dans des buts politiques. Le but des contrôleurs de l'esprit aujourd'hui est d'inciter les personnes ou groupes visés à agir contre leurs propres convictions et leurs meilleurs intérêts. Des individus zombifiés peuvent même être programmés afin d’assassiner et de ne rien se rappeler de leur crime par après. On peut trouver des exemples alarmants de ce phénomène aux Etats-Unis. Cette guerre silencieuse est conduite à leur insu contre des civils et des soldats par des agences de l’armée et de l'intelligence. Depuis 1980, la stimulation électronique du cerveau (ESB) a été secrètement employée pour contrôler les personnes visées à leur insu et sans leur consentement. Tous les accords internationaux des droits de l'homme interdisent la manipulation non consensuelle des êtres humains même s’ils sont en prisons, et ceci sans même parler des populations civiles. Cibler les fonctions cérébrales avec des champs et des faisceaux électromagnétiques (depuis des hélicoptères et des avions, des satellites, des fourgons garés, des maisons voisines, des poteaux téléphoniques, des appareils électriques, des téléphones portables, la TV, la radio, etc.) constitue une partie du problème de rayonnement qui devrait être prise en compte dans les corps gouvernementaux démocratiquement élus. En plus du contrôle électronique de l’esprit, des méthodes chimiques ont également été développées. Des médicaments qui altèrent l’état d’esprit et différents gaz odorants qui affectent négativement la fonction cérébrale peuvent être injectés dans les conduits d'aération ou les conduites d'eau. Des bactéries et des virus ont été également testés de cette manière dans plusieurs pays. Concernant les projets visant à micro-pucer les nouveaux-nés, le Dr. Kilde a dit que les États-Unis se sont déplacés dans cette direction « en secret. » Elle a ajouté qu'en Suède, le premier ministre Olof Palme a donné la permission en 1973 d'implanter des prisonniers, et l'ex-Directeur Général de l'inspection des données Jan Freese a révélé que des patients de maisons de repos ont été implantés au milieu des années 80. La technologie a été dévoilée dans le rapport suédois d'état 1972:47, Statens Officiella Utradninger (SOU). « Les êtres humains implantés peuvent être suivis n'importe où. Leurs fonctions cérébrales peuvent être surveillées à distance par des ordinateurs géants et même altérées par un changement de fréquences, » a écrit le Dr. Kilde. « Les cobayes (utilisés) dans des expériences secrètes ont inclus des prisonniers, des soldats, des patients ayant des maladies mentales, des enfants handicapés, des personnes sourdes et aveugles, des homosexuels, des femmes célibataires, des personnes âgées, des écoliers, et n'importe quel groupe de personnes considéré comme « marginal » par les expérimentateurs de l'élite. Les expériences qui ont été publiées sur les prisonniers à la Prison d’Etat de l’Utah, par exemple, sont choquantes pour la conscience. « Les micro-puces d'aujourd'hui fonctionnent au moyen d'ondes radio de basse fréquence qui visent les individus. À l'aide de satellites, la personne implantée peut être pistée n'importe où sur Terre. Une telle technique faisait partie d’un certain nombre (de techniques) qui furent testées pendant la guerre de en Irak, selon le Dr. Carl Sanders, qui a inventé l'interface biotique d’intelligence équipée (intelligence-manned interface biotic ou IMI), qui est injectée dans les gens. (Auparavant, durant la guerre du Vietnam, ont avait injecté aux soldats la puce Rambo, conçue pour augmenter le flux d'adrénaline dans la circulation sanguine). Les super ordinateurs qui tournent à 20 milliards de bits par seconde à l'agence de sécurité nationale (NSA) des États-Unis pourraient maintenant « voir et entendre » ce que les soldats éprouvent sur le champ de bataille avec un système de télésurveillance (remote monitoring system ou RMS). « Lorsqu’une puce de 5 micromillimètres (le diamètre d'un cheveu est de 50 micromillimètres) est placée dans le nerf optique de l'oeil, elle tire les neuro-impulsions du cerveau qui incarnent les expériences, les odeurs, les vues, et la voix de la personne implantée. Une fois transférés et entreposés dans un ordinateur, ces neuro-impulsions peuvent être à nouveau renvoyées au cerveau de la personne par l'intermédiaire de la puce afin d’être revécues. En utilisant un RMS (système de télésurveillance), un opérateur informatique basé au sol peut envoyer des messages électromagnétiques (codés en tant que signaux) au système nerveux, affectant la performance de la cible. Avec le RMS, des personnes en bonne santé peuvent être incitées à avoir des hallucinations et peuvent entendre des voix dans leur tête. « Chaque pensée, réaction, audition, et observation visuelle provoque un certain potentiel neurologique, des pics, et des schémas dans le cerveau et dans ses champs électromagnétiques, schémas qui peuvent être à présent décodés en pensées, images et voix. La stimulation électromagnétique peut donc changer les ondes cérébrales d'une personne et affecter l'activité musculaire, causant de douloureuses crampes musculaires ressenties comme une torture. » Pour des articles plus instructifs, rendez-vous sur www.arcticbeacon.com Greg Szymanski Greg possède également sa propre émission quotidienne sur le Republic Broadcast Network. Rendez-vous sur www.rbnlive.com Greg que Szymanski est un journaliste investigateur indépendant et ses articles peuvent être lus sur www.LewisNews.com. Il également écrit pour l’American Free Press et possède son propre site www.arcticbeacon.com
Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy : Ils arriveront quand même...
par Jacques LACOUR, Koudougou, Burkina Faso, le 5 avril 2006
Source : http://www.lefaso.net/article.php3?id_article=13443
A Monsieur Nicolas Sarkozy, ministre de l’intérieur,
A Messieurs les ministres de l’intérieur de l’Union Européenne,
L’une de vos préoccupations aujourd’hui semble être d’endiguer le flux
ininterrompu des réfugiés économiques qui assiègent les frontières de
l’Union Européenne, réfugiés qui, pour beaucoup, viennent d’Afrique noire.
Nous savions depuis longtemps que la pression était forte et des milliers de
cadavres balisent déjà les routes du désert quand les vieux camions rendent
l’âme, le détroit de Gibraltar quand coulent les frêles embarcations, ou les
autoroutes d’Europe quand on oublie d’aérer citernes ou conteneurs où ils
voyagent.
Qu’une route se ferme, une autre s’ouvre... et il va en être ainsi pour
longtemps !
Vous pouvez bien affréter ces humiliants charters de « retour au pays » qui
blessent profondément l’âme hospitalière africaine, elle qui garde mémoire
d’avoir été convoquée pour défendre la mère patrie,
vous pouvez bien mettre une troisième rangée de grillage à Ceuta et Mellilla
(Que faisons-nous encore là-bas ?) ou faire disparaître le camp de Sangate,
vous pouvez bien organiser des reconduites aux frontières sous les feux des
caméras de télévision, cela rassurera peut-être vos opinions publiques mal
informées, mais cela n’arrêtera pas l’arrivée des réfugiés économiques.
Ils arriveront quand même parce que les gouvernements français et européens
n’ont jamais vraiment souhaité que les paysans d’Afrique de l’Ouest (80% de
la population) puissent vivre du travail de leur terre. Vous refusez
d’acheter leurs produits à un prix rémunérateur qui leur donne la
possibilité de rester chez eux. Vous refusez d’investir dans l’agriculture
familiale qui seule peut fixer les populations chez elles.
Vous avez toujours préféré distribuer de l’aide déstructurante quand il est
trop tard et que les plus faibles sont déjà morts. Vous préférez apporter
une aide tardive avec vos stocks d’invendus transportés à grands frais,
plutôt que de créer un environnement qui permette aux paysans africains de
développer leurs propres productions et leurs propres stocks.
Vous déstabilisez leurs marchés avec les faux prix du pseudo marché mondial,
que vous bricolez à votre guise (par des subventions ou du dumping). Et vous
annoncez à tous cette nouvelle soit-disant vérité : Commerce ultra-libéral =
développement.
Alors que nous voyons chaque jour que cette recette ne fait qu’enrichir les
riches et appauvrir les pauvres...
Ils arriveront quand même parce que vos collègues chargés du développement
l’ont trop souvent réduit à des aides budgétaires ou à des prêts ponctuels
favorisant des régimes corrompus à la tête d’Etats où règnent le non-droit,
la corruption et le racket permanent des plus faibles. Peu de chances alors
de voir les plus jeunes se motiver dans un tel environnement. Ils veulent
venir en Europe, et ils viendront.
Ils arriveront quand même parce que, quittant la campagne, ces jeunes ne
trouvent dans les villes sous-équipées ni travail, ni considération, ni
perspectives d’avenir. Les quelques emplois qui existent sont déjà aux mains
d’une minorité qui se les réserve. Restent les seuls chemins de l’aventure
que "TV5 monde" fait briller à leurs yeux. Ils rêvent de l’Europe.
Ils arriveront quand même parce que finalement vous en avez besoin
dans l’agriculture (légumes, fruits et primeurs) parce que la grande
distribution, en écrasant les prix, ne permet pas de salarier normalement
ceux qui produisent et récoltent,
dans le bâtiment, parce que les contrats de sous-traitance de nos grands
groupes BTP, s’ils favorisent la création d’importants bénéfices, ne
permettent pas non plus de rémunérer normalement la main-d’oeuvre de ce
secteur,
et parce qu’il faudra bien remplacer l’importante génération du «
baby-boom » qui commence à prendre sa retraite.
Quand la communauté européenne prendra conscience que le monde a besoin de
toutes les agricultures du monde,
quand la communauté européenne décidera qu’il est juste et bon que l’Afrique
protège ses filières de productions naissantes (agricoles et autres) pour
parvenir à la souveraineté alimentaire,
quand la communauté européenne ouvrira vraiment ses marchés aux productions
de l’Afrique sub-saharienne pour qu’elle devienne enfin solvable,
quand la communauté européenne renoncera à imposer ses Accords de
Partenariat Economique (APE, qui sont en fait des accords de libre-échange)
qui vont ruiner ce qu’il reste encore de production locale et appauvrir un
peu plus les Etats africains,
quand la communauté européenne cessera de soutenir les " démocratures "
africaines,
Alors, Monsieur le ministre, Messieurs les ministres, alors seulement,
peut-être, la pression sera moins forte à vos frontières.
Bon courage !
Source : http://www.lefaso.net/article.php3?id_article=13443
A Monsieur Nicolas Sarkozy, ministre de l’intérieur,
A Messieurs les ministres de l’intérieur de l’Union Européenne,
L’une de vos préoccupations aujourd’hui semble être d’endiguer le flux
ininterrompu des réfugiés économiques qui assiègent les frontières de
l’Union Européenne, réfugiés qui, pour beaucoup, viennent d’Afrique noire.
Nous savions depuis longtemps que la pression était forte et des milliers de
cadavres balisent déjà les routes du désert quand les vieux camions rendent
l’âme, le détroit de Gibraltar quand coulent les frêles embarcations, ou les
autoroutes d’Europe quand on oublie d’aérer citernes ou conteneurs où ils
voyagent.
Qu’une route se ferme, une autre s’ouvre... et il va en être ainsi pour
longtemps !
Vous pouvez bien affréter ces humiliants charters de « retour au pays » qui
blessent profondément l’âme hospitalière africaine, elle qui garde mémoire
d’avoir été convoquée pour défendre la mère patrie,
vous pouvez bien mettre une troisième rangée de grillage à Ceuta et Mellilla
(Que faisons-nous encore là-bas ?) ou faire disparaître le camp de Sangate,
vous pouvez bien organiser des reconduites aux frontières sous les feux des
caméras de télévision, cela rassurera peut-être vos opinions publiques mal
informées, mais cela n’arrêtera pas l’arrivée des réfugiés économiques.
Ils arriveront quand même parce que les gouvernements français et européens
n’ont jamais vraiment souhaité que les paysans d’Afrique de l’Ouest (80% de
la population) puissent vivre du travail de leur terre. Vous refusez
d’acheter leurs produits à un prix rémunérateur qui leur donne la
possibilité de rester chez eux. Vous refusez d’investir dans l’agriculture
familiale qui seule peut fixer les populations chez elles.
Vous avez toujours préféré distribuer de l’aide déstructurante quand il est
trop tard et que les plus faibles sont déjà morts. Vous préférez apporter
une aide tardive avec vos stocks d’invendus transportés à grands frais,
plutôt que de créer un environnement qui permette aux paysans africains de
développer leurs propres productions et leurs propres stocks.
Vous déstabilisez leurs marchés avec les faux prix du pseudo marché mondial,
que vous bricolez à votre guise (par des subventions ou du dumping). Et vous
annoncez à tous cette nouvelle soit-disant vérité : Commerce ultra-libéral =
développement.
Alors que nous voyons chaque jour que cette recette ne fait qu’enrichir les
riches et appauvrir les pauvres...
Ils arriveront quand même parce que vos collègues chargés du développement
l’ont trop souvent réduit à des aides budgétaires ou à des prêts ponctuels
favorisant des régimes corrompus à la tête d’Etats où règnent le non-droit,
la corruption et le racket permanent des plus faibles. Peu de chances alors
de voir les plus jeunes se motiver dans un tel environnement. Ils veulent
venir en Europe, et ils viendront.
Ils arriveront quand même parce que, quittant la campagne, ces jeunes ne
trouvent dans les villes sous-équipées ni travail, ni considération, ni
perspectives d’avenir. Les quelques emplois qui existent sont déjà aux mains
d’une minorité qui se les réserve. Restent les seuls chemins de l’aventure
que "TV5 monde" fait briller à leurs yeux. Ils rêvent de l’Europe.
Ils arriveront quand même parce que finalement vous en avez besoin
dans l’agriculture (légumes, fruits et primeurs) parce que la grande
distribution, en écrasant les prix, ne permet pas de salarier normalement
ceux qui produisent et récoltent,
dans le bâtiment, parce que les contrats de sous-traitance de nos grands
groupes BTP, s’ils favorisent la création d’importants bénéfices, ne
permettent pas non plus de rémunérer normalement la main-d’oeuvre de ce
secteur,
et parce qu’il faudra bien remplacer l’importante génération du «
baby-boom » qui commence à prendre sa retraite.
Quand la communauté européenne prendra conscience que le monde a besoin de
toutes les agricultures du monde,
quand la communauté européenne décidera qu’il est juste et bon que l’Afrique
protège ses filières de productions naissantes (agricoles et autres) pour
parvenir à la souveraineté alimentaire,
quand la communauté européenne ouvrira vraiment ses marchés aux productions
de l’Afrique sub-saharienne pour qu’elle devienne enfin solvable,
quand la communauté européenne renoncera à imposer ses Accords de
Partenariat Economique (APE, qui sont en fait des accords de libre-échange)
qui vont ruiner ce qu’il reste encore de production locale et appauvrir un
peu plus les Etats africains,
quand la communauté européenne cessera de soutenir les " démocratures "
africaines,
Alors, Monsieur le ministre, Messieurs les ministres, alors seulement,
peut-être, la pression sera moins forte à vos frontières.
Bon courage !
16 mai 2006
Une courte vidéo sur le Nouvel Ordre Mondial
VÉGÉTARISME : POURQUOI ?
Par définition le végétarien ne consomme aucune chair animale (viande, volailles, charcuterie, poissons, crustacés, coquillages), mais mange généralement des sous-produits animaux (œuf, lait, fromage).
Aux yeux de bien des gens le végétarisme évoque la pauvreté, la maladie, ou une quelconque secte religieuse.
En vérité les mobiles pour devenir végétarien sont nombreux, très diversifiés et dépendent de la sensibilité de chacun. Cuvier le grand naturaliste disait : "l'anatomie comparée nous enseigne qu'en toute chose l'homme ressemble aux animaux frugivores et en rien aux carnivores". En effet, la denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes.
Il est facile d'objecter à ces arguments que des milliers de gens mangent de la viande, ne semblant ressentir aucun dommage ! Le corps humain est capable de s'adapter, mais à quel prix ? L'addition est plus ou moins lourde selon le potentiel vital et l'état des organes de chacun.
Et les protéines, alors ? : La question-clef est posée, celle qui angoisse les postulants au végétarisme. Il faudrait en terminer une bonne fois avec le préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande. Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité et en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme. Du point de vue nutritionnel peu importe la source de la protéine, végétale ou animale, seule compte l'efficacité. Il faut noter qu'en moyenne, les consommateurs de viande absorbent le double de la ration protéinique recommandée ! Excès préjudiciable à la santé, qui entraine les maladies de pléthore : arthritisme, maladies cardio-vasculaires, certains cancers, obésité... A noter que la diététique officielle condamne l'excès de consommation de viande.
Les arguments d'ordre moral : procurent des raisons supplémentaires d'être végétarien. "Nous ne devons jamais considérer un être vivant comme un moyen de satisfaire nos désirs" disait Kant. Comment accepter que la naissance, la vie et la mort d'un animal ne trouvent de justification que dans le plaisir de la table, pour flatter notre palais ? Les éleveurs industriels considèrent les animaux comme de la marchandise, se révélant imperméables à la souffrance animale. Pourtant, peut-on rester insensible devant des veaux attachés à vie dans l'obscurité, dans des boxes exigus, où il leur est impossible de se retourner et de se coucher, d'où ils ne sortiront que pour être menés à l'abattoir ? Les exemples ne manquent pas, tous plus révoltants les uns que les autres : batteries de poules pondeuses, élevages intensifs de porcs, poulets, gavage des oies et canards... L'élevage industriel ne se pratique pas au pré ! Aviez-vous remarqué que dans nos campagnes les prairies disparaissaient au profit des champs et que les animaux en liberté s'y faisaient de plus en plus rares ?
La triste existence des animaux dits "de consommation" se termine à l'abattoir, une mort pas toujours aussi "propre" qu'on voudrait nous le faire croire ! Pourtant le meurtre et la souffrance animale inspirent à la plupart d'entre nous une profonde répulsion. Et il est évident que si les gens étaient obligés de tuer eux-mêmes les animaux dont ils se nourrissent, beaucoup ne consentiraient plus à manger de viande.
La pratique du meurtre alimentaire entraîne la brutalité dans les moeurs, alors que le respect de la vie animale est probablement un des tremplins d'une spiritualité élevée. Ceux qui restent insensibles devant la souffrance animale seront-ils touchés par la misère humaine ?
Pour être solidaire : La solidarité envers les peuples du Tiers-Monde constitue un aspect déterminant pour certains végétariens. En effet, la production de viande gaspille les céréales. Un animal qui consomme sept calories végétales (céréales) n'en restitue qu'une seule sous forme animale (viande). Chacun peut mesurer le gâchis engendré par ce type de consommation indirecte des céréales. Il faut bien avoir à l'esprit que plus du tiers des céréales produites dans le monde sert à nourir le bétail des pays riches et que les pays du Tiers-Monde fournissent de plus en plus de calories et de protéines pour l'alimentation animale (manioc, soja, arachides...). Ce qui est vraiment paradoxal lorsque l'on sait que la famine sévit dans ces pays ! A titre d'exemple, au plus fort de la sécheresse, le Sahel a exporté plus de protéines qu'il n'en a reçu au titre de l'aide alimentaire ! Changer notre manière de produire et de consommer les protéines est un acte solidaire vis à vis des peuples les plus démunis !
Pour l'Environnement :L'eau - Quand on consomme un steak, on "dépense" en moyenne 60 fois plus d'eau que si l'on mange une galette de blé, riz, ou soja ; car il faut 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de boeuf, alors que 1 000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, riz ou soja. (source : Sciences & Vie - avril 1997). A cela s'ajoute la pollution des nappes phréatiques et des rivières par les lisiers.La terre - Le gaspillage de terres agricoles - pour nourrir une personne pendant 1 an, il faut :
• uniquement par des protéines animales : 2 ha de terre • uniquement par des protéines végétales : 0,16 ha de terre.
Voilà de bonnes raisons d'être végétarien !
Aux yeux de bien des gens le végétarisme évoque la pauvreté, la maladie, ou une quelconque secte religieuse.
En vérité les mobiles pour devenir végétarien sont nombreux, très diversifiés et dépendent de la sensibilité de chacun. Cuvier le grand naturaliste disait : "l'anatomie comparée nous enseigne qu'en toute chose l'homme ressemble aux animaux frugivores et en rien aux carnivores". En effet, la denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes.
Il est facile d'objecter à ces arguments que des milliers de gens mangent de la viande, ne semblant ressentir aucun dommage ! Le corps humain est capable de s'adapter, mais à quel prix ? L'addition est plus ou moins lourde selon le potentiel vital et l'état des organes de chacun.
Et les protéines, alors ? : La question-clef est posée, celle qui angoisse les postulants au végétarisme. Il faudrait en terminer une bonne fois avec le préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande. Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité et en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme. Du point de vue nutritionnel peu importe la source de la protéine, végétale ou animale, seule compte l'efficacité. Il faut noter qu'en moyenne, les consommateurs de viande absorbent le double de la ration protéinique recommandée ! Excès préjudiciable à la santé, qui entraine les maladies de pléthore : arthritisme, maladies cardio-vasculaires, certains cancers, obésité... A noter que la diététique officielle condamne l'excès de consommation de viande.
Les arguments d'ordre moral : procurent des raisons supplémentaires d'être végétarien. "Nous ne devons jamais considérer un être vivant comme un moyen de satisfaire nos désirs" disait Kant. Comment accepter que la naissance, la vie et la mort d'un animal ne trouvent de justification que dans le plaisir de la table, pour flatter notre palais ? Les éleveurs industriels considèrent les animaux comme de la marchandise, se révélant imperméables à la souffrance animale. Pourtant, peut-on rester insensible devant des veaux attachés à vie dans l'obscurité, dans des boxes exigus, où il leur est impossible de se retourner et de se coucher, d'où ils ne sortiront que pour être menés à l'abattoir ? Les exemples ne manquent pas, tous plus révoltants les uns que les autres : batteries de poules pondeuses, élevages intensifs de porcs, poulets, gavage des oies et canards... L'élevage industriel ne se pratique pas au pré ! Aviez-vous remarqué que dans nos campagnes les prairies disparaissaient au profit des champs et que les animaux en liberté s'y faisaient de plus en plus rares ?
La triste existence des animaux dits "de consommation" se termine à l'abattoir, une mort pas toujours aussi "propre" qu'on voudrait nous le faire croire ! Pourtant le meurtre et la souffrance animale inspirent à la plupart d'entre nous une profonde répulsion. Et il est évident que si les gens étaient obligés de tuer eux-mêmes les animaux dont ils se nourrissent, beaucoup ne consentiraient plus à manger de viande.
La pratique du meurtre alimentaire entraîne la brutalité dans les moeurs, alors que le respect de la vie animale est probablement un des tremplins d'une spiritualité élevée. Ceux qui restent insensibles devant la souffrance animale seront-ils touchés par la misère humaine ?
Pour être solidaire : La solidarité envers les peuples du Tiers-Monde constitue un aspect déterminant pour certains végétariens. En effet, la production de viande gaspille les céréales. Un animal qui consomme sept calories végétales (céréales) n'en restitue qu'une seule sous forme animale (viande). Chacun peut mesurer le gâchis engendré par ce type de consommation indirecte des céréales. Il faut bien avoir à l'esprit que plus du tiers des céréales produites dans le monde sert à nourir le bétail des pays riches et que les pays du Tiers-Monde fournissent de plus en plus de calories et de protéines pour l'alimentation animale (manioc, soja, arachides...). Ce qui est vraiment paradoxal lorsque l'on sait que la famine sévit dans ces pays ! A titre d'exemple, au plus fort de la sécheresse, le Sahel a exporté plus de protéines qu'il n'en a reçu au titre de l'aide alimentaire ! Changer notre manière de produire et de consommer les protéines est un acte solidaire vis à vis des peuples les plus démunis !
Pour l'Environnement :L'eau - Quand on consomme un steak, on "dépense" en moyenne 60 fois plus d'eau que si l'on mange une galette de blé, riz, ou soja ; car il faut 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de boeuf, alors que 1 000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, riz ou soja. (source : Sciences & Vie - avril 1997). A cela s'ajoute la pollution des nappes phréatiques et des rivières par les lisiers.La terre - Le gaspillage de terres agricoles - pour nourrir une personne pendant 1 an, il faut :
• uniquement par des protéines animales : 2 ha de terre • uniquement par des protéines végétales : 0,16 ha de terre.
Voilà de bonnes raisons d'être végétarien !
15 mai 2006
Végétariens
Etre Végétarien, c'est grave docteur ?
«100 % régime végétarien, c'est grave docteur ? Au contraire. Si le régime végétarien est bien équilibré, alors c'est un gage de longévité. Equilibré signifie composé d'une grande variété de fruits et légumes, mais aussi de légumineuses et de céréales. D'origine bio (sauf les céréales qui contiennent plus de mycotoxines que les céréales non bio) et consommés crus ou cuits à la vapeur, ces aliments constituent le plus sage des régimes car il est pauvre en acides gras saturés d'origine animale (gare aux abus de laitages gras). Ainsi, après avoir été l'objet de plaisanteries pendant des années, les végétariens font de plus en plus d'adeptes car ils souffrent moins de cancers, de syndrome métabolique, de maladies cardio-vasculaires et de diabète de type 2. [...]»
CA M'INTERESSE - Questions & Réponses, Hors Série n° 10."Comment bien manger" .
Natalie Portman : "V pour Végétarienne" !
« Portman, humainement correcte - C'est une femme engagée, une comédienne que Besson, Lucas, Allen..., s'arrachent. Aujourd'hui, elle est l'héroïne au crâne rasé du révolutionnaire "V pour Vendetta".
Rencontre : [...] Mode : "Ce n’est pas une obsession mais je suis ravie de pouvoir porter de grands noms de la couture. Cela dit, je refuse de porter de la fourrure, du cuir, des plumes. J’adore trop les animaux pour cela, et d’ailleurs je suis végétarienne. Ça peut sembler un cliché, mais je me sens plus proche de quelqu’un comme Stella McCartney, qui utilise des matières naturelles, ou des vêtements de la ligne Edun, créée par Bono et son épouse, fabriquée par des entreprises qui n’emploient pas d’enfants et dont les bénéfices vont à une association de lutte contre la pauvreté dans le monde" »
L'article complet sur : www.madamefigaro.fr/people/20060410.MAD0011.html
Extrait du site "LE FIGARO MADAME" (rubr. People) - 11 Avril 2006
Morrissey (ancien Smiths) :
« Morrissey, empereur romain. En concert à Londres. Cela fait sept ans qu'on ne l'a plus vu en Belgique. On a donc retrouvé l'ancien Smiths à Londres, en pleine forme.Cela fera bientôt vingt ans que Morrissey a rangé les Smiths au rayon des souvenirs, mais c'est comme si c'était hier.Les fans ne s'en sont toujours pas remis et nombre de tee-shirts à l'effigie du groupe défunt se baladent tranquillement dans les serres de l'Alexandra Palace, ce soir du 1er mai. [...]Et pourtant, Morrissey n'en démordra pas. Jamais, il ne reformera le groupe, avec ou sans Johnny Marr. Il l'a encore fort élégamment rappelé dans une de ses rares interviews : "Plutôt que de reformer les Smiths, je préfère encore manger mes c......s."Quand on sait que le Moz est le plus grand végétarien qui soit (au point de refuser d'être programmé aux festivals vendant de la viande sur le site), on a compris qu'il ne rigolait pas. [...] »
Source : www.lesoir.be/rubriques/culture/musiques/page_5902_431133.shtml
LE SOIR (Quotidien Belge) - 3 Mai 2006
Un végétarien, nouvel entraineur au Real de Madrid
« Lopez Caro est arrivé, tout en discrétion. Le personnage intrigue en tout sens. Imaginez : il se lève tous les matins à cinq heures, va faire son footing pendant une heure et demi (à jeûn), et va au camp d'entraînement.
Son estomac pose des problèmes insolubles aux cuisiniers madrilènes (il est végétarien), et son appétit en pose beaucoup aux joueurs madrilènes: le bonhomme hurle, engueule, et impose une discipline de fer, avec deux sessions d'entraînement par jour.
Et lorsque Lopez Caro arrive à ses premières conférences de presse, ce n'est pas vraiment pour parler football, mais plutôt de sa foi en Dieu. [...] »
YAHOO Actualités/Sport - 24 mars 2006
Nâdiya, chanteuse et sportive, une belle plante... végétarienne !
«Courir le 800 mètres exige endurance et résistance, deux qualités que l'ex-athlète a su garder. Elle court encore 20 kilomètres par semaine [...]
Végétarienne, elle se concocte de petits plats le soir, comme le gratin d'aubergines. Et compte aussi sur le reiki et la médecine chinoise pour être toujours prête pour le show.»
PUBLIC - 27 Février au 5 Mars 2006
Fatema Loukili, journaliste marocaine, végétarienne
Fatema Loukili est une journaliste marocaine, ex-responsable du service Info et ex-présentatrice vedette de la chaine TV marocaine "2M".
« Dès les premières paroles, Fatema Loukili révèle son charme. Des mots simples et précis, Fatema adopte cette clarté propreà la journaliste qu'elle a été pendant plus de 25 ans, notammentà Médi 1, TVM et 2M.
Nous l'avons rencontrée, le jour même de la Fête de la femme, au restaurant la Bodéga. Végétarienne, elle a choisi une salade aux légumes grillés et un thé noir tout en nous évoquant la condition féminine et bien d'autres sujets. [...] »
Source : www.lejournal-hebdo.com/article.php3?id_article=7536
LE JOURNAL HEBDOMADAIRE (Casablanca) 20 Mars 2006
Arno Klarsfeld, avocat... aussi des animaux
« Dans la famille Klarsfeld, protéger et sauver ne s'applique pas seulement aux humains. Les animaux tiennent une large place dans la vie de chacun. Ni artifice, ni faux semblants chez Arno [...]
- Arno K. : Il (l'animal) n'est donc plus considéré comme objet. Il se trouve dans une situation, on va dire bâtarde, qui peut être amenée à changer. Ca prendra vraisemblablement du temps. En même temps, les mentalités peuvent évoluer.
- Animaux Magazine : Dans quel sens ?
- Arno K. : Ce qui était acceptable aux siècles précédents ne l'est plus maintenant. Dans le futur, en se retournant, nos habitudes alimentaires seront probablement taxées de barbares au même titre que la corrida" [...]»
"ANIMAUX MAGAZINE" Journal de la SPA - Mars 2006
Azouz Begag, Ministre et... Végétarien !
Extrait de la Revue de la SPA de Lyon et du Sud-est "Protection des Animaux" (numéro de Juin 2005) :
«Je suis végétarien... Je trouve que, tôt ou tard, il faudra mettre fin à cette pratique de l'Aïd-el-Kébir qui ne correspond plus du tout à notre époque [...] Pourquoi les chasseurs et les aficionados, si prompts à évoquer ces traditions, ne respectent-ils pas ceux dont la tradition est de respecter la vie sous toutes ses formes, [...] »
AZOUZ BEGAG, Ministre délégué à la Promotion de l'Egalité des Chances.Propos recueillis par Pierre Monier : "Le fabuleux destin d'Azouz Begag, du Bidonville au Ministère".
ALLIANCE VÉGÉTARIENNE - 13 Mars 2006
Arielle Dombasle aime vraiment l'agneau !
Côté Femme :"Vous êtes végétarienne. Est-ce un choix éthique ou un régime de beauté ?"
Arielle Dombasle : "J'adore les animaux, ils m'ont tellement aidée tout au long de mon existence. Chiens, chats, ânes, chevaux, poules... J'ai eu tout ce qu'il est possible d'avoir ! Quand on voit la tendresse, l'innocence de l'agneau que l'on porte dans ses bras, comment peut-on égorger cette petite créature ?Il faut regarder le monde avec un peu plus de compassion, de douceur. Sinon, tout va très vite : on peut passer des animaux aux hommes en vingt secondes !"
CÔTÉ FEMME - Mars 2006
Orlando Bloom, l'elfe au grand coeur, est... végétarien !
Orlando Bloom, jeune et célèbre acteur britannique, est très apprécié du grand public. Nouvelle idole des adolescentes depuis son rôle de l’elfe Legolas dans la trilogie "Le Seigneur des Anneaux", Orlando le beau gosse est... végétarien.
Il adore les épinards et le couscous. Qu'on se le dise ! :-)
Source : www.pipole.net/5655-orlando-bloom.html
ALLIANCE VÉGÉTARIENNE - 27 Février 2006
Président de Slovénie et... Végétarien !
«[...] Que le Président ait profondément changé en un an, son nouveau style de vie l’avait déjà montré. Maison à la campagne, cuisine macrobiotique et végétarienne et autosuffisance, contact avec la nature, méditation (fasciné qu’il est par le Dalaï Lama et les philosophies orientales), ainsi qu’un intérêt prononcé pour les questions humanitaires, la philanthropie, la solidarité, le bien social... [...] »
Extrait de :www.newropeans-magazine.org/....Itemid=121
NEWROPEANS-MAGAZINE - 8 Février 2006
Miss U.K., jolie à croquer...
« C'est vêtue d'un bikini étriqué fait de feuilles de laitue que Miss United Kingdom Universe 2005, Brooke Johnston, apparaît dans une publicité pour PETA (People for the Ethical Treatment of Animals).
Âgée de 26 ans et diplômée de l'Université McGill à Montréal, Brooke a cessé de manger de la viande à l'âge de 14 ans, en apprenant comment souffrent les animaux dans l'industrie de la viande. La végétarienne cherche présentement à compléter sa maîtrise en journalisme.»
Source, avec photo : http://montreal.24heures.ca/LesUnsEtLesAutres/2006/02/01/1420480-sun.html
MONTREAL 24 heures - 1er Février 2006
Heather Mills McCartney, militante PETA
«Elle finirait presque par voler la vedette à son Beatle de mari, Paul McCartney, tant elle occupe le devant de la scène.
En bonne militante de la PETA (*), la célèbre association de défense des animaux, Heather Mills se bouge pour défendre leur cause. [...] »
(*) PETA (USA) : People for the Ethical Treatment of Animals
FEMME ACTUELLE - 9-15 Janvier 2006
Pénélope Cruz, grand coeur et Végétarisme
«[...] Salma Hayek et Penelope Cruz : "Las Amigas" [...]Penélope, un peu plus réservée, est cependant dotée d’ un beau tempérament, qu’elle met au service des justes causes. Un cachet offert au dispensaire de Mère Teresa, en Inde, deux mois de volontariat humanitaire en Ouganda. Cette globe-trotteuse, également polyglotte (espagnol, anglais, français, italien), a récemment choisi, après avoir tourné un film sur les chevaux ("De si jolis chevaux", 2000), de devenir végétarienne. [...]» www.madamefigaro.fr/people/20060113.MAD0009.html
MADAME FIGARO - Site Internet, rubr. People - Janvier 2006
Naomi Watts, amie de King Kong et...Végétarienne
«[...] Elle est la fragile et très asexuée créature dans la main du grand singe du remake de "King Kong". [...] elle affirme : "J'ai plus de compassion pour les animaux que pour les humains." [...]
Cette végétarienne se flatte aussi "de n'avoir jamais mangé un seul steak", préférant la pasta, la baguette-fromage, et le vin rouge. Et si elle veille déjà sur la destinée d'un village au Kenya, elle songe à rejoindre un mouvement écolo [...]»
Extrait du site : www.liberation.fr/page.php?Article=345062
Couple végétarien
L'actrice américaine Gwyneth Paltrow, mariée au chanteur du groupe "Coldplay", Chris Martin, est enceinte de son deuxième enfant, a annoncé vendredi l'émission de télévision Entertainment Tonight. [...] Le couple, végétarien militant, a baptisé son premier enfant, une fille née en mai 2004, du nom d'Apple (pomme). [...]Chris Martin, 28 ans, qui milite aussi pour le commerce équitable nord-sud, a été élu en juillet "Végétarien le plus sexy du monde" par les visiteurs du site internet d'une association américaine de défense des droits des animaux. (*)
LE MONDE
McCartney ne jouera pas en Chine...
«Paul McCartney, horrifié par l'abattage de chiens et de chats en Chine pour leur fourrure, ne pourrait envisager un seul instant de se produire dans ce pays, a assuré le musicien britannique dans un entretien devant être diffusé lundi soir dans le journal télévisé de la BBC.
"C'est barbare, horrible, moyenâgeux [...] Je ne pourrais même pas imaginer d'aller jouer là-bas, tout comme je ne pourrais aller dans un pays soutenant l'apartheid", a déclaré l'ancien Beatle au bord des larmes, après avoir visionné une séquence vidéo tournée en secret sur le marché de Canton (sud). [...]
Paul McCartney (végétarien) est engagé de longue date dans la cause des animaux. Son épouse Heather, qui a également participé à l'interview, a appelé au boycott des produits chinois.»
YAHOOActualités/People -
Joaquin Phoenix implore :"Pitié pour les dindes !"
«[...] Il est monté au créneau cette semaine pour prendre fait et cause contre le «massacre attendu de milliers de dindes» à l'occasion des célébrations de Thanksgiving jeudi. Pour ce faire, il apparaît dans un spot de publicité au profit de l'association de défense du droit des animaux PETA, dans lequel on le voit poussant un chariot dans les allées d'un supermarché [...] Joaquin choisit d'abord des pommes, puis du cerfeuil, deux citrouilles, des radis... Bref il se prépare un repas de fête, mais tombe tout-à-coup sur le rayon volailles, où attendent des dindes bien dodues, alignées en rang serré. C'est là que l'acteur prend sa tête des mauvais jours — il est lui-même végétarien — alors qu'en fond sonore résonne une marche funèbre. Et joignant le geste à la parole, Joaquin de se ruer sur un téléphone pour s'informer illico sur le régime végétarien. «Profitez des fêtes pour laisser leur chance aux dindes» implore-t-il enfin en gros plan, en guise de conclusion du même spot. » Source : www2.canoe.com/artsetculture/
CANOË / Actualités -
Et aussi:
Musique
Bryan Adams (Végétalien)Rick Allen (Def Leppard)Joan Baez Shirley BasseyDavid BowieKate Bush Jimmy CliffLéonard Cohen Phil Collins Nicole CroisilleDiane Dufresne Bob Dylan Mylène FarmerPeter Gabriel Boy George Dizzy Gillespie Garry Glitter Martin Gore (Dépêche Mode)Nina Hagen Hilary Hahn (Violoniste)George Harrison Whitney HoustonBilly Idol Joe Jackson LaToya Jackson Michael Jackson Nik Kershaw Lenny Kravitz Cindy Lauper Avril Lavigne John Lennon Annie Lennox (Eurythmics)Paul & Linda Mc CartneyJeane MansonChris Martin (Coldplay)Jeanne MasElli Medeiros Yehudi MenuhinMoby (Vegan)Morrissey (ancien du groupe Smiths)Nadiya (Chanteuse R n'B)Olivia Newton John Chris Novoselic (Nirvana)Sinead O'Connor (Végétalienne)Yoko Ono (Veuve de John Lennon)PrinceCarlos SantanaMichel Sardou (et sa femme Anne-Marie)Shirel Robert Smith (The Cure)Jimmy Sommerville(Les Communards)Ringo Starr (et sa femme,Barbara Bach)Dave Stewart Sting (Police)Michael Stipe (REM)Stone (de "Stone & Charden")Diane TellTanita Tikaram Tina Turner Shania Twain (Végétalienne)Susan Vega Womack and WomackYazzRika Zaraï
Sport
Surya Bonali (Patinage)Djamel Bouras (Judo médaille d'or JO)Andreas Cahling (Body Building)Fausto Coppi (Cyclisme)Patrick Edlinger (escalade mains nues)Ivan Lendl (Tennis)Carl Lewis (végétalien- 9 médailles d'or aux J.O.)Robert Millar (Cyclisme)Alain Mimoun (Marathon)Edwin Moses (Athletisme)Martina Navratilova (Tennis)Isabelle Patissier (Escalade mains nues)Murray Rose (Natation)Emil Zatopek (Marathon)
Cinéma - Spectale
Béatrice ArnacRosanna Arquette Richard & Leslie Bach (Star Trek)Kim Basinger Nathalie BayeCandice BergenOrlando Bloom Claudia CardinaleJulie ChristieCindy Cinnamon (actrice canadienne)Penelope CruzCameron DiazArielle Dombasle Fred Dryer (Rick Hunter)Clint EastwoodPeter Falk (Colombo)Richard Gere Melanie Griffith Philippe Gutierrez Larry Hagman (Dallas)Daryl HannahMariel Hemingway (Végétalienne)Dustin HoffmanKatie HolmesFrancis Huster Jude Law Patrick McNeeTobey MaguireDemi MooreAnnette O'TooleGwyneth Paltrow (Végétalienne)Anne Parillaud Anthony Perkins Joaquin PhœnixMarie-Claude Pietragalla (danseuse)Natalie PortmanCharlotte Rampling Robert RedfordYves RénierSteven SeagalColine Serreau Brooke ShieldsAlicia Silverstone (Végétalienne)Sylvester StalloneHilary Swank Jean-Claude Van damme Lindsay Wagner (Super Jaimie)Naomi WattsJohnny Weissmuller (Tarzan)Lambert Wilson
Personnalités d'hier et d'aujourd'hui
Apollonios de TyaneFrançois d'AssiseIsaac Bashevis-SingerAzouz Begag (Ministre français) BouddhaCharlotte BrontëCuvierCharles Darwin Leonard de VinciThomas Edison Albert EinsteinEmpédocleBenjamin Franklin Mahatma GandhiJane Goodall (primatologue) Steve Paul Jobs (Co-fondateur de Apple)Jiddu Krishnamurti LamartineLanza del VastoMartin Luther Théodore MonodMontaigneIsaac Newton PlatonPlotinPlutarquePorphyrePythagorePrince Sadruddin Aga KhanHenry Salt Albert Schweitzer George Bernard Shaw Percy Bysshe ShelleyReine Sophie d'Espagne Philippe Starck Emanuel SwedenborgNikola TeslaLéon TolstoïVoltaireMarguerite Yourcenar Zoroastre
«100 % régime végétarien, c'est grave docteur ? Au contraire. Si le régime végétarien est bien équilibré, alors c'est un gage de longévité. Equilibré signifie composé d'une grande variété de fruits et légumes, mais aussi de légumineuses et de céréales. D'origine bio (sauf les céréales qui contiennent plus de mycotoxines que les céréales non bio) et consommés crus ou cuits à la vapeur, ces aliments constituent le plus sage des régimes car il est pauvre en acides gras saturés d'origine animale (gare aux abus de laitages gras). Ainsi, après avoir été l'objet de plaisanteries pendant des années, les végétariens font de plus en plus d'adeptes car ils souffrent moins de cancers, de syndrome métabolique, de maladies cardio-vasculaires et de diabète de type 2. [...]»
CA M'INTERESSE - Questions & Réponses, Hors Série n° 10."Comment bien manger" .
Natalie Portman : "V pour Végétarienne" !
« Portman, humainement correcte - C'est une femme engagée, une comédienne que Besson, Lucas, Allen..., s'arrachent. Aujourd'hui, elle est l'héroïne au crâne rasé du révolutionnaire "V pour Vendetta".
Rencontre : [...] Mode : "Ce n’est pas une obsession mais je suis ravie de pouvoir porter de grands noms de la couture. Cela dit, je refuse de porter de la fourrure, du cuir, des plumes. J’adore trop les animaux pour cela, et d’ailleurs je suis végétarienne. Ça peut sembler un cliché, mais je me sens plus proche de quelqu’un comme Stella McCartney, qui utilise des matières naturelles, ou des vêtements de la ligne Edun, créée par Bono et son épouse, fabriquée par des entreprises qui n’emploient pas d’enfants et dont les bénéfices vont à une association de lutte contre la pauvreté dans le monde" »
L'article complet sur : www.madamefigaro.fr/people/20060410.MAD0011.html
Extrait du site "LE FIGARO MADAME" (rubr. People) - 11 Avril 2006
Morrissey (ancien Smiths) :
« Morrissey, empereur romain. En concert à Londres. Cela fait sept ans qu'on ne l'a plus vu en Belgique. On a donc retrouvé l'ancien Smiths à Londres, en pleine forme.Cela fera bientôt vingt ans que Morrissey a rangé les Smiths au rayon des souvenirs, mais c'est comme si c'était hier.Les fans ne s'en sont toujours pas remis et nombre de tee-shirts à l'effigie du groupe défunt se baladent tranquillement dans les serres de l'Alexandra Palace, ce soir du 1er mai. [...]Et pourtant, Morrissey n'en démordra pas. Jamais, il ne reformera le groupe, avec ou sans Johnny Marr. Il l'a encore fort élégamment rappelé dans une de ses rares interviews : "Plutôt que de reformer les Smiths, je préfère encore manger mes c......s."Quand on sait que le Moz est le plus grand végétarien qui soit (au point de refuser d'être programmé aux festivals vendant de la viande sur le site), on a compris qu'il ne rigolait pas. [...] »
Source : www.lesoir.be/rubriques/culture/musiques/page_5902_431133.shtml
LE SOIR (Quotidien Belge) - 3 Mai 2006
Un végétarien, nouvel entraineur au Real de Madrid
« Lopez Caro est arrivé, tout en discrétion. Le personnage intrigue en tout sens. Imaginez : il se lève tous les matins à cinq heures, va faire son footing pendant une heure et demi (à jeûn), et va au camp d'entraînement.
Son estomac pose des problèmes insolubles aux cuisiniers madrilènes (il est végétarien), et son appétit en pose beaucoup aux joueurs madrilènes: le bonhomme hurle, engueule, et impose une discipline de fer, avec deux sessions d'entraînement par jour.
Et lorsque Lopez Caro arrive à ses premières conférences de presse, ce n'est pas vraiment pour parler football, mais plutôt de sa foi en Dieu. [...] »
YAHOO Actualités/Sport - 24 mars 2006
Nâdiya, chanteuse et sportive, une belle plante... végétarienne !
«Courir le 800 mètres exige endurance et résistance, deux qualités que l'ex-athlète a su garder. Elle court encore 20 kilomètres par semaine [...]
Végétarienne, elle se concocte de petits plats le soir, comme le gratin d'aubergines. Et compte aussi sur le reiki et la médecine chinoise pour être toujours prête pour le show.»
PUBLIC - 27 Février au 5 Mars 2006
Fatema Loukili, journaliste marocaine, végétarienne
Fatema Loukili est une journaliste marocaine, ex-responsable du service Info et ex-présentatrice vedette de la chaine TV marocaine "2M".
« Dès les premières paroles, Fatema Loukili révèle son charme. Des mots simples et précis, Fatema adopte cette clarté propreà la journaliste qu'elle a été pendant plus de 25 ans, notammentà Médi 1, TVM et 2M.
Nous l'avons rencontrée, le jour même de la Fête de la femme, au restaurant la Bodéga. Végétarienne, elle a choisi une salade aux légumes grillés et un thé noir tout en nous évoquant la condition féminine et bien d'autres sujets. [...] »
Source : www.lejournal-hebdo.com/article.php3?id_article=7536
LE JOURNAL HEBDOMADAIRE (Casablanca) 20 Mars 2006
Arno Klarsfeld, avocat... aussi des animaux
« Dans la famille Klarsfeld, protéger et sauver ne s'applique pas seulement aux humains. Les animaux tiennent une large place dans la vie de chacun. Ni artifice, ni faux semblants chez Arno [...]
- Arno K. : Il (l'animal) n'est donc plus considéré comme objet. Il se trouve dans une situation, on va dire bâtarde, qui peut être amenée à changer. Ca prendra vraisemblablement du temps. En même temps, les mentalités peuvent évoluer.
- Animaux Magazine : Dans quel sens ?
- Arno K. : Ce qui était acceptable aux siècles précédents ne l'est plus maintenant. Dans le futur, en se retournant, nos habitudes alimentaires seront probablement taxées de barbares au même titre que la corrida" [...]»
"ANIMAUX MAGAZINE" Journal de la SPA - Mars 2006
Azouz Begag, Ministre et... Végétarien !
Extrait de la Revue de la SPA de Lyon et du Sud-est "Protection des Animaux" (numéro de Juin 2005) :
«Je suis végétarien... Je trouve que, tôt ou tard, il faudra mettre fin à cette pratique de l'Aïd-el-Kébir qui ne correspond plus du tout à notre époque [...] Pourquoi les chasseurs et les aficionados, si prompts à évoquer ces traditions, ne respectent-ils pas ceux dont la tradition est de respecter la vie sous toutes ses formes, [...] »
AZOUZ BEGAG, Ministre délégué à la Promotion de l'Egalité des Chances.Propos recueillis par Pierre Monier : "Le fabuleux destin d'Azouz Begag, du Bidonville au Ministère".
ALLIANCE VÉGÉTARIENNE - 13 Mars 2006
Arielle Dombasle aime vraiment l'agneau !
Côté Femme :"Vous êtes végétarienne. Est-ce un choix éthique ou un régime de beauté ?"
Arielle Dombasle : "J'adore les animaux, ils m'ont tellement aidée tout au long de mon existence. Chiens, chats, ânes, chevaux, poules... J'ai eu tout ce qu'il est possible d'avoir ! Quand on voit la tendresse, l'innocence de l'agneau que l'on porte dans ses bras, comment peut-on égorger cette petite créature ?Il faut regarder le monde avec un peu plus de compassion, de douceur. Sinon, tout va très vite : on peut passer des animaux aux hommes en vingt secondes !"
CÔTÉ FEMME - Mars 2006
Orlando Bloom, l'elfe au grand coeur, est... végétarien !
Orlando Bloom, jeune et célèbre acteur britannique, est très apprécié du grand public. Nouvelle idole des adolescentes depuis son rôle de l’elfe Legolas dans la trilogie "Le Seigneur des Anneaux", Orlando le beau gosse est... végétarien.
Il adore les épinards et le couscous. Qu'on se le dise ! :-)
Source : www.pipole.net/5655-orlando-bloom.html
ALLIANCE VÉGÉTARIENNE - 27 Février 2006
Président de Slovénie et... Végétarien !
«[...] Que le Président ait profondément changé en un an, son nouveau style de vie l’avait déjà montré. Maison à la campagne, cuisine macrobiotique et végétarienne et autosuffisance, contact avec la nature, méditation (fasciné qu’il est par le Dalaï Lama et les philosophies orientales), ainsi qu’un intérêt prononcé pour les questions humanitaires, la philanthropie, la solidarité, le bien social... [...] »
Extrait de :www.newropeans-magazine.org/....Itemid=121
NEWROPEANS-MAGAZINE - 8 Février 2006
Miss U.K., jolie à croquer...
« C'est vêtue d'un bikini étriqué fait de feuilles de laitue que Miss United Kingdom Universe 2005, Brooke Johnston, apparaît dans une publicité pour PETA (People for the Ethical Treatment of Animals).
Âgée de 26 ans et diplômée de l'Université McGill à Montréal, Brooke a cessé de manger de la viande à l'âge de 14 ans, en apprenant comment souffrent les animaux dans l'industrie de la viande. La végétarienne cherche présentement à compléter sa maîtrise en journalisme.»
Source, avec photo : http://montreal.24heures.ca/LesUnsEtLesAutres/2006/02/01/1420480-sun.html
MONTREAL 24 heures - 1er Février 2006
Heather Mills McCartney, militante PETA
«Elle finirait presque par voler la vedette à son Beatle de mari, Paul McCartney, tant elle occupe le devant de la scène.
En bonne militante de la PETA (*), la célèbre association de défense des animaux, Heather Mills se bouge pour défendre leur cause. [...] »
(*) PETA (USA) : People for the Ethical Treatment of Animals
FEMME ACTUELLE - 9-15 Janvier 2006
Pénélope Cruz, grand coeur et Végétarisme
«[...] Salma Hayek et Penelope Cruz : "Las Amigas" [...]Penélope, un peu plus réservée, est cependant dotée d’ un beau tempérament, qu’elle met au service des justes causes. Un cachet offert au dispensaire de Mère Teresa, en Inde, deux mois de volontariat humanitaire en Ouganda. Cette globe-trotteuse, également polyglotte (espagnol, anglais, français, italien), a récemment choisi, après avoir tourné un film sur les chevaux ("De si jolis chevaux", 2000), de devenir végétarienne. [...]» www.madamefigaro.fr/people/20060113.MAD0009.html
MADAME FIGARO - Site Internet, rubr. People - Janvier 2006
Naomi Watts, amie de King Kong et...Végétarienne
«[...] Elle est la fragile et très asexuée créature dans la main du grand singe du remake de "King Kong". [...] elle affirme : "J'ai plus de compassion pour les animaux que pour les humains." [...]
Cette végétarienne se flatte aussi "de n'avoir jamais mangé un seul steak", préférant la pasta, la baguette-fromage, et le vin rouge. Et si elle veille déjà sur la destinée d'un village au Kenya, elle songe à rejoindre un mouvement écolo [...]»
Extrait du site : www.liberation.fr/page.php?Article=345062
Couple végétarien
L'actrice américaine Gwyneth Paltrow, mariée au chanteur du groupe "Coldplay", Chris Martin, est enceinte de son deuxième enfant, a annoncé vendredi l'émission de télévision Entertainment Tonight. [...] Le couple, végétarien militant, a baptisé son premier enfant, une fille née en mai 2004, du nom d'Apple (pomme). [...]Chris Martin, 28 ans, qui milite aussi pour le commerce équitable nord-sud, a été élu en juillet "Végétarien le plus sexy du monde" par les visiteurs du site internet d'une association américaine de défense des droits des animaux. (*)
LE MONDE
McCartney ne jouera pas en Chine...
«Paul McCartney, horrifié par l'abattage de chiens et de chats en Chine pour leur fourrure, ne pourrait envisager un seul instant de se produire dans ce pays, a assuré le musicien britannique dans un entretien devant être diffusé lundi soir dans le journal télévisé de la BBC.
"C'est barbare, horrible, moyenâgeux [...] Je ne pourrais même pas imaginer d'aller jouer là-bas, tout comme je ne pourrais aller dans un pays soutenant l'apartheid", a déclaré l'ancien Beatle au bord des larmes, après avoir visionné une séquence vidéo tournée en secret sur le marché de Canton (sud). [...]
Paul McCartney (végétarien) est engagé de longue date dans la cause des animaux. Son épouse Heather, qui a également participé à l'interview, a appelé au boycott des produits chinois.»
YAHOOActualités/People -
Joaquin Phoenix implore :"Pitié pour les dindes !"
«[...] Il est monté au créneau cette semaine pour prendre fait et cause contre le «massacre attendu de milliers de dindes» à l'occasion des célébrations de Thanksgiving jeudi. Pour ce faire, il apparaît dans un spot de publicité au profit de l'association de défense du droit des animaux PETA, dans lequel on le voit poussant un chariot dans les allées d'un supermarché [...] Joaquin choisit d'abord des pommes, puis du cerfeuil, deux citrouilles, des radis... Bref il se prépare un repas de fête, mais tombe tout-à-coup sur le rayon volailles, où attendent des dindes bien dodues, alignées en rang serré. C'est là que l'acteur prend sa tête des mauvais jours — il est lui-même végétarien — alors qu'en fond sonore résonne une marche funèbre. Et joignant le geste à la parole, Joaquin de se ruer sur un téléphone pour s'informer illico sur le régime végétarien. «Profitez des fêtes pour laisser leur chance aux dindes» implore-t-il enfin en gros plan, en guise de conclusion du même spot. » Source : www2.canoe.com/artsetculture/
CANOË / Actualités -
Et aussi:
Musique
Bryan Adams (Végétalien)Rick Allen (Def Leppard)Joan Baez Shirley BasseyDavid BowieKate Bush Jimmy CliffLéonard Cohen Phil Collins Nicole CroisilleDiane Dufresne Bob Dylan Mylène FarmerPeter Gabriel Boy George Dizzy Gillespie Garry Glitter Martin Gore (Dépêche Mode)Nina Hagen Hilary Hahn (Violoniste)George Harrison Whitney HoustonBilly Idol Joe Jackson LaToya Jackson Michael Jackson Nik Kershaw Lenny Kravitz Cindy Lauper Avril Lavigne John Lennon Annie Lennox (Eurythmics)Paul & Linda Mc CartneyJeane MansonChris Martin (Coldplay)Jeanne MasElli Medeiros Yehudi MenuhinMoby (Vegan)Morrissey (ancien du groupe Smiths)Nadiya (Chanteuse R n'B)Olivia Newton John Chris Novoselic (Nirvana)Sinead O'Connor (Végétalienne)Yoko Ono (Veuve de John Lennon)PrinceCarlos SantanaMichel Sardou (et sa femme Anne-Marie)Shirel Robert Smith (The Cure)Jimmy Sommerville(Les Communards)Ringo Starr (et sa femme,Barbara Bach)Dave Stewart Sting (Police)Michael Stipe (REM)Stone (de "Stone & Charden")Diane TellTanita Tikaram Tina Turner Shania Twain (Végétalienne)Susan Vega Womack and WomackYazzRika Zaraï
Sport
Surya Bonali (Patinage)Djamel Bouras (Judo médaille d'or JO)Andreas Cahling (Body Building)Fausto Coppi (Cyclisme)Patrick Edlinger (escalade mains nues)Ivan Lendl (Tennis)Carl Lewis (végétalien- 9 médailles d'or aux J.O.)Robert Millar (Cyclisme)Alain Mimoun (Marathon)Edwin Moses (Athletisme)Martina Navratilova (Tennis)Isabelle Patissier (Escalade mains nues)Murray Rose (Natation)Emil Zatopek (Marathon)
Cinéma - Spectale
Béatrice ArnacRosanna Arquette Richard & Leslie Bach (Star Trek)Kim Basinger Nathalie BayeCandice BergenOrlando Bloom Claudia CardinaleJulie ChristieCindy Cinnamon (actrice canadienne)Penelope CruzCameron DiazArielle Dombasle Fred Dryer (Rick Hunter)Clint EastwoodPeter Falk (Colombo)Richard Gere Melanie Griffith Philippe Gutierrez Larry Hagman (Dallas)Daryl HannahMariel Hemingway (Végétalienne)Dustin HoffmanKatie HolmesFrancis Huster Jude Law Patrick McNeeTobey MaguireDemi MooreAnnette O'TooleGwyneth Paltrow (Végétalienne)Anne Parillaud Anthony Perkins Joaquin PhœnixMarie-Claude Pietragalla (danseuse)Natalie PortmanCharlotte Rampling Robert RedfordYves RénierSteven SeagalColine Serreau Brooke ShieldsAlicia Silverstone (Végétalienne)Sylvester StalloneHilary Swank Jean-Claude Van damme Lindsay Wagner (Super Jaimie)Naomi WattsJohnny Weissmuller (Tarzan)Lambert Wilson
Personnalités d'hier et d'aujourd'hui
Apollonios de TyaneFrançois d'AssiseIsaac Bashevis-SingerAzouz Begag (Ministre français) BouddhaCharlotte BrontëCuvierCharles Darwin Leonard de VinciThomas Edison Albert EinsteinEmpédocleBenjamin Franklin Mahatma GandhiJane Goodall (primatologue) Steve Paul Jobs (Co-fondateur de Apple)Jiddu Krishnamurti LamartineLanza del VastoMartin Luther Théodore MonodMontaigneIsaac Newton PlatonPlotinPlutarquePorphyrePythagorePrince Sadruddin Aga KhanHenry Salt Albert Schweitzer George Bernard Shaw Percy Bysshe ShelleyReine Sophie d'Espagne Philippe Starck Emanuel SwedenborgNikola TeslaLéon TolstoïVoltaireMarguerite Yourcenar Zoroastre
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