29 juin 2006
NOVUS ORDO SECLORUM - « Le Nouvel Ordre Mondial »
Par Armin RISI (article écrit en 1999)
Source : MAGAZIN 2000 n° 136 – 02/99.
Le nouveau livre d’Armin Risi (“Unsichtbare Welten” - “Les Mondes Invisibles”) renferme un palpitant préambule d’un initié de pointe de la politique U.S, Michael Boren Williams. Dans ce préambule, il fait part de ses tragiques démêlés avec les puissances secrètes U.S.
Pour l’article qui va suivre, l’auteur Armin Risi, a contacté à nouveau Mr. Williams, et lui a demandé quelles perspectives il prévoyait au cours des prochaines années dans le domaine de la politique mondiale.
Qu’est-ce qui se cache là derrière et quelles en sont les prochaines étapes ?
Armin Risi : La situation politique mondiale va t-elle se calmer au cours des prochaines années ou va t-elle s’aggraver ?
Michael Boren Williams : Il ne faudrait pas nourrir l’illusion que nous aurons la paix et la liberté dans les prochains temps. Au contraire, il y a de grosses “pointures” qui rêvent d’un nouvel ordre mondial et qui travaillent depuis longtemps déjà à réaliser ce rêve. Ce plan est déjà très avancé et ces messieurs ne reculeront devant rien. Et j’affirme cela avec force, parce que j’ai pu le ressentir dans ma propre chair.
Les coulisses de l'histoire mondiale
A.R. : Avant d’en venir à votre propre histoire personnelle, je voudrais vous demander ce qu’est, en fait, ce “Nouvel Ordre Mondial” auquel on fait si souvent allusion.
M.B.W. : Ce concept est hautement officiel. Il s’est fait connaître au début des années 90 dans le domaine de la politique mondiale, lorsque le président U.S, George Bush en a, bizarrement, souvent parlé « new world order ». Ce concept est tellement officiel qu’il est même imprimé sur les billets de banque d’un dollar : Novus Ordo Seclorum. Cette expression latine signifie littéralement “Nouvel Ordre Mondial”. Comme cette expression figure directement sur un billet de banque de la Banque Fédérale de Réserve U.S, on peut en déduire que ce concept a déjà une histoire et ne constitue rien de nouveau.
Et de fait, il y a toute une idéologie derrière ce concept : le plan pour un Gouvernement Mondial Unique. De cette manière, il s’agit d’imposer un ordre mondial répondant aux idées de l’élite richissime et détentrice du pouvoir. Ce plan s’applique d’une manière globalement politique depuis l’ascension de l’Empire Britannique et a influencé, depuis deux siècles, pratiquement toutes les décisions importantes dans le domaine de la politique, de l’armée et de l’économie, surtout dans le domaine financier.
A.R. : Croyez-vous à la “théorie de la conspiration” ?
M.B.W. : Non, car il ne s’agit pas, ici, d’une conspiration dans le sens d’un coup monté, où tout est prévu jusque dans le moindre détail. On assiste plutôt à une action conjuguée d’intérêts communs.
Évolutions imminentes ?
A.R. : S’il est exact que toutes ces évolutions ne sont pas imprévisibles, c’est-à-dire des dynamiques aléatoires, quel serait alors la situation actuelle, selon le plan du Nouvel Ordre Mondial?
M.B.W. : Je pense, personnellement, que l’informatisation du monde au cours des quarante dernières années traduit la tentative de l’élite d’accroître son contrôle, car ce contrôle a quelque peu été affaibli par le progrès technologique, surtout par la communication. Le contrôle et la puissance sont dépendants de la surveillance du flux d’informations, comme cela a été démontré ouvertement par les régimes communistes. Le quadrillage informatique permet un contrôle mondial des informations et des hommes. Dans ce contexte, il faut mentionner des systèmes comme les code-barres, la suppression de l’argent liquide, l’identification par micro-processeur, etc.
Cette évolution dictatoriale débute apparemment d’une manière très inoffensive : internationalisation, restriction des libertés nationales et des droits personnels sous prétexte de globalisation, de “protection de l’environnement” ou de “sécurité nationale”. L’État fixe d’ores et déjà, intégralement, le programme scolaire des écoles, et exerce dorénavant toujours plus d’influence sur les familles. Ce ne sont là que quelques exemples sociopolitiques démontrant comment une idéologie bien précise se crée toujours plus de pouvoir.
A.R. : Quel genre d’idéologie est-ce ?
M.B.W. : C’est celle de puissants groupes d’intérêts — pour les appeler par leur nom — qui veulent visiblement devenir encore plus puissants. Parfois certains de leurs représentants apparaissent également sur le devant de la scène de la politique mondiale.
A.R. : Par exemple ?
M.B.W. : Eh bien , le plus célèbre propagateur du “ Nouvel Ordre Mondial” était incontestablement George Bush, l’ex-patron de la C.I.A. et ex-président U.S. Comme dit, il n’y a pas non plus fait un mystère, mais en a parlé publiquement à diverses reprises, même devant le Parlement et dans des discours au Peuple. Ce n’est pas un hasard si on connaît sa biographie et celle de son père. Ce dernier (Prescott Bush) était un richissime banquier avec une grande influence politique. C’est ainsi qu’il achemina des sommes d’argent considérables vers l’Europe, notamment vers le Troisième Reich, au cours de la Deuxième Guerre Mondiale. Il y eut même une enquête judiciaire à cet égard, où les preuves ne manquent pas. Mais cette enquête a très rapidement été arrêtée, non pas en raison d’un manque de preuves, mais en raison de preuves trop fracassantes. Tout cela a été décrit dans tous les détails par des auteurs à révélations, comme Tarpley et Chaitkin. Leur livre « The Unauthorized Biography » (La Biographie Interdite) se trouve dans ma Home Page. Ou encore : Joël Bainerman : The Crimes of a Président (les crimes d’un Président). Même si on ne lit que ces deux livres (et il y en a beaucoup d’autres encore), alors on se demande dans quel monde on vit, pour que de tels personnages puissent devenir des hommes d’état.
A.R. : Que savez-vous des deux fils de Bush ?
M.B.W. : L’un des fils se nomme exactement comme son père, George Herbert Walker Bush, et il vient juste d’être réélu au poste de Gouverneur du Texas. L’autre fils, Jeb Bush a été élu au poste de Gouverneur de la Floride au cours des mêmes élections. Les deux fils Bush dirigent donc maintenant 2 des 4 états U.S. les plus importants. On sait que le premier veut devenir Président des États-Unis en l’an 2000.
On m’a récemment appris que les deux frères présenteront éventuellement leur candidature simultanément, comme président et vice-président !
A.R. : Quelles seraient les conséquences d’une telle éventualité ?
M.B.W. : Celles que je viens d’évoquer.
A.R. : Et cela n’aurait pas lieu si quelqu’un d’autre prenait le relais de Clinton ?
M.B.W. : Si c’est malheureusement exact, seule une personne coopérant sans condition avec l’élite peut devenir président. Et si quelqu’un ne coopère pas, alors il est éliminé très rapidement comme John F. Kennedy, mais beaucoup d’autres encore qui ne sont pas devenus aussi célèbres, précisément parce qu’ils ont été éliminés auparavant. Mais le fait que les portes sont à présent grandes ouvertes au fils Bush qui montre qu’il sert et servira tout aussi fidèlement les intérêts de l’élite que son père. Ce n’est rien de nouveau pour moi car je sais cela depuis longtemps déjà, parce que je les connais personnellement. C’est pour cette raison aussi qu’ils se sont tellement acharnés sur moi.
Compositeur, musicien et homme politique de l'ombre
A.R. : Avec de telles déclarations, vous provoquez des questions sur le propre cheminement de votre vie. Qui êtes-vous ?
M.B.W. : Je suis originaire d’une famille riche et bien considérée, qui avait des liens avec la famille Kennedy. Le père de J.F.K., Joseph P. Kennedy, était souvent invité chez son grand-père maternel, Bernard Boren, car les deux étaient des catholiques originaires d’Irlande (et multi-millionnaires).
J’ai cependant suivi très tôt mes propres voies. Je n’avais pas encore 20 ans, lorsque je me suis rendu au Vietnam. J’étais déguisé en soldat, mais je n’étais pas un soldat de la guerre, j’étais un soldat de la vérité. J’étais actif, là-bas, comme journaliste et comme photographe, et j’ai risqué ma vie au front pour prouver et rendre public ce qui se passait réellement là-bas.
Lorsque je revins du Vietnam, et suivis des études universitaires, je fus contacté par des membres des Services Secrets qui voulurent s’assurer ma collaboration par des propositions alléchantes. Je jetai assez brutalement ces séducteurs dehors, ce qui ne m’attira évidemment pas de la sympathie des Services Secrets.
À cette époque, je démasquais aussi le Maire de Santa Monica (Californie) qui, secrètement, avait l’intention de prendre un arrêté livrant à la construction l’embarcadère historique de Santa Monica. Je pris l’initiative d’un référendum et mobilisais des célébrités d’Hollywood, comme Jane Fonda et Marlon Brando. L’embarcadère fut sauvé et a même été classé Monument Historique, et le maire, ainsi que toute son équipe, ont été relevés de leurs fonctions.
Dans cette affaire aussi, je n’ai pas spécialement attiré la sympathie des sphères supérieures.
A.R. : Comment êtes-vous parvenus jusqu’aux niveaux supérieurs de la Politique ?
M.B.W.: De par mes antécédents familiaux déjà, je suis entré en contact avec beaucoup d’initiés de la politique U.S. En même temps, j’étais musicien ainsi qu’un compositeur très productif. À partir de la fin des années 60, j’ai côtoyé beaucoup de stars de la musique pop, comme Donovan, Peter, Paul et Mary, David Bowie, Led Zeppelin, Eric Burdon et bien d’autres encore. Beaucoup d’entre eux m’ont acheté des chansons et les ont publiées sous leur propre nom. En 1971, je me suis rendu de Los Angeles à New York pour faire des enregistrements avec l’ex-Beatle John Lennon. Celui-ci n’était pas tout simplement le brave Beatle qui chantait “I wanna hold your hand” (“je voudrais tenir ta petite main”). C’était un chanteur féroce, sarcastique, comme un large public le sait à présent, car il y a peu, 4 CD contenant des enregistrements archivés de Lennon ont été publiés. On y entend Lennon critiquer nommément la CIA, taxer Rockefeller d’assassin ou traiter un juge alors célèbre de “bâtard”. Lorsqu’on entend de tels enregistrements, il ne faut pas se demander pourquoi John Lennon ne vit plus aujourd’hui.
En raison de tous ces contacts, j’ai été engagé pour écrire les discours et collecter des fonds pour le candidat à la Présidence George Mc Govern et j’ai travaillé directement avec l’organisateur de sa campagne Gary Hart. À l’époque, je n’avais que 22 ans. Je figurais sur la liste noire des Services Secrets en raison de mes activités politiques et révolutionnaires.
John Lennon
A.R. : Selon les déclarations officielles, le meurtre de John Lennon fut l’œuvre d’un déséquilibré isolé...
M.B.W. : C’est ce qu’on a également déclaré lors de l’assassinat de John F. Kennedy ! Je sais que les avocats de Lennon lui avaient conseillé de se tenir à l’écart de la scène musicale et politique, sinon sa vie serait en danger. Durant quelques années, John suivit ces conseils. Mais lorsqu’il publia “Double Fantasy” en 1980 et qu’il déclara clairement qu’il voulait à nouveau exercer une influence politique, on décida qu’il devait immédiatement être éliminé. Le 8 décembre 1980, il fut assassiné par un homme programmé par “Mind Control” (contrôle de l’esprit, ndt).
L’assassin était une marionnette tellement dépourvue de volonté qu’il ne songea même pas à s’enfuir, bien qu’il aurait eu l’occasion de le faire ; au lieu de cela, il attendit passivement que la police vienne l’arrêter.
A.R. : Pouvez-vous prouver que vous avez fait des enregistrements avec John Lennon ?
M.B.W. : Évidemment ! C’est maintenant seulement — 10 ans après que le FBI eut confisqué tous mes biens — qu’on m’a enfin retourné quelques-uns des enregistrements originaux. L’avocat en Californie, chez qui ces enregistrements sont en dépôt, avait reçu du FBI la consigne de ne rien restituer.
Le FBI a avoué par écrit à l’un de mes avocats, Marc A. Pembroke, qu’il avait confisqué mes biens, notamment des bandes magnétiques avec des enregistrements non publiés de Lennon. Je suis en mesure de communiquer ces documents, à tout moment, à toute personne intéressée.
Maintenant, enfin, après des années de lutte, je suis à nouveau en possession d’un certain nombre de ces bandes, à savoir des enregistrements originaux où John Lennon chante certaines de mes compositions. Mais comme la voix de Lennon est protégée par d’incontournables Copyrights, je ne peux pas publier ces enregistrements ? Ceux qui veulent en savoir et en entendre plus là-dessus, doivent visiter ma Home Page de musique.
L'ascension d'un initié
A.R. : George Mc Govern, qui s’était mesuré à Richard Nixon en 1972, a perdu cette bataille électorale. Plus tard, il s’est avéré que le Comité pour la réélection de Nixon avait à cette époque fait une incursion dans le quartier général de Mc Govern, dans l’immeuble du Watergate, pour y installer des appareils d’écoute. Ce fut l’origine du scandale de Watergate, de triste mémoire.
M.B.W. : Oui, on pourrait également dire beaucoup de choses sur cette affaire. On peut prendre connaissance des dessous de ce scandale dans des livres appropriés, mais malheureusement pas dans les livres d’histoire officiels.
Le manager de Mc Govern, Gary Hart, devint plus tard sénateur du Colorado, et était lui-même candidat à la Présidence en 1988. À cette occasion, il m’avait nommé pour écrire ses discours, pour collecter des fonds et pour m’occuper de sa promotion.
Cependant, selon les désirs des puissants hommes de l’Ombre, c’est George Bush, l’ex-directeur de la CIA, et vice-président en fonction, qui devait devenir le successeur de Ronald Reagan. Afin que cela puisse avoir lieu, le populaire Gary hart devait être éliminé de la joute électorale. Sous l’effet d’un piège, Gary Hart fut entraîné dans un scandale, et forcé à renoncer à sa candidature.
Je fus indigné par ces intrigues sordides et ramenai le Sénateur Hart dans la campagne électorale. Je commençai même à monter moi-même sur scène et à tenir des discours de campagne électorale. J’étais souvent invité à la télévision et dans les stations de radio où je livrai, sans détours, mes sentiments sur Bush et Cie à l’opinion publique. L’apogée en fut une confrontation publique avec le fils de Bush, George Bush Junior, le Gouverneur actuel du Texas. La joute oratoire fut humiliante pour le Junior.
Le "grand frère" cogne dur" !
M.B.W. : Peu de temps après, le 18 mars 1988, je fus assailli et kidnappé par un groupe spécial des Services Secrets, dans ma maison des Montagnes Rocheuses. Devant les yeux de ma fille de deux ans, Erin, et de ma femme qui était enceinte de 6 mois ; on me mit des menottes aux mains et aux pieds, on me jeta à terre et on me passa à tabac, pour me laisser à demi mort. En même temps, tous mes documents politiques et musicaux furent confisqués.
Pendant deux ans, on me traîna dans différentes prisons américaines et j’atterris dans des geôles aussi sinistres que le Métropolitain Correctionnal Center de Chicago (appelé encore “The Warhouse of Death”, en argot “L’entrepôt de la Mort”) et finalement au Marion Federal Penitentiary.
Ce que je vécus là-bas fut l’enfer. Parfois, j’étais assis à 7 étages sous le sol nu, dans des cellules spéciales pour prisonniers politiques. On me tortura et on m’humilia corporellement et psychiquement. J’ignore comment et pourquoi j’ai survécu ; c’était peut-être dû à ma volonté d’acier, au fait que j’étais connu ou tout simplement par la grâce de Dieu.
Lorsqu’on me libéra enfin, après deux ans de détention, on fit rapidement divorcer ma femme, avec le concours du FBI., jusqu’à ce jour, il n’y a pas eu de procédure judiciaire correcte dans cette affaire.
Mes deux ans passés dans le “ventre de la bête” (in the belly of the beast) ont ébranlé profondément toutes mes convictions et opinions antérieures. Le régime de George Bush et de ses alliés m’a pratiquement rendu la vie impossible aux États-Unis. Gary Hart était depuis longtemps déjà hors course et ne pouvait rien faire pour moi. Je me vis contraint de me rendre en exil, et c’est ainsi que je me “réincarnais” en Europe, en tant qu’individu isolé, qui avait tout perdu : famille, patrie, honneur, biens et aussi la santé.
On peut lire toute une histoire avec tous les détails légaux dans ma Home Page.
A.R. : Êtes-vous le seul à avoir connu ces épreuves ?
M.B.W.: Non, évidemment pas. Je ne suis même pas le seul qui se soit échappé vivant des griffes du Big Brother. Il y a actuellement aux États-Unis un ex-membre du Congrès de l’Idaho, du nom de George Hansen qui parle ouvertement de l’abus de pouvoir du Gouvernement U.S. Il voulut faire adopter certaines réformes fiscales qui ne plaisaient pas à l’élite. Il rédigea un livre sur ces faits, avec pour titre « To harass our People » (littéralement : « pour démoraliser notre peuple » )
Il lutta aussi contre la politique du Panama et se permit d’autres initiatives qui ne plaisaient pas à l’élite. Il fut également mis hors course par de fausses accusations et subit dans les geôles U.S. des tortures analogues aux miennes.
Mais dans son cas au moins, il y eut une procédure judiciaire officielle à l’issue de laquelle il fut déclaré innocent de toutes les accusations. On le nomme “Le plus célèbre prisonnier politique d’Amérique” et il tient des centaines de conférences et interviews.
Tout cela est également confirmé par des enquêtes officielles qui ont amené en 1992 la publication du livre « Cages of Steel – The Politics of Imprisonment in the United States » (Cages d’acier – la Politique de détention aux États-Unis), sous la signature de Ward Churchill et de Vander Wall. La conclusion de cet ouvrage affirme clairement qu’aux États-Unis, malgré les déclarations officielles, des citoyens américains subissent un emprisonnement pour des raisons politiques.
Ovni et loges secrètes
A.R. : Si dans le domaine de la politique et de la musique on fait preuve de tant d’oppression, pensez-vous qu’il soit possible que pour un thème marginal comme les OVNI, divers services secrets soient compétents et étouffent les vérités ?
M.B.W. : Évidemment ! Les OVNI et les Aliens existent, et on en est très conscient dans les sphères supérieures. C’est pourquoi, ce thème est aussi étouffé, travesti ou ridiculisé par la désinformation.
A.R. : D’où tirez-vous votre certitude ?
M.B.W. : Il faut avoir présent à l’esprit que ceux qui ont des positions clé en politique, dans l’Armée et dans les Universités constituent en eux-mêmes une sorte de société secrète, inaccessible à l’homme de la rue. Au sein de ces cercles élitistes, où j’évoluais aussi, ces choses là étaient connues de tout temps.
Il n’y a pas beaucoup de cachotteries dans ce domaine. Parmi les nombreux thèmes explosifs et actuels sur lesquels on s’entretenait, on évoquait aussi les OVNI écrasés, les aliens récupérés, les diverses observations, etc. Le black-out ne concerne pas tellement ces cercles, mais l’opinion publique générale. Je me rappelle que j’ai déjà entendu parler de ces choses à la fin des années 50, alors que je n’étais encore qu’un petit garçon. Mon oncle était un officier de haut-rang dans la U.S. Air Force. Notre famille fréquentait les Kennedy ; l’un de mes cousins était Gouverneur et occupe actuellement un poste de Sénateur. Le père de ma première femme était Charles Cavanaugh Murphy, l’un des hommes les plus riches d’Amérique, un auteur et journaliste influent, ainsi qu’un des organisateurs de la campagne électorale de Jimmy Carter. Moi-même, je travaillais déjà comme jeune homme, directement pour le candidat aux Présidentielles ; j’ai été au Vietnam, et j’ai connu beaucoup d’“Insiders” et de musiciens. C’est là qu’on apprend certaines choses que le citoyen moyen n’apprendra jamais par les mass-médias.
Pour moi, tous ces thèmes comme les OVNI ne représentent rien de particulier ; c’est pourquoi je ne m’intéresse pas spécialement à l’Ufologie. En ce qui me concerne, je n’ai plus besoin de faire des tas de recherches pour savoir si les OVNI existent ou non.
A.R. : Vous écrivez dans le préambule : « Je ne suis pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne se limitent pas à notre planète. Les composants astraux et extraterrestres ne doivent plus être pris à la légère de nos jours ».
On est encore loin de tout connaître sur les intrigues politiques secrètes, jusqu’à ce qu’on tienne également compte et accepte les composants astraux et extraterrestres. Qu’est-ce qui vous a amené à cette conviction ?
M.B.W. : À vrai dire, ce furent nos entretiens et les explications concrètes qui ont à présent aussi été publiées dans le livre « Mondes Invisibles » . En tant qu’enfant, déjà, je savais que les OVNI existent, j’ai vécu différentes expériences extrasensorielles et je me suis intéressé aux voyages astraux, à l’Ésotérisme, à Edgar Cayce, etc. Plus tard, j’ai également appris que dans certaines loges de haut grade, on pratiquait des rituels sadiques.
Après tous nos entretiens, je sais à présent qu’il s’agit là de rituels de magie noire, à l’aide desquels les puissants de cette Terre contactent des entités invisibles, non terrestres.
Le karma et l'avenir
A.R. : Comment êtes-vous arrivé à gérer toute cette connaissance et ces coups du sort ?
M.B.W. : Un autre que moi aurait depuis longtemps perdu la boule ou se serait jeté du haut d’un pont. Mais ce n’est pas là mon style. Je me bats pour la vérité.
A.R. : Croyez-vous à la loi du karma ?
M.B.W. : Oui, je sais que le karma et la réincarnation existent. Ce sont surtout les ouvrages d’Edgar Cayce qui m’ont appris beaucoup de choses là-dessus. Mais il est très difficile de voir clair dans son propre karma.
A.R. : Quel est le lien entre l’histoire de votre vie et le karma ?
M.B.W. : C’est la question que je me pose sans cesse.
A.R. : Malgré toutes ces informations, le peuple ne réagit pas ; oui, il vote même pour ces personnes, pour leur permettre d’accéder aux plus hautes fonctions. Cela ne vous décourage-t-il pas?
M.B.W. : Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je ne lutte pas pour la victoire mais pour la vérité. J’espère que la vérité finira par triompher, bien que ma propre vie pourrait fort bien prouver le contraire.
A.R.: Compte tenu de vos propos, l’avenir ne semble pas être très rose. Comment les individus qui connaissent ces interactions devraient-ils réagir ? Ils constituent finalement une minorité.
M.B.W.: En ce qui me concerne, je m’efforce d’aider les gens, en les informant, afin qu’ils puissent au moins se protéger contre les plus grands périls. Si je sais où les bombes vont tomber, je peux me tenir à distance du “Ground Zero”. En ce qui concerne l’humanité dans sa globalité, je ne crois pas qu’elle arrivera à échapper complètement aux puissances du Nouvel Ordre Mondial. Certains dynamiques sont en cours, mais à l’échelle individuelle ; c’est ainsi que je crois qu’on peut éviter et améliorer beaucoup de choses.
Extrait du préambule de Michael Boren Williams dans le livre d’Armin Risi, « Les Mondes Indivisibles – Entités astrales et extraterrestres dans les coulisses de l’Histoire du Monde ».
Ma vie peut servir de preuve, au fait, qu’il y a vraiment des puissances ténébreuses à l’œuvre dans ce monde, qui sont cyniques et sans scrupules. Derrière la façade de notre société, il se passe des choses incroyables. Ces expériences ont profondément changé ma vie. La confrontation avec les puissances démoniaques m’a incité à rechercher également les hommes positifs et divins. C’est ainsi que j’ai appris à connaître différentes personnes, qui m’ont ouvert de nouvelles perspectives et qui, durant ce “changement d’ère”, ont déjà tiré des conséquences pour elles-mêmes. Une personne à laquelle je pense tout particulièrement est Armin Risi, l’auteur de ce livre.
J’ai été très surpris d’apprendre que lui, et beaucoup d’autres personnes en Europe, ont déjà pris conscience de ces désagréables vérités secrètes. Armin, cependant, ne reste pas collé à ces choses, comme il le prouve dans ce livre. Dans ce contexte, il m’a raconté une histoire édifiante issue des écrits sacrés de l’Inde, une histoire qui m’a fortement impressionné :
« Le roi des éléphants alla se baigner un jour dans un lac. Alors qu’il se trouvait dans l’eau, un crocodile le mordit soudain à une de ses pattes et ne le lâcha plus. Une lutte s’engagea, mais à la longue, l’éléphant perdit ses forces, et dans un désespoir, il adressa une prière à Dieu, pour implorer son secours. C’est ainsi qu’il fut sauvé par une intervention divine ».
Pour interpréter correctement cette histoire, il faut savoir que les éléphants sont normalement beaucoup plus forts que les crocodiles. Mais le roi des éléphants s’est battu dans l’eau contre le crocodile, et là, le crocodile était plus fort parce qu’il se trouvait dans son propre élément. C’est pour cette raison que l’éléphant n’eut pas le dessus sur le crocodile, bien qu’il était plus fort que lui, de nature.
La morale de cette histoire est édifiante : si nous devons nous confronter aux puissances du Mal, nous sommes par nature dans une position plus forte, du fait que nous nous trouvons du côté de la vérité. Mais si nous tombons dans les eaux boueuses des puissances obscures, nous quittons notre propre élément et accédons à l’élément où les autres sont plus forts. C’est pour cette raison que j’ai cessé de combattre ces puissances démoniaques au sein de leur élément politique et judiciaire. Avec ma nouvelle famille, mes nouveaux amis et ma musique, j’essaie à présent de retourner dans l’élément naturel de l’âme, dans la dimension spirituelle de joie, de lumière, d’amour et de vérité.
C’est également la conclusion d’Armin Risi dans ce livre sur les puissances secrètes dans les coulisses de l’histoire mondiale. Mon histoire peut aider à souligner que ce qu’il décrit est authentique. Il y a des puissances négatives, et elles sont très actives et agressives de nos jours, mais il y a aussi des puissances bonnes et des puissances divines, et elles sont toutes décrites dans ce livre, d’une manière très convaincante.
Je dois reconnaître que je connais beaucoup d’aspects cachés de la politique et de l’économie, mais je n’avais pas conscience des facteurs invisibles à l’œuvre derrière ces processus terrestres. Je ne suis cependant pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne sont pas limitées à notre planète. Il ne faut pas sous-estimer aujourd’hui les composants astraux et extraterrestres.
Je sais, par exemple, que beaucoup de “grosses pointures” secrètes, mais aussi très en vue, sont plongées dans de sombres intrigues. Dans leurs cercles secrets, certains pratiquent même des rites sanglants où des hommes, et surtout des enfants sont sacrifiés. Dans de tels cercles, il y a même des “Suff Vidéos” qui circulent, dépeignant des scènes d’horreur. J’ai d’abord mis ces agissements sur le compte du sadisme et des perversions sexuelles de ces êtres, que je ne peux qualifier d’humains, mais uniquement de monstres. Les considérations exprimées dans ce livre soulignent cependant qu’il s’agit de bien plus encore. Nous avons à faire ici à des rituels, à des conjurations de magie noire, qui établissent un contact direct avec les mondes les plus obscurs. Cela rend toutes ces pratiques encore plus horribles. Dieu soit loué pourtant, il y a aussi d’innombrables mondes et êtres divins, et nous devons rechercher leur influence. Nous avons tous beaucoup à apprendre et nous devons élargir nos horizons. (...)
Michael Boren Williams Home Page
Source : MAGAZIN 2000 n° 136 – 02/99.
Le nouveau livre d’Armin Risi (“Unsichtbare Welten” - “Les Mondes Invisibles”) renferme un palpitant préambule d’un initié de pointe de la politique U.S, Michael Boren Williams. Dans ce préambule, il fait part de ses tragiques démêlés avec les puissances secrètes U.S.
Pour l’article qui va suivre, l’auteur Armin Risi, a contacté à nouveau Mr. Williams, et lui a demandé quelles perspectives il prévoyait au cours des prochaines années dans le domaine de la politique mondiale.
Qu’est-ce qui se cache là derrière et quelles en sont les prochaines étapes ?
Armin Risi : La situation politique mondiale va t-elle se calmer au cours des prochaines années ou va t-elle s’aggraver ?
Michael Boren Williams : Il ne faudrait pas nourrir l’illusion que nous aurons la paix et la liberté dans les prochains temps. Au contraire, il y a de grosses “pointures” qui rêvent d’un nouvel ordre mondial et qui travaillent depuis longtemps déjà à réaliser ce rêve. Ce plan est déjà très avancé et ces messieurs ne reculeront devant rien. Et j’affirme cela avec force, parce que j’ai pu le ressentir dans ma propre chair.
Les coulisses de l'histoire mondiale
A.R. : Avant d’en venir à votre propre histoire personnelle, je voudrais vous demander ce qu’est, en fait, ce “Nouvel Ordre Mondial” auquel on fait si souvent allusion.
M.B.W. : Ce concept est hautement officiel. Il s’est fait connaître au début des années 90 dans le domaine de la politique mondiale, lorsque le président U.S, George Bush en a, bizarrement, souvent parlé « new world order ». Ce concept est tellement officiel qu’il est même imprimé sur les billets de banque d’un dollar : Novus Ordo Seclorum. Cette expression latine signifie littéralement “Nouvel Ordre Mondial”. Comme cette expression figure directement sur un billet de banque de la Banque Fédérale de Réserve U.S, on peut en déduire que ce concept a déjà une histoire et ne constitue rien de nouveau.
Et de fait, il y a toute une idéologie derrière ce concept : le plan pour un Gouvernement Mondial Unique. De cette manière, il s’agit d’imposer un ordre mondial répondant aux idées de l’élite richissime et détentrice du pouvoir. Ce plan s’applique d’une manière globalement politique depuis l’ascension de l’Empire Britannique et a influencé, depuis deux siècles, pratiquement toutes les décisions importantes dans le domaine de la politique, de l’armée et de l’économie, surtout dans le domaine financier.
A.R. : Croyez-vous à la “théorie de la conspiration” ?
M.B.W. : Non, car il ne s’agit pas, ici, d’une conspiration dans le sens d’un coup monté, où tout est prévu jusque dans le moindre détail. On assiste plutôt à une action conjuguée d’intérêts communs.
Évolutions imminentes ?
A.R. : S’il est exact que toutes ces évolutions ne sont pas imprévisibles, c’est-à-dire des dynamiques aléatoires, quel serait alors la situation actuelle, selon le plan du Nouvel Ordre Mondial?
M.B.W. : Je pense, personnellement, que l’informatisation du monde au cours des quarante dernières années traduit la tentative de l’élite d’accroître son contrôle, car ce contrôle a quelque peu été affaibli par le progrès technologique, surtout par la communication. Le contrôle et la puissance sont dépendants de la surveillance du flux d’informations, comme cela a été démontré ouvertement par les régimes communistes. Le quadrillage informatique permet un contrôle mondial des informations et des hommes. Dans ce contexte, il faut mentionner des systèmes comme les code-barres, la suppression de l’argent liquide, l’identification par micro-processeur, etc.
Cette évolution dictatoriale débute apparemment d’une manière très inoffensive : internationalisation, restriction des libertés nationales et des droits personnels sous prétexte de globalisation, de “protection de l’environnement” ou de “sécurité nationale”. L’État fixe d’ores et déjà, intégralement, le programme scolaire des écoles, et exerce dorénavant toujours plus d’influence sur les familles. Ce ne sont là que quelques exemples sociopolitiques démontrant comment une idéologie bien précise se crée toujours plus de pouvoir.
A.R. : Quel genre d’idéologie est-ce ?
M.B.W. : C’est celle de puissants groupes d’intérêts — pour les appeler par leur nom — qui veulent visiblement devenir encore plus puissants. Parfois certains de leurs représentants apparaissent également sur le devant de la scène de la politique mondiale.
A.R. : Par exemple ?
M.B.W. : Eh bien , le plus célèbre propagateur du “ Nouvel Ordre Mondial” était incontestablement George Bush, l’ex-patron de la C.I.A. et ex-président U.S. Comme dit, il n’y a pas non plus fait un mystère, mais en a parlé publiquement à diverses reprises, même devant le Parlement et dans des discours au Peuple. Ce n’est pas un hasard si on connaît sa biographie et celle de son père. Ce dernier (Prescott Bush) était un richissime banquier avec une grande influence politique. C’est ainsi qu’il achemina des sommes d’argent considérables vers l’Europe, notamment vers le Troisième Reich, au cours de la Deuxième Guerre Mondiale. Il y eut même une enquête judiciaire à cet égard, où les preuves ne manquent pas. Mais cette enquête a très rapidement été arrêtée, non pas en raison d’un manque de preuves, mais en raison de preuves trop fracassantes. Tout cela a été décrit dans tous les détails par des auteurs à révélations, comme Tarpley et Chaitkin. Leur livre « The Unauthorized Biography » (La Biographie Interdite) se trouve dans ma Home Page. Ou encore : Joël Bainerman : The Crimes of a Président (les crimes d’un Président). Même si on ne lit que ces deux livres (et il y en a beaucoup d’autres encore), alors on se demande dans quel monde on vit, pour que de tels personnages puissent devenir des hommes d’état.
A.R. : Que savez-vous des deux fils de Bush ?
M.B.W. : L’un des fils se nomme exactement comme son père, George Herbert Walker Bush, et il vient juste d’être réélu au poste de Gouverneur du Texas. L’autre fils, Jeb Bush a été élu au poste de Gouverneur de la Floride au cours des mêmes élections. Les deux fils Bush dirigent donc maintenant 2 des 4 états U.S. les plus importants. On sait que le premier veut devenir Président des États-Unis en l’an 2000.
On m’a récemment appris que les deux frères présenteront éventuellement leur candidature simultanément, comme président et vice-président !
A.R. : Quelles seraient les conséquences d’une telle éventualité ?
M.B.W. : Celles que je viens d’évoquer.
A.R. : Et cela n’aurait pas lieu si quelqu’un d’autre prenait le relais de Clinton ?
M.B.W. : Si c’est malheureusement exact, seule une personne coopérant sans condition avec l’élite peut devenir président. Et si quelqu’un ne coopère pas, alors il est éliminé très rapidement comme John F. Kennedy, mais beaucoup d’autres encore qui ne sont pas devenus aussi célèbres, précisément parce qu’ils ont été éliminés auparavant. Mais le fait que les portes sont à présent grandes ouvertes au fils Bush qui montre qu’il sert et servira tout aussi fidèlement les intérêts de l’élite que son père. Ce n’est rien de nouveau pour moi car je sais cela depuis longtemps déjà, parce que je les connais personnellement. C’est pour cette raison aussi qu’ils se sont tellement acharnés sur moi.
Compositeur, musicien et homme politique de l'ombre
A.R. : Avec de telles déclarations, vous provoquez des questions sur le propre cheminement de votre vie. Qui êtes-vous ?
M.B.W. : Je suis originaire d’une famille riche et bien considérée, qui avait des liens avec la famille Kennedy. Le père de J.F.K., Joseph P. Kennedy, était souvent invité chez son grand-père maternel, Bernard Boren, car les deux étaient des catholiques originaires d’Irlande (et multi-millionnaires).
J’ai cependant suivi très tôt mes propres voies. Je n’avais pas encore 20 ans, lorsque je me suis rendu au Vietnam. J’étais déguisé en soldat, mais je n’étais pas un soldat de la guerre, j’étais un soldat de la vérité. J’étais actif, là-bas, comme journaliste et comme photographe, et j’ai risqué ma vie au front pour prouver et rendre public ce qui se passait réellement là-bas.
Lorsque je revins du Vietnam, et suivis des études universitaires, je fus contacté par des membres des Services Secrets qui voulurent s’assurer ma collaboration par des propositions alléchantes. Je jetai assez brutalement ces séducteurs dehors, ce qui ne m’attira évidemment pas de la sympathie des Services Secrets.
À cette époque, je démasquais aussi le Maire de Santa Monica (Californie) qui, secrètement, avait l’intention de prendre un arrêté livrant à la construction l’embarcadère historique de Santa Monica. Je pris l’initiative d’un référendum et mobilisais des célébrités d’Hollywood, comme Jane Fonda et Marlon Brando. L’embarcadère fut sauvé et a même été classé Monument Historique, et le maire, ainsi que toute son équipe, ont été relevés de leurs fonctions.
Dans cette affaire aussi, je n’ai pas spécialement attiré la sympathie des sphères supérieures.
A.R. : Comment êtes-vous parvenus jusqu’aux niveaux supérieurs de la Politique ?
M.B.W.: De par mes antécédents familiaux déjà, je suis entré en contact avec beaucoup d’initiés de la politique U.S. En même temps, j’étais musicien ainsi qu’un compositeur très productif. À partir de la fin des années 60, j’ai côtoyé beaucoup de stars de la musique pop, comme Donovan, Peter, Paul et Mary, David Bowie, Led Zeppelin, Eric Burdon et bien d’autres encore. Beaucoup d’entre eux m’ont acheté des chansons et les ont publiées sous leur propre nom. En 1971, je me suis rendu de Los Angeles à New York pour faire des enregistrements avec l’ex-Beatle John Lennon. Celui-ci n’était pas tout simplement le brave Beatle qui chantait “I wanna hold your hand” (“je voudrais tenir ta petite main”). C’était un chanteur féroce, sarcastique, comme un large public le sait à présent, car il y a peu, 4 CD contenant des enregistrements archivés de Lennon ont été publiés. On y entend Lennon critiquer nommément la CIA, taxer Rockefeller d’assassin ou traiter un juge alors célèbre de “bâtard”. Lorsqu’on entend de tels enregistrements, il ne faut pas se demander pourquoi John Lennon ne vit plus aujourd’hui.
En raison de tous ces contacts, j’ai été engagé pour écrire les discours et collecter des fonds pour le candidat à la Présidence George Mc Govern et j’ai travaillé directement avec l’organisateur de sa campagne Gary Hart. À l’époque, je n’avais que 22 ans. Je figurais sur la liste noire des Services Secrets en raison de mes activités politiques et révolutionnaires.
John Lennon
A.R. : Selon les déclarations officielles, le meurtre de John Lennon fut l’œuvre d’un déséquilibré isolé...
M.B.W. : C’est ce qu’on a également déclaré lors de l’assassinat de John F. Kennedy ! Je sais que les avocats de Lennon lui avaient conseillé de se tenir à l’écart de la scène musicale et politique, sinon sa vie serait en danger. Durant quelques années, John suivit ces conseils. Mais lorsqu’il publia “Double Fantasy” en 1980 et qu’il déclara clairement qu’il voulait à nouveau exercer une influence politique, on décida qu’il devait immédiatement être éliminé. Le 8 décembre 1980, il fut assassiné par un homme programmé par “Mind Control” (contrôle de l’esprit, ndt).
L’assassin était une marionnette tellement dépourvue de volonté qu’il ne songea même pas à s’enfuir, bien qu’il aurait eu l’occasion de le faire ; au lieu de cela, il attendit passivement que la police vienne l’arrêter.
A.R. : Pouvez-vous prouver que vous avez fait des enregistrements avec John Lennon ?
M.B.W. : Évidemment ! C’est maintenant seulement — 10 ans après que le FBI eut confisqué tous mes biens — qu’on m’a enfin retourné quelques-uns des enregistrements originaux. L’avocat en Californie, chez qui ces enregistrements sont en dépôt, avait reçu du FBI la consigne de ne rien restituer.
Le FBI a avoué par écrit à l’un de mes avocats, Marc A. Pembroke, qu’il avait confisqué mes biens, notamment des bandes magnétiques avec des enregistrements non publiés de Lennon. Je suis en mesure de communiquer ces documents, à tout moment, à toute personne intéressée.
Maintenant, enfin, après des années de lutte, je suis à nouveau en possession d’un certain nombre de ces bandes, à savoir des enregistrements originaux où John Lennon chante certaines de mes compositions. Mais comme la voix de Lennon est protégée par d’incontournables Copyrights, je ne peux pas publier ces enregistrements ? Ceux qui veulent en savoir et en entendre plus là-dessus, doivent visiter ma Home Page de musique.
L'ascension d'un initié
A.R. : George Mc Govern, qui s’était mesuré à Richard Nixon en 1972, a perdu cette bataille électorale. Plus tard, il s’est avéré que le Comité pour la réélection de Nixon avait à cette époque fait une incursion dans le quartier général de Mc Govern, dans l’immeuble du Watergate, pour y installer des appareils d’écoute. Ce fut l’origine du scandale de Watergate, de triste mémoire.
M.B.W. : Oui, on pourrait également dire beaucoup de choses sur cette affaire. On peut prendre connaissance des dessous de ce scandale dans des livres appropriés, mais malheureusement pas dans les livres d’histoire officiels.
Le manager de Mc Govern, Gary Hart, devint plus tard sénateur du Colorado, et était lui-même candidat à la Présidence en 1988. À cette occasion, il m’avait nommé pour écrire ses discours, pour collecter des fonds et pour m’occuper de sa promotion.
Cependant, selon les désirs des puissants hommes de l’Ombre, c’est George Bush, l’ex-directeur de la CIA, et vice-président en fonction, qui devait devenir le successeur de Ronald Reagan. Afin que cela puisse avoir lieu, le populaire Gary hart devait être éliminé de la joute électorale. Sous l’effet d’un piège, Gary Hart fut entraîné dans un scandale, et forcé à renoncer à sa candidature.
Je fus indigné par ces intrigues sordides et ramenai le Sénateur Hart dans la campagne électorale. Je commençai même à monter moi-même sur scène et à tenir des discours de campagne électorale. J’étais souvent invité à la télévision et dans les stations de radio où je livrai, sans détours, mes sentiments sur Bush et Cie à l’opinion publique. L’apogée en fut une confrontation publique avec le fils de Bush, George Bush Junior, le Gouverneur actuel du Texas. La joute oratoire fut humiliante pour le Junior.
Le "grand frère" cogne dur" !
M.B.W. : Peu de temps après, le 18 mars 1988, je fus assailli et kidnappé par un groupe spécial des Services Secrets, dans ma maison des Montagnes Rocheuses. Devant les yeux de ma fille de deux ans, Erin, et de ma femme qui était enceinte de 6 mois ; on me mit des menottes aux mains et aux pieds, on me jeta à terre et on me passa à tabac, pour me laisser à demi mort. En même temps, tous mes documents politiques et musicaux furent confisqués.
Pendant deux ans, on me traîna dans différentes prisons américaines et j’atterris dans des geôles aussi sinistres que le Métropolitain Correctionnal Center de Chicago (appelé encore “The Warhouse of Death”, en argot “L’entrepôt de la Mort”) et finalement au Marion Federal Penitentiary.
Ce que je vécus là-bas fut l’enfer. Parfois, j’étais assis à 7 étages sous le sol nu, dans des cellules spéciales pour prisonniers politiques. On me tortura et on m’humilia corporellement et psychiquement. J’ignore comment et pourquoi j’ai survécu ; c’était peut-être dû à ma volonté d’acier, au fait que j’étais connu ou tout simplement par la grâce de Dieu.
Lorsqu’on me libéra enfin, après deux ans de détention, on fit rapidement divorcer ma femme, avec le concours du FBI., jusqu’à ce jour, il n’y a pas eu de procédure judiciaire correcte dans cette affaire.
Mes deux ans passés dans le “ventre de la bête” (in the belly of the beast) ont ébranlé profondément toutes mes convictions et opinions antérieures. Le régime de George Bush et de ses alliés m’a pratiquement rendu la vie impossible aux États-Unis. Gary Hart était depuis longtemps déjà hors course et ne pouvait rien faire pour moi. Je me vis contraint de me rendre en exil, et c’est ainsi que je me “réincarnais” en Europe, en tant qu’individu isolé, qui avait tout perdu : famille, patrie, honneur, biens et aussi la santé.
On peut lire toute une histoire avec tous les détails légaux dans ma Home Page.
A.R. : Êtes-vous le seul à avoir connu ces épreuves ?
M.B.W.: Non, évidemment pas. Je ne suis même pas le seul qui se soit échappé vivant des griffes du Big Brother. Il y a actuellement aux États-Unis un ex-membre du Congrès de l’Idaho, du nom de George Hansen qui parle ouvertement de l’abus de pouvoir du Gouvernement U.S. Il voulut faire adopter certaines réformes fiscales qui ne plaisaient pas à l’élite. Il rédigea un livre sur ces faits, avec pour titre « To harass our People » (littéralement : « pour démoraliser notre peuple » )
Il lutta aussi contre la politique du Panama et se permit d’autres initiatives qui ne plaisaient pas à l’élite. Il fut également mis hors course par de fausses accusations et subit dans les geôles U.S. des tortures analogues aux miennes.
Mais dans son cas au moins, il y eut une procédure judiciaire officielle à l’issue de laquelle il fut déclaré innocent de toutes les accusations. On le nomme “Le plus célèbre prisonnier politique d’Amérique” et il tient des centaines de conférences et interviews.
Tout cela est également confirmé par des enquêtes officielles qui ont amené en 1992 la publication du livre « Cages of Steel – The Politics of Imprisonment in the United States » (Cages d’acier – la Politique de détention aux États-Unis), sous la signature de Ward Churchill et de Vander Wall. La conclusion de cet ouvrage affirme clairement qu’aux États-Unis, malgré les déclarations officielles, des citoyens américains subissent un emprisonnement pour des raisons politiques.
Ovni et loges secrètes
A.R. : Si dans le domaine de la politique et de la musique on fait preuve de tant d’oppression, pensez-vous qu’il soit possible que pour un thème marginal comme les OVNI, divers services secrets soient compétents et étouffent les vérités ?
M.B.W. : Évidemment ! Les OVNI et les Aliens existent, et on en est très conscient dans les sphères supérieures. C’est pourquoi, ce thème est aussi étouffé, travesti ou ridiculisé par la désinformation.
A.R. : D’où tirez-vous votre certitude ?
M.B.W. : Il faut avoir présent à l’esprit que ceux qui ont des positions clé en politique, dans l’Armée et dans les Universités constituent en eux-mêmes une sorte de société secrète, inaccessible à l’homme de la rue. Au sein de ces cercles élitistes, où j’évoluais aussi, ces choses là étaient connues de tout temps.
Il n’y a pas beaucoup de cachotteries dans ce domaine. Parmi les nombreux thèmes explosifs et actuels sur lesquels on s’entretenait, on évoquait aussi les OVNI écrasés, les aliens récupérés, les diverses observations, etc. Le black-out ne concerne pas tellement ces cercles, mais l’opinion publique générale. Je me rappelle que j’ai déjà entendu parler de ces choses à la fin des années 50, alors que je n’étais encore qu’un petit garçon. Mon oncle était un officier de haut-rang dans la U.S. Air Force. Notre famille fréquentait les Kennedy ; l’un de mes cousins était Gouverneur et occupe actuellement un poste de Sénateur. Le père de ma première femme était Charles Cavanaugh Murphy, l’un des hommes les plus riches d’Amérique, un auteur et journaliste influent, ainsi qu’un des organisateurs de la campagne électorale de Jimmy Carter. Moi-même, je travaillais déjà comme jeune homme, directement pour le candidat aux Présidentielles ; j’ai été au Vietnam, et j’ai connu beaucoup d’“Insiders” et de musiciens. C’est là qu’on apprend certaines choses que le citoyen moyen n’apprendra jamais par les mass-médias.
Pour moi, tous ces thèmes comme les OVNI ne représentent rien de particulier ; c’est pourquoi je ne m’intéresse pas spécialement à l’Ufologie. En ce qui me concerne, je n’ai plus besoin de faire des tas de recherches pour savoir si les OVNI existent ou non.
A.R. : Vous écrivez dans le préambule : « Je ne suis pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne se limitent pas à notre planète. Les composants astraux et extraterrestres ne doivent plus être pris à la légère de nos jours ».
On est encore loin de tout connaître sur les intrigues politiques secrètes, jusqu’à ce qu’on tienne également compte et accepte les composants astraux et extraterrestres. Qu’est-ce qui vous a amené à cette conviction ?
M.B.W. : À vrai dire, ce furent nos entretiens et les explications concrètes qui ont à présent aussi été publiées dans le livre « Mondes Invisibles » . En tant qu’enfant, déjà, je savais que les OVNI existent, j’ai vécu différentes expériences extrasensorielles et je me suis intéressé aux voyages astraux, à l’Ésotérisme, à Edgar Cayce, etc. Plus tard, j’ai également appris que dans certaines loges de haut grade, on pratiquait des rituels sadiques.
Après tous nos entretiens, je sais à présent qu’il s’agit là de rituels de magie noire, à l’aide desquels les puissants de cette Terre contactent des entités invisibles, non terrestres.
Le karma et l'avenir
A.R. : Comment êtes-vous arrivé à gérer toute cette connaissance et ces coups du sort ?
M.B.W. : Un autre que moi aurait depuis longtemps perdu la boule ou se serait jeté du haut d’un pont. Mais ce n’est pas là mon style. Je me bats pour la vérité.
A.R. : Croyez-vous à la loi du karma ?
M.B.W. : Oui, je sais que le karma et la réincarnation existent. Ce sont surtout les ouvrages d’Edgar Cayce qui m’ont appris beaucoup de choses là-dessus. Mais il est très difficile de voir clair dans son propre karma.
A.R. : Quel est le lien entre l’histoire de votre vie et le karma ?
M.B.W. : C’est la question que je me pose sans cesse.
A.R. : Malgré toutes ces informations, le peuple ne réagit pas ; oui, il vote même pour ces personnes, pour leur permettre d’accéder aux plus hautes fonctions. Cela ne vous décourage-t-il pas?
M.B.W. : Les choses arrivent comme elles doivent arriver. Je ne lutte pas pour la victoire mais pour la vérité. J’espère que la vérité finira par triompher, bien que ma propre vie pourrait fort bien prouver le contraire.
A.R.: Compte tenu de vos propos, l’avenir ne semble pas être très rose. Comment les individus qui connaissent ces interactions devraient-ils réagir ? Ils constituent finalement une minorité.
M.B.W.: En ce qui me concerne, je m’efforce d’aider les gens, en les informant, afin qu’ils puissent au moins se protéger contre les plus grands périls. Si je sais où les bombes vont tomber, je peux me tenir à distance du “Ground Zero”. En ce qui concerne l’humanité dans sa globalité, je ne crois pas qu’elle arrivera à échapper complètement aux puissances du Nouvel Ordre Mondial. Certains dynamiques sont en cours, mais à l’échelle individuelle ; c’est ainsi que je crois qu’on peut éviter et améliorer beaucoup de choses.
Extrait du préambule de Michael Boren Williams dans le livre d’Armin Risi, « Les Mondes Indivisibles – Entités astrales et extraterrestres dans les coulisses de l’Histoire du Monde ».
Ma vie peut servir de preuve, au fait, qu’il y a vraiment des puissances ténébreuses à l’œuvre dans ce monde, qui sont cyniques et sans scrupules. Derrière la façade de notre société, il se passe des choses incroyables. Ces expériences ont profondément changé ma vie. La confrontation avec les puissances démoniaques m’a incité à rechercher également les hommes positifs et divins. C’est ainsi que j’ai appris à connaître différentes personnes, qui m’ont ouvert de nouvelles perspectives et qui, durant ce “changement d’ère”, ont déjà tiré des conséquences pour elles-mêmes. Une personne à laquelle je pense tout particulièrement est Armin Risi, l’auteur de ce livre.
J’ai été très surpris d’apprendre que lui, et beaucoup d’autres personnes en Europe, ont déjà pris conscience de ces désagréables vérités secrètes. Armin, cependant, ne reste pas collé à ces choses, comme il le prouve dans ce livre. Dans ce contexte, il m’a raconté une histoire édifiante issue des écrits sacrés de l’Inde, une histoire qui m’a fortement impressionné :
« Le roi des éléphants alla se baigner un jour dans un lac. Alors qu’il se trouvait dans l’eau, un crocodile le mordit soudain à une de ses pattes et ne le lâcha plus. Une lutte s’engagea, mais à la longue, l’éléphant perdit ses forces, et dans un désespoir, il adressa une prière à Dieu, pour implorer son secours. C’est ainsi qu’il fut sauvé par une intervention divine ».
Pour interpréter correctement cette histoire, il faut savoir que les éléphants sont normalement beaucoup plus forts que les crocodiles. Mais le roi des éléphants s’est battu dans l’eau contre le crocodile, et là, le crocodile était plus fort parce qu’il se trouvait dans son propre élément. C’est pour cette raison que l’éléphant n’eut pas le dessus sur le crocodile, bien qu’il était plus fort que lui, de nature.
La morale de cette histoire est édifiante : si nous devons nous confronter aux puissances du Mal, nous sommes par nature dans une position plus forte, du fait que nous nous trouvons du côté de la vérité. Mais si nous tombons dans les eaux boueuses des puissances obscures, nous quittons notre propre élément et accédons à l’élément où les autres sont plus forts. C’est pour cette raison que j’ai cessé de combattre ces puissances démoniaques au sein de leur élément politique et judiciaire. Avec ma nouvelle famille, mes nouveaux amis et ma musique, j’essaie à présent de retourner dans l’élément naturel de l’âme, dans la dimension spirituelle de joie, de lumière, d’amour et de vérité.
C’est également la conclusion d’Armin Risi dans ce livre sur les puissances secrètes dans les coulisses de l’histoire mondiale. Mon histoire peut aider à souligner que ce qu’il décrit est authentique. Il y a des puissances négatives, et elles sont très actives et agressives de nos jours, mais il y a aussi des puissances bonnes et des puissances divines, et elles sont toutes décrites dans ce livre, d’une manière très convaincante.
Je dois reconnaître que je connais beaucoup d’aspects cachés de la politique et de l’économie, mais je n’avais pas conscience des facteurs invisibles à l’œuvre derrière ces processus terrestres. Je ne suis cependant pas étonné d’apprendre que les influences diaboliques et divines ne sont pas limitées à notre planète. Il ne faut pas sous-estimer aujourd’hui les composants astraux et extraterrestres.
Je sais, par exemple, que beaucoup de “grosses pointures” secrètes, mais aussi très en vue, sont plongées dans de sombres intrigues. Dans leurs cercles secrets, certains pratiquent même des rites sanglants où des hommes, et surtout des enfants sont sacrifiés. Dans de tels cercles, il y a même des “Suff Vidéos” qui circulent, dépeignant des scènes d’horreur. J’ai d’abord mis ces agissements sur le compte du sadisme et des perversions sexuelles de ces êtres, que je ne peux qualifier d’humains, mais uniquement de monstres. Les considérations exprimées dans ce livre soulignent cependant qu’il s’agit de bien plus encore. Nous avons à faire ici à des rituels, à des conjurations de magie noire, qui établissent un contact direct avec les mondes les plus obscurs. Cela rend toutes ces pratiques encore plus horribles. Dieu soit loué pourtant, il y a aussi d’innombrables mondes et êtres divins, et nous devons rechercher leur influence. Nous avons tous beaucoup à apprendre et nous devons élargir nos horizons. (...)
Michael Boren Williams Home Page
27 juin 2006
L’homme dans le trou
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
- Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
- Un religieux le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
- Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
- Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
- Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
- Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
- Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui en lui bandant le poignet.
- Un psychologue l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
- Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut sortir !
- Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
- Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.
Puis un enfant passa et lui tendit la main...
Anonyme
Et vous, qu'auriez-vous fait ?
- Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
- Un religieux le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
- Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
- Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
- Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
- Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
- Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui en lui bandant le poignet.
- Un psychologue l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
- Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut sortir !
- Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
- Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.
Puis un enfant passa et lui tendit la main...
Anonyme
Et vous, qu'auriez-vous fait ?
Quelques raisons concrètes de devenir végétarien
Malgré toutes les récentes études démontrant les bienfaits que chacun pourrait retirer d’une alimentation saine, équilibrée et respectueuse de la vie, le végétarisme continue aujourd’hui à faire peur à bon nombre de personnes.
Il est en premier lieu présenté par ses détracteurs comme une source de carence alimentaire et donc de maladie. C’est pourquoi il est temps d’en terminer une bonne fois pour toutes avec ce préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande.
Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité comme en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme que le règne animal. Aujourd’hui, les consommateurs de viande absorbent en moyenne le double de la ration protéinique nécessaire à leur équilibre nutritionnel !
La production de viande entraîne le gaspillage des céréales. Un animal qui consomme sept calories végétales (céréales) n'en restitue qu'une seule sous forme de viande. Il est ainsi facile de mesurer le gâchis engendré par cette consommation indirecte de céréales. (Cf. Alliance Végétarienne)
Les pays du tiers-monde fournissent de plus en plus de calories et de protéines pour l'alimentation animale (manioc, soja, arachides...). Plus du tiers des céréales produites dans le monde servent à nourrir le bétail des pays riches, ce qui est vraiment paradoxal lorsque l'on sait que la famine sévit dans ces pays! À titre d'exemple, au plus fort de la sécheresse, le Sahel a exporté plus de protéines qu'il n'en a reçues au titre de l'aide alimentaire ! Changer notre manière de produire et de consommer les protéines est donc un acte solidaire vis-à-vis des peuples les plus démunis !
La "fabrication" d’un steak nécessite en moyenne 60 fois plus d'eau que celle d’une galette de blé, de riz ou de soja, puisqu’il faut 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de bœuf, alors que 1 000 à 2 000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, de riz ou de soja. À cela s'ajoute la pollution des nappes phréatiques et des rivières par les lisiers.
Pour nourrir une personne pendant 1 an uniquement par des protéines animales, 2 hectares de terre seraient nécessaires. Pour la nourrir exclusivement de protéines végétales, une surface de 0,16 hectare suffit !
Par ailleurs, l'anatomie comparée montre que l'homme ressemble aux animaux frugivores, mais en rien aux carnivores. La denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes.
Il est facile d'objecter à tous ces arguments que des milliers de gens mangent de la viande, ne semblant en ressentir aucun dommage! Le corps humain est certes capable de s'adapter, mais à quel prix ? L'addition est plus ou moins lourde selon le potentiel vital et l'état des organes de chacun.
Propos de Gilles Chatras et Carole Morel
extraits du site Alliance Végétarienne
Les arguments d'ordre moral et spirituel
(par Françoise Brousse)
Rien ne vous empêche de continuer à manger des cadavres d’animaux, car vous êtes sur une planète de libre-arbitre, mais personne ne peut échapper aux Lois cosmiques.
Tôt ou tard, elles vous rattraperont avec une précision absolue…..
Si vous êtes carnivore, vous portez sur vous le karma des animaux, ce qui est triste et inutile. De plus, vous brutalisez votre corps. Il n’est pas fait pour ingérer les cadavres et vous lui imposez des aliments incompatibles avec son essence spirituelle. Il se révolte, et c’est de là que proviennent la plupart des maladies. Comme, par ailleurs, les animaux que vous mangez ont été immolés dans le désespoir, vous créez une barrière karmique qui vous empêche de vibrer en harmonie avec votre Moi profond.
Les animaux que vous mangez ont été immolés dans le désespoir.
Certains se demandent si Jésus était végétarien, et répondent négativement, mais ils se trompent. D’après les Évangiles apocryphes issus des traditions gnostique et essénienne, Jésus n’a jamais consommé de viande. L’Évangile Secret de Saint-Jean, notamment, affirme qu’il existe deux tables : la table du Démon et la table de Dieu.
La table du Démon est couverte d’animaux massacrés : poulets, cochons, bœufs, moutons et gibiers de toutes sortes. Le sang ruisselle des mâchoires des carnivores et ils communient avec "le Diable" - entre guillemets, bien entendu - c’est-à-dire avec les Forces inférieures et rétrogrades de l’Univers.
La table de Dieu croule, au contraire, sous les fruits, les céréales et les légumes. Elle est aérée et baignée par les rayons du Soleil. C’est là que viennent s’attabler "les enfants de Dieu" qui aspirent à la véritable Liberté.
La nourriture pure donne énormément de forces magnétiques. Le tout est de diriger ces énergies vers une étoile vivante, brasillante et bénéfique comme notre Soleil et de les appliquer à quelque chose de supérieur. Tout est là ! Le végétarisme purifie le corps et c’est par cette purification que commence la véritable Initiation.
L’animal possède une âme dite "âme astrale". Lorsqu’il meurt, son âme astrale s’en va, mais ses rayonnements demeurent dans la chair. C’est comme une sorte de relique et quand vous ingurgitez un peu de son cadavre, vous absorbez les sentiments qui restent enfermés dans ses molécules. Ces sentiments, surtout ceux du dernier moment, celui où il est tué ou massacré, se nomment la peur, la violence, et l’angoisse.
Vous dévorez tout cela, en même temps que sa viande. Et, un beau jour sans trop savoir comment ni pourquoi, vous avez des accès de colère, vous avez des accès de terreur, et vous sombrez dans l’angoisse et la dépression : c’est tout simplement l’animal que vous avez mangé qui revient réclamer réparation !
Il faut donc remplacer les cadavres d’animaux par des aliments purs, notamment par la béatitude calme des plantes. Elles n’ont pas d’âme astrale mais seulement un corps éthérique ou vital. Par les végétaux, vous n’absorbez que la vie, sans agitation, sans bouleversements, sans conflits.
Le mieux serait évidemment de ne pas manger du tout et de nous nourrir seulement du prâna atmosphérique. Certains êtres y parviennent. Une grande yoghini indienne a pu ainsi vivre 70 ans sans absorber aucun aliment. Et Thérèse Neumann a vécu plusieurs dizaines d’années en se nourrissant uniquement d’une hostie chaque jour.
Nous n’avons pas encore atteint ce haut niveau de développement et, puisque nous sommes obligés de vivre et, donc, de manger, il est préférable de choisir des aliments beaucoup moins chargés d’énergie négative que la nourriture carnée, l’ultime objectif étant d’accéder au végétalisme.
Extraits d’un article de Françoise Brousse
25 juin 2006
Le triomphe de la densité
Quand elle se limite à la seule conscience du corps, l'expérience humaine est celle de la densité et du poids. Alors que nous retrouvons notre nature essentielle, libre et légère, au moment où nous réalisons que la conscience précède le corps et lui succède.
Je suis la conscience avant, pendant et après avoir été identifié à ce corps. Avant la naissance du corps et à sa mort, demeure la conscience.
Cette réalisation n'est cependant pas intellectuelle. Il ne suffit pas de l'énoncer pour la vivre. Nous devons plonger profondément au coeur de cette affirmation.
Tout est conscience. La conscience est l'essence de la vie, elle en est sa « forme » essentielle. Le corps en est la forme la plus solide. Entre ces deux extrêmes, les canaux du sentiment, de l'émotion et de la pensée font le lien entre la conscience dans sa nature la plus fluide et le corps, sa forme la plus solide.
Quand l'homme a réalisé sa nature essentielle, les pensées, les émotions et les sentiments circulent librement, sans entrave, sans complaisance et sans fuite non plus. Le pont est alors établi entre le monde matériel et l'espace spirituel au point même que les deux ne semblent faire plus qu'un et l'existence personnelle est nourrie par le souffle de vie primordial.
Une telle existence est libre.
L'homme, enfermé dans le corps et la séparation inhérente à cette perception réduite de la vie, peut s'alourdir considérablement. Sa vie devient dense, pesante, entravée.
Nos pensées peuvent faire le jeu du poids et de la séparation comme elles peuvent être l'_expression de la légèreté de l'être. Deux pensées, en apparence identiques, contribuent dans un cas à l'alourdissement et la séparation et dans un autre à l'allègement et l'unité.
C'est pourquoi nous voyons que l'intention qui porte nos mots est essentielle. Nous pouvons bien nous battre pour les causes les plus élevées en apparence, si ce combat est issu d'une perception étriquée de la vie, il n'est l'_expression que de la séparation. Nous pouvons être docteur en philosophie, si notre pensée est issue d'un corps pensant et convaincu du caractère ultime de cette limite, il est préférable de se taire. Nous pouvons défendre nos opinions et nos croyances, nos choix et nos griefs, si nous le faisons à partir de l'enfermement, nous projetons l'ombre de nos barreaux sur tout ce que nous faisons et disons. Une pensée qui repose sur le sentiment d'être un corps, irrémédiablement séparé tout en croyant être le centre de l'univers, ne peut pas produire de paroles ou d'actions de valeur, il n'en ressort que vanité et division, illusion et souffrance.
Une pensée qui jaillit d'une conscience vivante est l'_expression d'une vie qui a retrouvé son sens primordial. Cette terreur si familière qui est venue habiter le corps puis a gagné le mental et les émotions est alors balayée par la conscience en un instant.
Mais, au contraire, cette fixation commune sur le corps, et donc sur la mort et la séparation inhérente à la condition humaine coupée de l'essentiel, interdit à la conscience de s'exprimer dans sa force et son intelligence au travers de nos existences personnelles et celles de nos sociétés.
L'oubli de notre nature essentielle conduit une grande partie de l'humanité dans des égarements et des souffrances sans fin. La violence de notre monde est l'_expression du triomphe exclusif de la densité. Nous avons ressenti le poids et nous avons cru qu'il était notre seul destin.
Voyons comment nos croyances, enracinées dans le corps et l'esprit depuis notre naissance ainsi que celles acquises par la suite, contribuent à alimenter cette perception étriquée de la vie.
L'homme qui se pose dans la solitude avec lui-même revient à la conscience. Mais le sentiment de n'être qu'un corps mortel fait obstacle car il ne s'agit pas d'une pensée, plutôt d'une certitude intime et apparemment irrémédiable : « Je suis un corps qui en cherche d'autres pour se compléter, qui cherchent des substances, des extases ou des méthodes pour alléger son poids et qui ne peut pas croire à autre chose qu'à cette réalité que je valide d'ailleurs en regardant ce que semblent vivre les autres autour de moi. »
L'homme est une pierre agitée. La mémoire de sa nature essentielle, libre comme l'eau, ne jaillit plus dans cette identification à la densité. Ses pensées apparaissent les unes après les autres à partir de cette fondation et les émotions sont pétries de cette perception. Ses accomplissements sont tissés de lourdeur et le monde entier pèse d'un poids énorme comme pour étouffer le substrat des consciences.
Nous pouvons faire le jeu de la densité par habitude et par inconscience (observez vos conversations, vos certitudes et vos engouements) mais nous ressentons tous, jusque dans la fibre de notre être, la pression de la masse du monde. Il est des lieux et des personnes qui pèsent des tonnes. Ce n'est pas tant ce qu'elles disent ou ce qu'elles font car, en apparence, souvent, leurs expressions ne semblent pas si particulières. Mais cet oubli fondamental de leur nature fluide et vivante, de la conscience comme la réalité première et dernière, fait de leurs corps et de leurs esprits des boulets à la surface du monde.
La densité a triomphé en tous point de nos sociétés modernes et le poids des administrations comme celui de nos propres indécisions quotidiennes nous maintient dans un univers de lourdeur et de petitesse. Nous faisons le jeu de la densité, souvent à notre insu, parfois avec le sentiment qu'il n'y a pas d'autre choix.
Nous ne sommes pourtant pas ici pour cela.
La densité est la conséquence de l'oubli, d'un regard bordé d'œillères qui limite le champ de la vie à la capsule de chair. Nous avons oublié ce que nous sommes alors même que tout événement et toute rencontre tentent de nous le rappeler. Nous restons souvent déterminés à préserver le poids parce qu'il nous semble un point stable de l'univers. Ce corps de souffrance, traversé par des émotions mal vécues et des sentiments réprimés et auquel nous nous accrochons désespérément et de façon déraisonnable n'est qu'une minuscule éruption de conscience, une densification, éphémère et sans autre objet que de permettre à la conscience de vivre la relation. Mais pour celui ou celle qui se perd dans le jeu, c'est un peu comme se prendre pour le roi, la dame ou le pion dans un jeu d'échecs et souffrir en conséquence de la difficulté que l'on aurait à se mouvoir tout seul sur le damier. La conscience, seule, peut mouvoir toute chose sans effort, et avec une vue d'ensemble.
Dans la contraction crispée sur l'existence du pion qui subit le cours de la partie, nous perdons toute légèreté et tout goût au jeu.
La conscience a accepté de se solidifier pour faire l'expérience de la relation et de l'amour pas pour que nous nous repliions sur nos petits corps au point qu'il ne soit plus possible de vivre dans la légèreté de l'être. Nous sommes plus vastes que nous voulons le croire, plus libres et plus simples à la fois. Mais pour le réaliser, nous devons cesser de nourrir cette perception étriquée de nous-mêmes, de faire le jeu de la densité coupée de la conscience et de porter des masques pathétiques, mondains ou spirituels (c'est égal) qui n'ont pour effet que de nous enfermer un peu plus.
Thierry
Je suis la conscience avant, pendant et après avoir été identifié à ce corps. Avant la naissance du corps et à sa mort, demeure la conscience.
Cette réalisation n'est cependant pas intellectuelle. Il ne suffit pas de l'énoncer pour la vivre. Nous devons plonger profondément au coeur de cette affirmation.
Tout est conscience. La conscience est l'essence de la vie, elle en est sa « forme » essentielle. Le corps en est la forme la plus solide. Entre ces deux extrêmes, les canaux du sentiment, de l'émotion et de la pensée font le lien entre la conscience dans sa nature la plus fluide et le corps, sa forme la plus solide.
Quand l'homme a réalisé sa nature essentielle, les pensées, les émotions et les sentiments circulent librement, sans entrave, sans complaisance et sans fuite non plus. Le pont est alors établi entre le monde matériel et l'espace spirituel au point même que les deux ne semblent faire plus qu'un et l'existence personnelle est nourrie par le souffle de vie primordial.
Une telle existence est libre.
L'homme, enfermé dans le corps et la séparation inhérente à cette perception réduite de la vie, peut s'alourdir considérablement. Sa vie devient dense, pesante, entravée.
Nos pensées peuvent faire le jeu du poids et de la séparation comme elles peuvent être l'_expression de la légèreté de l'être. Deux pensées, en apparence identiques, contribuent dans un cas à l'alourdissement et la séparation et dans un autre à l'allègement et l'unité.
C'est pourquoi nous voyons que l'intention qui porte nos mots est essentielle. Nous pouvons bien nous battre pour les causes les plus élevées en apparence, si ce combat est issu d'une perception étriquée de la vie, il n'est l'_expression que de la séparation. Nous pouvons être docteur en philosophie, si notre pensée est issue d'un corps pensant et convaincu du caractère ultime de cette limite, il est préférable de se taire. Nous pouvons défendre nos opinions et nos croyances, nos choix et nos griefs, si nous le faisons à partir de l'enfermement, nous projetons l'ombre de nos barreaux sur tout ce que nous faisons et disons. Une pensée qui repose sur le sentiment d'être un corps, irrémédiablement séparé tout en croyant être le centre de l'univers, ne peut pas produire de paroles ou d'actions de valeur, il n'en ressort que vanité et division, illusion et souffrance.
Une pensée qui jaillit d'une conscience vivante est l'_expression d'une vie qui a retrouvé son sens primordial. Cette terreur si familière qui est venue habiter le corps puis a gagné le mental et les émotions est alors balayée par la conscience en un instant.
Mais, au contraire, cette fixation commune sur le corps, et donc sur la mort et la séparation inhérente à la condition humaine coupée de l'essentiel, interdit à la conscience de s'exprimer dans sa force et son intelligence au travers de nos existences personnelles et celles de nos sociétés.
L'oubli de notre nature essentielle conduit une grande partie de l'humanité dans des égarements et des souffrances sans fin. La violence de notre monde est l'_expression du triomphe exclusif de la densité. Nous avons ressenti le poids et nous avons cru qu'il était notre seul destin.
Voyons comment nos croyances, enracinées dans le corps et l'esprit depuis notre naissance ainsi que celles acquises par la suite, contribuent à alimenter cette perception étriquée de la vie.
L'homme qui se pose dans la solitude avec lui-même revient à la conscience. Mais le sentiment de n'être qu'un corps mortel fait obstacle car il ne s'agit pas d'une pensée, plutôt d'une certitude intime et apparemment irrémédiable : « Je suis un corps qui en cherche d'autres pour se compléter, qui cherchent des substances, des extases ou des méthodes pour alléger son poids et qui ne peut pas croire à autre chose qu'à cette réalité que je valide d'ailleurs en regardant ce que semblent vivre les autres autour de moi. »
L'homme est une pierre agitée. La mémoire de sa nature essentielle, libre comme l'eau, ne jaillit plus dans cette identification à la densité. Ses pensées apparaissent les unes après les autres à partir de cette fondation et les émotions sont pétries de cette perception. Ses accomplissements sont tissés de lourdeur et le monde entier pèse d'un poids énorme comme pour étouffer le substrat des consciences.
Nous pouvons faire le jeu de la densité par habitude et par inconscience (observez vos conversations, vos certitudes et vos engouements) mais nous ressentons tous, jusque dans la fibre de notre être, la pression de la masse du monde. Il est des lieux et des personnes qui pèsent des tonnes. Ce n'est pas tant ce qu'elles disent ou ce qu'elles font car, en apparence, souvent, leurs expressions ne semblent pas si particulières. Mais cet oubli fondamental de leur nature fluide et vivante, de la conscience comme la réalité première et dernière, fait de leurs corps et de leurs esprits des boulets à la surface du monde.
La densité a triomphé en tous point de nos sociétés modernes et le poids des administrations comme celui de nos propres indécisions quotidiennes nous maintient dans un univers de lourdeur et de petitesse. Nous faisons le jeu de la densité, souvent à notre insu, parfois avec le sentiment qu'il n'y a pas d'autre choix.
Nous ne sommes pourtant pas ici pour cela.
La densité est la conséquence de l'oubli, d'un regard bordé d'œillères qui limite le champ de la vie à la capsule de chair. Nous avons oublié ce que nous sommes alors même que tout événement et toute rencontre tentent de nous le rappeler. Nous restons souvent déterminés à préserver le poids parce qu'il nous semble un point stable de l'univers. Ce corps de souffrance, traversé par des émotions mal vécues et des sentiments réprimés et auquel nous nous accrochons désespérément et de façon déraisonnable n'est qu'une minuscule éruption de conscience, une densification, éphémère et sans autre objet que de permettre à la conscience de vivre la relation. Mais pour celui ou celle qui se perd dans le jeu, c'est un peu comme se prendre pour le roi, la dame ou le pion dans un jeu d'échecs et souffrir en conséquence de la difficulté que l'on aurait à se mouvoir tout seul sur le damier. La conscience, seule, peut mouvoir toute chose sans effort, et avec une vue d'ensemble.
Dans la contraction crispée sur l'existence du pion qui subit le cours de la partie, nous perdons toute légèreté et tout goût au jeu.
La conscience a accepté de se solidifier pour faire l'expérience de la relation et de l'amour pas pour que nous nous repliions sur nos petits corps au point qu'il ne soit plus possible de vivre dans la légèreté de l'être. Nous sommes plus vastes que nous voulons le croire, plus libres et plus simples à la fois. Mais pour le réaliser, nous devons cesser de nourrir cette perception étriquée de nous-mêmes, de faire le jeu de la densité coupée de la conscience et de porter des masques pathétiques, mondains ou spirituels (c'est égal) qui n'ont pour effet que de nous enfermer un peu plus.
Thierry
LAROUCHE COMMENTE LE SOMMET DE L’OCS
Le 12 juin, l’économiste américain Lyndon LaRouche a rédigé pour Radio Govorit Moskva, une déclaration intitulée « Un tournant de l’histoire », qui fut diffusée le 15 juin, accompagnée de commentaires de Youri Kroupnov et du professeur Youri Gromyko sur le sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai.
« L’effondrement imminent du système basé sur le Fonds monétaire international, mis en place après 1971, représente une période de l’histoire mondiale dans laquelle [la nécessité d’opérer] au plus vite de profonds changements dans les relations entre nations devient l’enjeu le plus essentiel et immédiat pour tous les peuples et leurs gouvernements. Une coopération à long terme mise en place autour de l’Organisation de coopération de Shanghai est un élément nécessaire de l’acheminement vers un nouveau système mondial de coopération économique entre Etats-nations parfaitement souverains.
« L’évolution de la situation monétaro-financière au cours du deuxième trimestre 2006 est marquée, d’une part, par l’accélération hyperbolique de la hausse des prix des matières premières et, d’autre part, par la multiplication des faillites de hedge funds et d’intérêts similaires. Cet état des choses pose au monde entier la menace imminente d’un effondrement en chaîne du système mondial actuel, comparable à celui de la Ligue des Lombards pendant l’âge des ténèbres du XIVème siècle. Seul un changement ordonné du système monétaro-financier mondial actuel permettrait d’arrêter cet effondrement.
« L’alternative à l’effondrement passe par un retour aux initiatives que le président Franklin Roosevelt mena à bien dans la période 1933-1945. Les systèmes actuels de banque centrale doivent être réorganisés par les gouvernements souverains respectifs, et les moyens mis en place pour créer du crédit à long terme destiné à financer des améliorations capitalistiques de l’infrastructure publique et des investissements dans des technologies plus avancées. Ceci pourrait être fait par des gouvernements dotés d’un système constitutionnel de souveraineté absolue en matière monétaire, comme celui des Etats-Unis, ou encore au moyen de crédit créé dans le cadre d’accords à long terme entre gouvernements souverains engagés dans la coopération.
« L’émission de crédit à faible taux d’intérêt exige le retour à un système de taux fixes, similaire à celui de Bretton Woods. Si les mesures urgentes de ce type sont adoptées, un des résultats sera le développement d’un pivot eurasiatique, comme centre d’une économie mondiale en développement. L’Europe et les Etats-Unis devront alors réorienter leur politique économique à long terme sur des missions, caractérisant l’ensemble du secteur en voie de développement, dont l’Asie, l’Amérique centrale et du Sud et l’Afrique. Les investissements à long terme destinés à des améliorations capitalistiques en Asie, notamment en Chine et en Inde, seront un aspect central du développement économique global.
« L’aspect décisif d’un tel programme économique doit être la tradition scientifique russe en matière du développement biogéochimique des ressources dites naturelles, ainsi que l’importance grandissante de la fission nucléaire et de la fusion thermonucléaire, en tant que modalités indispensables pour faire face aux crises de l’eau potable et de l’approvisionnement en minéraux pour une population mondiale assoiffée de développement, qui doit atteindre huit milliards d’individus d’ici environ une génération.
« La nouvelle économie mondiale qui doit surgir au plus vite des cendres du système monétaro-financier actuel, doit être articulée autour du rôle dirigeant de l’Eurasie dans la perspective globale. Ce genre d’objectifs vaut pour l’ensemble du monde. Cela veut dire, du point de vue de la science de l’économie physique définie par Gottfried Leibniz, une politique orientée vers l’accroissement du potentiel de densité démographique relative de la planète, grâce à des investissements dans l’infrastructure économique de base et la production de biens tangibles. Par conséquent, le renforcement de la coopération entre Etats souverains d’Eurasie - s’appuyant sur le rôle naturel de la grande nation eurasiatique qu’est la Russie - représente le véhicule politique évident pour accélérer les changements qui s’imposent à la planète dans son ensemble. »
Le sommet de l’OCS met l’emphase sur la coopération économique
Le cinquième sommet annuel de l’Organisation de la coopération de Shanghai (OCS) s’est tenu les 15 au 16 juin derniers à Shanghai. Au-delà des chefs d’Etat des pays fondateurs de l’organisation - Russie, Chine, Kazakhstan, Tadjikistan, Ouzbékistan et Kirghizstan - participaient également cette année, avec un statut d’observateurs, le président pakistanais Musharraf, le président iranien Ahmadinejad, le ministre indien de l’Energie, le président afghan Karzaï et des représentants des pays de la CEI et de l’ASEAN.
A la veille du Sommet, le président russe Vladimir Poutine a publié un article vantant l’OCS comme le « nouveau modèle de coopération internationale », fondé sur un « partenariat d’égal à égal ». Le but stratégique de cette coopération, écrit-il, est de renfoncer la sécurité et la stabilité régionales, de promouvoir le progrès économique et de pousser de l’avant le processus d’intégration régionale, tout en sauvegardant l’identité nationale et culturelle de chaque Etat membre ». Non seulement l’OSC est devenue une « organisation régionale influente » en Eurasie, mais cette influence continue à se renforcer au niveau mondial. Vladimir Poutine a aussi souligné l’énorme potentiel existant pour une coopération mutuelle bénéfique, en particulier dans les domaines de l’énergie, des matières premières, des infrastructures et dans le secteur industriel.
Le président chinois Hu Jintao a abondé dans le même sens, soulignant l’engagement de la Chine envers un « développement pacifique » en Eurasie. Tous les participants au sommet ont mis l’emphase sur le fait que bien que leur collaboration en matière de sécurité - lutte contre le terrorisme, l’extrémisme, le séparatisme et le trafic de drogue - reste en tête de leurs préoccupations, l’OCS n’est pas une alliance militaire dirigée contre des tiers. Mais ils ont précisé, en même temps, qu’ils ne « prendront part à aucune alliance ou association qui puisse mettre en danger la souveraineté, sécurité et intégrité territoriale des pays membres ».
On notera que le thème central du sommet était la coopération économique, en particulier dans les domaines « prioritaires tels que l’industrie de l’énergie, le transport, l’information et les communications, et l’agriculture ». Un « Conseil commercial de l’OCS » fut ainsi créé, ainsi qu’un programme d’action pour une coopération financière entre banques participant à la nouvelle Union interbancaire créée par l’OSC.
Les médias internationaux ont également rapporté les déclarations du président iranien Ahmadinejad, qui, au cours du sommet, a qualifié « de pas en avant » les propositions faites par la troïka européenne, Etats-Unis, Russie et Chine. Mais Ahmadinejad a aussi parlé de la façon dont il voit la coopération économique en Eurasie : « Nos peuples vivent ensemble depuis 1000 ans dans cette région et ont partagé les mêmes espoirs, a-t-il dit, les échanges économiques se sont poursuivis au cours des siècles et les contacts ont profondément pénétré notre culture ». Ahmadinejad a appelé l’OCS à se concentrer sur l’amélioration des transports, l’allégement des tarifs douaniers, et a encouragé également des projets conjoints d’investissements. Il a proposé une conférence sur l’utilisation et le transport de l’énergie, qui pourrait se tenir en Iran.
« L’effondrement imminent du système basé sur le Fonds monétaire international, mis en place après 1971, représente une période de l’histoire mondiale dans laquelle [la nécessité d’opérer] au plus vite de profonds changements dans les relations entre nations devient l’enjeu le plus essentiel et immédiat pour tous les peuples et leurs gouvernements. Une coopération à long terme mise en place autour de l’Organisation de coopération de Shanghai est un élément nécessaire de l’acheminement vers un nouveau système mondial de coopération économique entre Etats-nations parfaitement souverains.
« L’évolution de la situation monétaro-financière au cours du deuxième trimestre 2006 est marquée, d’une part, par l’accélération hyperbolique de la hausse des prix des matières premières et, d’autre part, par la multiplication des faillites de hedge funds et d’intérêts similaires. Cet état des choses pose au monde entier la menace imminente d’un effondrement en chaîne du système mondial actuel, comparable à celui de la Ligue des Lombards pendant l’âge des ténèbres du XIVème siècle. Seul un changement ordonné du système monétaro-financier mondial actuel permettrait d’arrêter cet effondrement.
« L’alternative à l’effondrement passe par un retour aux initiatives que le président Franklin Roosevelt mena à bien dans la période 1933-1945. Les systèmes actuels de banque centrale doivent être réorganisés par les gouvernements souverains respectifs, et les moyens mis en place pour créer du crédit à long terme destiné à financer des améliorations capitalistiques de l’infrastructure publique et des investissements dans des technologies plus avancées. Ceci pourrait être fait par des gouvernements dotés d’un système constitutionnel de souveraineté absolue en matière monétaire, comme celui des Etats-Unis, ou encore au moyen de crédit créé dans le cadre d’accords à long terme entre gouvernements souverains engagés dans la coopération.
« L’émission de crédit à faible taux d’intérêt exige le retour à un système de taux fixes, similaire à celui de Bretton Woods. Si les mesures urgentes de ce type sont adoptées, un des résultats sera le développement d’un pivot eurasiatique, comme centre d’une économie mondiale en développement. L’Europe et les Etats-Unis devront alors réorienter leur politique économique à long terme sur des missions, caractérisant l’ensemble du secteur en voie de développement, dont l’Asie, l’Amérique centrale et du Sud et l’Afrique. Les investissements à long terme destinés à des améliorations capitalistiques en Asie, notamment en Chine et en Inde, seront un aspect central du développement économique global.
« L’aspect décisif d’un tel programme économique doit être la tradition scientifique russe en matière du développement biogéochimique des ressources dites naturelles, ainsi que l’importance grandissante de la fission nucléaire et de la fusion thermonucléaire, en tant que modalités indispensables pour faire face aux crises de l’eau potable et de l’approvisionnement en minéraux pour une population mondiale assoiffée de développement, qui doit atteindre huit milliards d’individus d’ici environ une génération.
« La nouvelle économie mondiale qui doit surgir au plus vite des cendres du système monétaro-financier actuel, doit être articulée autour du rôle dirigeant de l’Eurasie dans la perspective globale. Ce genre d’objectifs vaut pour l’ensemble du monde. Cela veut dire, du point de vue de la science de l’économie physique définie par Gottfried Leibniz, une politique orientée vers l’accroissement du potentiel de densité démographique relative de la planète, grâce à des investissements dans l’infrastructure économique de base et la production de biens tangibles. Par conséquent, le renforcement de la coopération entre Etats souverains d’Eurasie - s’appuyant sur le rôle naturel de la grande nation eurasiatique qu’est la Russie - représente le véhicule politique évident pour accélérer les changements qui s’imposent à la planète dans son ensemble. »
Le sommet de l’OCS met l’emphase sur la coopération économique
Le cinquième sommet annuel de l’Organisation de la coopération de Shanghai (OCS) s’est tenu les 15 au 16 juin derniers à Shanghai. Au-delà des chefs d’Etat des pays fondateurs de l’organisation - Russie, Chine, Kazakhstan, Tadjikistan, Ouzbékistan et Kirghizstan - participaient également cette année, avec un statut d’observateurs, le président pakistanais Musharraf, le président iranien Ahmadinejad, le ministre indien de l’Energie, le président afghan Karzaï et des représentants des pays de la CEI et de l’ASEAN.
A la veille du Sommet, le président russe Vladimir Poutine a publié un article vantant l’OCS comme le « nouveau modèle de coopération internationale », fondé sur un « partenariat d’égal à égal ». Le but stratégique de cette coopération, écrit-il, est de renfoncer la sécurité et la stabilité régionales, de promouvoir le progrès économique et de pousser de l’avant le processus d’intégration régionale, tout en sauvegardant l’identité nationale et culturelle de chaque Etat membre ». Non seulement l’OSC est devenue une « organisation régionale influente » en Eurasie, mais cette influence continue à se renforcer au niveau mondial. Vladimir Poutine a aussi souligné l’énorme potentiel existant pour une coopération mutuelle bénéfique, en particulier dans les domaines de l’énergie, des matières premières, des infrastructures et dans le secteur industriel.
Le président chinois Hu Jintao a abondé dans le même sens, soulignant l’engagement de la Chine envers un « développement pacifique » en Eurasie. Tous les participants au sommet ont mis l’emphase sur le fait que bien que leur collaboration en matière de sécurité - lutte contre le terrorisme, l’extrémisme, le séparatisme et le trafic de drogue - reste en tête de leurs préoccupations, l’OCS n’est pas une alliance militaire dirigée contre des tiers. Mais ils ont précisé, en même temps, qu’ils ne « prendront part à aucune alliance ou association qui puisse mettre en danger la souveraineté, sécurité et intégrité territoriale des pays membres ».
On notera que le thème central du sommet était la coopération économique, en particulier dans les domaines « prioritaires tels que l’industrie de l’énergie, le transport, l’information et les communications, et l’agriculture ». Un « Conseil commercial de l’OCS » fut ainsi créé, ainsi qu’un programme d’action pour une coopération financière entre banques participant à la nouvelle Union interbancaire créée par l’OSC.
Les médias internationaux ont également rapporté les déclarations du président iranien Ahmadinejad, qui, au cours du sommet, a qualifié « de pas en avant » les propositions faites par la troïka européenne, Etats-Unis, Russie et Chine. Mais Ahmadinejad a aussi parlé de la façon dont il voit la coopération économique en Eurasie : « Nos peuples vivent ensemble depuis 1000 ans dans cette région et ont partagé les mêmes espoirs, a-t-il dit, les échanges économiques se sont poursuivis au cours des siècles et les contacts ont profondément pénétré notre culture ». Ahmadinejad a appelé l’OCS à se concentrer sur l’amélioration des transports, l’allégement des tarifs douaniers, et a encouragé également des projets conjoints d’investissements. Il a proposé une conférence sur l’utilisation et le transport de l’énergie, qui pourrait se tenir en Iran.
21 juin 2006
Le CPE vu par Pierre Rabhi
Les générations futures sont déjà parmi nous. Elles sont dans
les berceaux, les crèches, dans tous les établissements d’éducation.
Elles sont dans la rue pour exprimer leur inquiétude à l’égard d’un
monde qui leur réserve un avenir bien plus chargé de menaces que de
certitudes et de sécurité. Car, à la somme considérable de nos
aptitudes a cruellement manqué l’intelligence et l’humanisme, seuls capables de
faire de notre merveilleuse planète une oasis où il fait bon vivre. La société technico-scientifique énergivore productiviste et marchande s’est fondée sur une règle exaltant l’antagonisme, l’avidité, la compétitivité, celle-là même avec laquelle nous élevons nos enfants, celle-là même dont seront victimes, s’ils ne lui substituent pas la solidarité et la complémentarité, les jeunes qui manifestent
aujourd’hui dans les rues.
Ces manifestations entre injonctions, protestations et appels au secours sont bouleversantes car elles sont l’un des symptômes d’une pathologie sociale globale et vouloir y remédier sans tenir compte de cette globalité serait un leurre. Gouverner aujourd’hui consiste, par la force des circonstances imputables au manque de prévision des divers gouvernements, à exercer une sorte d’acharnement thérapeutique sur un organisme moribond. Si l’état n’était plus en capacité d’assumer les mesures sociales de substitution, si Emmaüs, les Restos du Cœur et tous
les autres secouristes sociaux cessaient d’intervenir, on aurait la juste mesure du désastre. Tout cela met en évidence une vérité simple : notre modèle de société national et international arrive à ses limites et s’obstiner à l’aménager n’a pas de sens.
La jeunesse d’aujourd’hui est la victime d’une éducation et d’une préparation qui n’ont pas pris en compte les formidables mutations qui bouleversent le monde contemporain avec des défis sans précédent lancés à l’humanité. La trilogie diplôme / emploi / salaire est l’apanage révolu des Trente Glorieuses et le système éducatif ne semble pas l’avoir compris. N’avoir pas de revenu oblitère complètement la personne humaine, ce qui justifie l’insécurité physique et psychique qui se repère dans la société au sein même de la prospérité.
Le temps des grandes utopies réalistes a sonné. Il offre un nouveau champ de créativité que la société civile a largement entamé.
Un nouveau paradigme mettant honnêtement, sincèrement l’humain et la nature au cœur de nos préoccupations est à construire. Il nécessite absolument de sortir du «toujours plus » indéfini et de l’économie du superflu pour répondre prioritairement aux nécessités vitales de tous.
Cependant, il est temps de comprendre, au-delà de quelques considérations écologiques ou écologico-politiques, que nous devons irrévocablement notre vie et notre survie à la nature dont une civilisation « hors-sol» nous a dangereusement éloigné. La respecter, en prendre soin est une condition incontournable si nous voulons que les futures générations puissent survivre. L’avenir est à la sobriété heureuse… et cet avenir est tout à fait possible si nous le voulons vraiment.
les berceaux, les crèches, dans tous les établissements d’éducation.
Elles sont dans la rue pour exprimer leur inquiétude à l’égard d’un
monde qui leur réserve un avenir bien plus chargé de menaces que de
certitudes et de sécurité. Car, à la somme considérable de nos
aptitudes a cruellement manqué l’intelligence et l’humanisme, seuls capables de
faire de notre merveilleuse planète une oasis où il fait bon vivre. La société technico-scientifique énergivore productiviste et marchande s’est fondée sur une règle exaltant l’antagonisme, l’avidité, la compétitivité, celle-là même avec laquelle nous élevons nos enfants, celle-là même dont seront victimes, s’ils ne lui substituent pas la solidarité et la complémentarité, les jeunes qui manifestent
aujourd’hui dans les rues.
Ces manifestations entre injonctions, protestations et appels au secours sont bouleversantes car elles sont l’un des symptômes d’une pathologie sociale globale et vouloir y remédier sans tenir compte de cette globalité serait un leurre. Gouverner aujourd’hui consiste, par la force des circonstances imputables au manque de prévision des divers gouvernements, à exercer une sorte d’acharnement thérapeutique sur un organisme moribond. Si l’état n’était plus en capacité d’assumer les mesures sociales de substitution, si Emmaüs, les Restos du Cœur et tous
les autres secouristes sociaux cessaient d’intervenir, on aurait la juste mesure du désastre. Tout cela met en évidence une vérité simple : notre modèle de société national et international arrive à ses limites et s’obstiner à l’aménager n’a pas de sens.
La jeunesse d’aujourd’hui est la victime d’une éducation et d’une préparation qui n’ont pas pris en compte les formidables mutations qui bouleversent le monde contemporain avec des défis sans précédent lancés à l’humanité. La trilogie diplôme / emploi / salaire est l’apanage révolu des Trente Glorieuses et le système éducatif ne semble pas l’avoir compris. N’avoir pas de revenu oblitère complètement la personne humaine, ce qui justifie l’insécurité physique et psychique qui se repère dans la société au sein même de la prospérité.
Le temps des grandes utopies réalistes a sonné. Il offre un nouveau champ de créativité que la société civile a largement entamé.
Un nouveau paradigme mettant honnêtement, sincèrement l’humain et la nature au cœur de nos préoccupations est à construire. Il nécessite absolument de sortir du «toujours plus » indéfini et de l’économie du superflu pour répondre prioritairement aux nécessités vitales de tous.
Cependant, il est temps de comprendre, au-delà de quelques considérations écologiques ou écologico-politiques, que nous devons irrévocablement notre vie et notre survie à la nature dont une civilisation « hors-sol» nous a dangereusement éloigné. La respecter, en prendre soin est une condition incontournable si nous voulons que les futures générations puissent survivre. L’avenir est à la sobriété heureuse… et cet avenir est tout à fait possible si nous le voulons vraiment.
18 juin 2006
Le Pléomorphisme
par le Dr Dennis Myers et le Dr Robert Miller
Lorsque j'ai découvert le pléomorphisme, il y a à peu près 15 ans, en tant que médecin éduqué aux USA, (22 ans à l'école de médecine), cela a été un choc pofond dont je ne me suis sincèrement pas encore remis. Je suis choqué que l'on nous ait tant menti ... La Biologie que nous avions tous apprise à récole de médecine est erronée et cela affecte tous les aspects de la médecine, de haut en bas.
À l'école de médecine, en règle générale, ce que nous étudions était mort. De temps en temps, on étudiait des choses vivantes, tels le sang frais et l'urine. Lorsque ces substances vivantes étaient observées, sous une immersion d'huile, avec un microscope puissant, on pouvait observer en plus des globules blancs et rouges des « petits points » partout qui se lovent sur eux-mêmes, tournent et bondissent en un mouvement incessant. Leur diamètre est de 0,01 pin (1/100.000 mm) tandis qu'un globule rouge a un diamètre de 6-9 pin. (Découverte du Professeur Béchamp).
On nous expliquait que ces « petits points » n'étaient pas là ; qu'ils étaient faits de poussière ou de gros globules appelés chyIomicrons ou encore que c'étaient des « atomes rebondissant les uns sur les autres » (mouvement Brownien).
Ces « petits points » sont le sujet de cette « nouvelle » microbiologie. Le pléomorphisme ou polymorphisme, découvert début 1800, dit que les « germes » à l'origine des maladies chroniques et dégénératives viennent de l’intérieur du corps, et plus précisément de «petits points » que l'on peut voir dans le sang vivant, avec n'importe quel microscope. Ce sont les Colloïdes de la vie ou protits, somatides ou microzymas. Louis Pasteur (1822-1895) est à l'origine de la dichotomie ou division dans la médecine, qui de nos jours existe en tant que « médecine alternative ». Mais, elle n'est pas « alternative », c'est simplement la vérité.
Photo : Les Dr Myers (au fond) et Robert Miller (devant).
La « nouvelle » microbiologie est la synthèse de deux points de vue très divergents, le Mono-morphisme- (mono- même, morph- forme) maintenu par la médecine acceptée d'aujourd'hui et le Pléomorphisme pleo - changer, morph- forme) issu du milieu des années 1800.
D'un côté, la médecine moderne affirme qu'un germe particulier reste toujours un germe et ne changera jamais. Le monomorphisme se résume aux postulats de Koch-Henle qui vers 1880 énonce que:
1. Les microorganismes sont présents dans tous les cas de la maladie et dans des circonstances qui justifient le cours clinique de la maladie et sa pathologie associée.
2. Le microorganisme n'apparaît dans aucune autre maladie comme parasite fortuit et non pathogène
3. Après avoir été isolé de son hôte et cultivé en dehors de celui-ci, ce microorganisme peut engendrer la même maladie dans un organisme sain.
À l'opposé, le pléomorphisme maintient l'idée que le microbe peut changer de forme (de forme virale en forme bactérienne, puis levuriforme ainsi que de nombreuses formes intermédiaires). Il est issu des travaux d'Antoine Béchamp et de Louis Pasteur accomplis vers 1840 sur la fermentation et sur les générations spontanées.
La contradiction entre ces deux points de vue, chaudement débattue vers 1800, n'a toujours pas été résolue. Elle a cessé quand la FDA (Food and Drug Administration: autorité pour la mise sur le marché de la nourriture et des médicaments) a été créée aux États-Unis entre 1920 et 1930. Tout ce qui était antérieur à sa création, c'est à-dire d'origine européenne, a tout simplement été éliminé.
Vers 1850, Antoine Béchamp (1816-1908) découvre, dans le sang de tous les êtres vivants, ces « petits points », qu'il appelle microzymas. Plus tard appelés profits en Allemagne par Günter Enderlein (1872-1968) et somatides par le français Gaston Naessens né en 1924.
Les momies d'Égypte sont entièrernent composées de ces « petits points ». Mélangez la poussière de ces momies à de l'eau et vous observerez les microzymas toujours se lovant, tournant sautillant, en mouvement aujourd'hui comme hier.
Louis Pasteur "prit" (euphémisme) les idées de Béchamp, les transforma et l'industrie pétro-pharmaceutique d'aujourd'hui était née.
Le concept de génération spontanée lui-même n'a jamais été scientifiquement réfuté. Avec le pléomorphisme, ils ont tous deux été simplement balayés sous le tapis par les religions et le darwinisme et C'est toujours le cas aujourd'hui. Tout ce qui est autre est encore du domaine de la sorcellerie ! Si cette controverse n'a toujours pas été résolue à ce jour est, elle me semble due à une perversion de la connaissance comparable à celle dont Copernic fit les frais lorsqu'il révéla que la terre tournait autour du soleil.
Omne vivum ex vivo
« Chaque cellule provient de la division d'une cellule préexistante. » D'où provient la première cellule ? Elle vient d’Adam, celles d’Adam et Eve. Point final. Pas de cellules antérieures. Vous voyez à quel point cela devient compliqué ?
Omnis cellula e cellula
« Une cellule est toujours une cellule. » Voici la la loi plus basique de la biologie moderne, sacro-sainte et « divine » qui ne doit pas être remise en cause. La biologie moderne est fondée sur ce précepte. Cependant, ses « fondations » sont en train de s'effriter.
La médecine acceptée d'aujourd'hui (pratiquement tout docteur en médecine aux États-Unis) n’a aucune idée et jamais entendu parler de ce dont on va parler maintenant. La librairie Nationale du Congrès à Washington D. C. supposée contenir tout ce qui a été publié possédait des matériaux sur ces sujets - tout a été effacé et a disparu. L'Université de Pittsburgh, Ecole de Médecine où j'ai étudié possédait des livres d'Antoine Béchamp et de Günther Enderliein (voir ci-dessous) qui ont disparu également !!!!
Tout microorganisme, toute chose vivante provient de ces " petits points » et retournent à ces « petits points ». Ils ne meurent jamais. La cellule n’est pas la plus petite chose vivante, ce sont ces petits points qui le sont.
Appelés protits en Allemagne, somatides et Microzymas en France, ils n'ont pas de nom en langue anglaise. N'est-ce pas étrange ?
Vues Françaises et Allemandes d'antan sur le pléornorphisme
Pour Béchamp, Günter Enderliein. et Naessens, ces « petits points » sont les colloïdes de la vie ou microzymas, protits, sornatides et la cellule n n'est pas la plus petite chose vivante.
Photo 2 :Sang vivant d'un patient en bonne santé. Les petits points sont les microzymas, ils sont en mouvement constant. Les gros cercles sont les globules rouges.
Aujourd'hui même, la science moderne découvre des bactéries et autres dans les tissus malades des maladies chroniques et dégénératives, d'où l'importance de ces idées d'antan. Des formes microbiennes sont trouvées dans l'ulcère de l'estomac, l'artériosclérose, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, l'arthrite...et beaucoup d'autres maladies. La science moderne, pour en expliquer l'origine, dit qu'ils pénètrent dans notre organisme par les gencives lors du brossage des dents !! Ces bactéries sont là en tant que résultat et non en tant que cause. Il est grand temps que chacun comprenne ces concepts et que la science moderne avec ses équipements de pointe commence, enfin, à prendre ces idées au sérieux pour abandonner sa façon anti-bio vivante, (antibiotique) de penser.
Les microzymas
Ces microorganismes déploient leur action nettoyante. Par la décomposition ils nettoient les parties du corps les plus acides, les plus oxydées et les plus chargées en métaux toxiques. Voilà ce qu'est une maladie chronique et dégénérative.
Toutes les maladies dégénératives commencent par un terrain relativement acide à l'endroit le plus faible du corps. Cette acidité relative des tissus indique une fàible disponibilité locale d'oxygène, les tissus passent alors à un mode métabolique anaérobie (n'utilisant pas l'oxygène de façon efficace), il y a oxydation et vieillissement.
Ces zones sont de véritables forteresses dans l'organisme où nos propres cellules immunitaires deviennent inefficaces et les germes anaérobies, les virus et les levures se multiplient et peuvent se développer sans être dérangés. Cela équivaut à pourrir. Les cancers sont pleins de microorganismes.
Les organismes pléomorphiques sont des micro-organismes qui changent de forme me comme nous l'avons déjà dit; la forme virale se transforme en bactéries puis finalement en levures qui décomposent les corps lorsque nous mourrons. Plus tard, les levures se recomposent en microzymas, forme dont ils provenaient, ceux que l'on trouve dans les momies d'Egypte.
Les organismes pléomorphiques évoluent à partir de « petits points » ou microzymas en une forme pathologique appelée virus et bactéries de façon à nettoyer les vieux tissus oxydés qui se détériorent. On trouve des bactéries dans les tissus malades de toutes les maladies chroniques et dégénératives. La médecine moderne les traite avec des antibiotiques et des vaccins qui ne sont absolument pas nécessaires. Ces bactéries étant le résultat et non la cause. Même si tous les microorganismes changent de forme, dans les laboratoires médicaux modernes ces formes restent figées, isolées à un pH, une température, une source de nourriture, etc. Le pH est l'indicateur de l'acidité : pH 1 étant le plus acide, pH 14 le plus basique alors que l'eau pure a un pH de 7 ou pH neutre.
Selon la science actuelle (dans tout laboratoire moderne) les microorganismes sont cultivés dans les mêmes conditions pour un organisme particulier. Le milieu de culture est similaire, la teneur en minéraux dans le milieu, etc., tout est toujours identique.
Dans ces conditions, un streptocoque sera toujours un streptocoque et un microbe de la tuberculose restera toujours un bacille de la tuberculose. Mais changer une variante (ce qu'ils ne font jamais), le pH par exemple, et le germe se transformera en autre chose, plus ou moins dangereuse pour le patient (c'est toujours génétiquement un streptocoque, mais sous une forme différente). Les germes syphilitiques qu’on cultivait à l'école de médecine, devenaient fongiques après quelques jours. Nous les jetions, «contamination » disaient-ils. (Qui le disait?)
Historiquement, la méthode principale pour observer ces « petits points » est l'observation du sang frais et vivant au microscope à fond noir ou lumière rasante (DF Dark Field). On ne les observe pas dans le sang mort et coloré.
Photo 3 : Sang d'un patient très malade. Les petits points blancs sont les somatides. Les filaments représentent la forme en bâtonnet où les somatides se sont reliées ensemble. Les cercles en forme d'anneaux sont les globules rouges et les masses blanches au milieu sont des conglomérats de tout cela.
Le microscope à fond noir est uniquement utilisé dans les laboratoires modernes pour voir les germes de la syphilis qui sont si petits et difficiles à observer.
Lorsqu'il y a déséquilibre et que le liquide interstitiel (extra-cellulaire) devient acide, toxique et pollué, les petits points » ou microzymas » changent alors de forme et deviennent virus, puis bactéries, et finalement levures (chaque étape étant plus hostile aux cellules des tissus). Ceux-ci nettoient les détritus, les cellules mortes, les toxines et autres déchets, résultat d'une intoxination. C'est le rôle des bactéries et des microbes.
Les virus, bactéries et champignons sont le résultat, et non pas la cause de la maladie !
Louis Pasteur s'est trompé!
L'idée que la bactérie est la cause de la maladie est erronée !
Les « microbes » sont le résultat et non pas la cause de la maladie. Cette idée fausse affecte tous les aspects de la médecine.
Voilà pourquoi ceci est une « nouvelle » biologie.
« Pasteur a eu le talent d'enseigner la plus grande absurdité et de réussir à la faire croire. Il est maintenant notoire qu'il a même falsifié les résultats de ses recherches lorsqu'elles ne démontraient pas les résultats qu'il désirait obtenir. Il était également prêt à plagier les résultats des autres. La fraude de la vaccination est basée sur des "recherchée manipulées. Des générations entières de chercheurs l'ont suivi. La "médecine scientifique" moderne est devenue une collection de théories, prouvées erronées, depuis longtemps (la théorie de l’obstruction et du caillot sanguin en tant que cause des maladies coronaires du coeur, la théorie des microbes et des infections, la théorie de la cellule unique à l'origine du cancer, etc. »
On dit que Pasteur, sur son lit de mort, a avoué qu'il avait tort au sujet de sa « théorie des microbes ». Il dit alors que:
Ce ne sont pas les microbes qui créent le problème, c'est Le « milieu interne » qui permet aux microbes de se développer est à l'origine du problème.
Vous n'attrapez pas froid du fait de côtoyer des gens qui toussent et éternuent autour de vous, c'est vous qui attrapez froid quand votre milieu interne est malade (acide, oxydé, pollué) et/ou si vous êtes stressés ou fatigués. Vous succombez et le soi-disant rhume d'origine virale vient à l' intérieur du corps, seulement 10 % des maladies sont « attrapées » de l'extérieur.
« En fait, en 1880 pour prouver cela et pour invalider le troisième postulat de Koch, (cette bataille dure depuis longtemps) l'hygiéniste Max Pettenkoffer, était si peu convaincu que le microbe peut à tout moment causer sa maladie "spécifique" chez n’importe quel hôte qu'il a bu un centimètre cube de culture fraîche de choléra asiatique sans aucun effet adverse, en dehors d'évacuer une grande quantité de choléra vibrion (vibrion = nom du bacille = nom du bacille spécifique au choléra) dans ses selles (certains de ses étudiants ont répété cette expérience et n'ont souffert que d'une diarrhée bénigne), ceci démontre que la plupart des maladies, la morbidité du choléra et sa mortalité, reflètent le niveau de résistance de l'hôte. Des expériences similaires d'injection réelle de typhoïde, diphtérie, lèpre et de fièvre récurrente n'ont pas permis de remplir le critère du troisième postulat de Koch-Henle ; les maladies n'ont pu être reproduites chez les hôtes expérimentaux. La prédisposition, facteur intrinsèque à l'hôte, est entrée en scène à une étape (du début) qui ébranle les postulats de Koch-Henle. "
Il faudrait traiter la cause et non le résultat. L'idée de l'anti-biosis (I'anti-vie) est une vue. L'opposé de l'anti-biosis est pro-biosis (pour la vie), c'est la médecine éclectique (utilise la forme appropriée de toute forme de médecine). Elle n'est pas « alternative », elle est éclectique. Les « médecines alternatives » sont simplement un anachronisme populaire pour éclectique. Rien de tout cela n'est nouveau et ce n'est pas une alternative.
Alors que ces microzymas ou somatides se transforment, ils deviennent de plus en plus néfastes pour le corps. Devenus indépendants, ils ne vivent plus en harmonie et en soutien de leur hôte. Alors qu ils développent leurs formes individuelles, ils créent leur propre métabolisme et leurs propres déchets, leurs acides particuliers sont néfastes aux fluides du corps et causent des douleurs et des inflammations. Finalement, ce processus « localisé » se développe au départ dans « l'organe le plus faible » du corps, puis affecte le corps tout entier.
Ce ne sont pas ces organismes qui vous rendent malade, ce sont les déchets de ce métabolisme qui le font.
Les organismes sont là en tant que résultat, non pas en tant que cause.
« En réalité, ce ne sont pas les bactéries elles-mêmes qui produisent la maladie, mais nous pensons que ce sont les composants chimiques de ces microorganismes agissant sur le métabolisme cellulaire déséquilibré du corps humain qui produisent la maladie. Nous croyons également que si le métabolisme du corps humain est en parfait équilibre, il n'est pas sujet à la maladie "
Ces processus dus à la maladie et ces changements dans le sang sont difficiles à découvrir car ils apparaissent comme des perturbations fonctionnelles (affectant les fonctions mais pas encore les structures du corps) dans les organes les plus divers comme par:
« Des maux de têtes, une pression sanguine trop basse ou trop élevée, l'incapacité à maintenir un ajustement chiropratique, une attitude démotivée, un manque d'appétit, un teint pâle, une langue chargée, des blessures dans la bouche, des boutons, des plaies, la voie enrouée, le nez qui coule, des bruits dans les oreilles, des diarrhées, une vue ou une ouie réduite (affaiblie), la dépression, une difficulté à se concentrer ou une mauvaise mémoire. »
Plus tard, cela se transforme en maladie chronique que l'on connaît si bien aujourd'hui
Des médecines basées sur ces idées existent et ont été bien étudiées en Europe depuis 150 ans. Ces médecines sont appelées médecine isopathique (iso- qui veut dire le même, -pathique veut dire maladie) par opposition à homéopathique (homéo- veut dire similaire, -pathique veut dire maladie). Une fois encore, on en sait plus sur les médicaments anciens que sur les modernes, tout simplement parce qu'ils existent depuis si longtemps. Toutefois, parce que ces scientifiques vivaient en 1800 ne veut pas dire qu'ils étaient stupides, bien au contraire si l'on considère les équipements scientifiques dont ils disposaient à l'époque.
Traiter la cause des perturbations, c'est traiter le milieu interne dans lequel ces processus dégénératifs se produisent. Cet environnement est l'océan qui entoure chaque cellule. La principale manière qu'a ce milieu à devenir acide est la consommation excessive de protéines et/ou de glucides. Les régimes à teneur élevée en protéines et en glucides à la « fast food » ont décimé des civilisations antérieures à la nôtre. Les protéines sont nécessaires et nos besoins sont de 40 g par jour. Un athlète qui s'entraîne peut consommer jusqu'à 80 g parjour. Le régime américain moyen en contient 200 g. Les protéines, la surconsommation de glucides et de sucre sont la cause du problème, et non pas les graisses et le cholestérol.
Fin de l'article dam le prochain numéro:
- L'équilibre acido-basique
- De nouveaux microbes pour des maladies anciennes
- Origine des somatides
1. How you me and rust, « Comment vous rouillez et pourrissez», Steve Denk, POB 207, Des Plains, IL, 60016-0207 USA
2. Un &Wtage divisé une histoire du schisme de lapensée médicale, vol. iv, Harris Coulter, 1994, p. 204).
3. Tiré du rapport annuel de l'Institut Smithsonian, 1944, p. 1. (institution fondée en 1846 à Washington
D.C. par un lègs de James Smithson et dont les branches couvre un vaste panorama de domaines dans les arts et les sciences).
Nous sommes, à quelques détails près, en accord avec ces deux médecins.
Les Présidents des Européens Progressistes. Site: http://daudon.free.fr
Lorsque j'ai découvert le pléomorphisme, il y a à peu près 15 ans, en tant que médecin éduqué aux USA, (22 ans à l'école de médecine), cela a été un choc pofond dont je ne me suis sincèrement pas encore remis. Je suis choqué que l'on nous ait tant menti ... La Biologie que nous avions tous apprise à récole de médecine est erronée et cela affecte tous les aspects de la médecine, de haut en bas.
À l'école de médecine, en règle générale, ce que nous étudions était mort. De temps en temps, on étudiait des choses vivantes, tels le sang frais et l'urine. Lorsque ces substances vivantes étaient observées, sous une immersion d'huile, avec un microscope puissant, on pouvait observer en plus des globules blancs et rouges des « petits points » partout qui se lovent sur eux-mêmes, tournent et bondissent en un mouvement incessant. Leur diamètre est de 0,01 pin (1/100.000 mm) tandis qu'un globule rouge a un diamètre de 6-9 pin. (Découverte du Professeur Béchamp).
On nous expliquait que ces « petits points » n'étaient pas là ; qu'ils étaient faits de poussière ou de gros globules appelés chyIomicrons ou encore que c'étaient des « atomes rebondissant les uns sur les autres » (mouvement Brownien).
Ces « petits points » sont le sujet de cette « nouvelle » microbiologie. Le pléomorphisme ou polymorphisme, découvert début 1800, dit que les « germes » à l'origine des maladies chroniques et dégénératives viennent de l’intérieur du corps, et plus précisément de «petits points » que l'on peut voir dans le sang vivant, avec n'importe quel microscope. Ce sont les Colloïdes de la vie ou protits, somatides ou microzymas. Louis Pasteur (1822-1895) est à l'origine de la dichotomie ou division dans la médecine, qui de nos jours existe en tant que « médecine alternative ». Mais, elle n'est pas « alternative », c'est simplement la vérité.
Photo : Les Dr Myers (au fond) et Robert Miller (devant).
La « nouvelle » microbiologie est la synthèse de deux points de vue très divergents, le Mono-morphisme- (mono- même, morph- forme) maintenu par la médecine acceptée d'aujourd'hui et le Pléomorphisme pleo - changer, morph- forme) issu du milieu des années 1800.
D'un côté, la médecine moderne affirme qu'un germe particulier reste toujours un germe et ne changera jamais. Le monomorphisme se résume aux postulats de Koch-Henle qui vers 1880 énonce que:
1. Les microorganismes sont présents dans tous les cas de la maladie et dans des circonstances qui justifient le cours clinique de la maladie et sa pathologie associée.
2. Le microorganisme n'apparaît dans aucune autre maladie comme parasite fortuit et non pathogène
3. Après avoir été isolé de son hôte et cultivé en dehors de celui-ci, ce microorganisme peut engendrer la même maladie dans un organisme sain.
À l'opposé, le pléomorphisme maintient l'idée que le microbe peut changer de forme (de forme virale en forme bactérienne, puis levuriforme ainsi que de nombreuses formes intermédiaires). Il est issu des travaux d'Antoine Béchamp et de Louis Pasteur accomplis vers 1840 sur la fermentation et sur les générations spontanées.
La contradiction entre ces deux points de vue, chaudement débattue vers 1800, n'a toujours pas été résolue. Elle a cessé quand la FDA (Food and Drug Administration: autorité pour la mise sur le marché de la nourriture et des médicaments) a été créée aux États-Unis entre 1920 et 1930. Tout ce qui était antérieur à sa création, c'est à-dire d'origine européenne, a tout simplement été éliminé.
Vers 1850, Antoine Béchamp (1816-1908) découvre, dans le sang de tous les êtres vivants, ces « petits points », qu'il appelle microzymas. Plus tard appelés profits en Allemagne par Günter Enderlein (1872-1968) et somatides par le français Gaston Naessens né en 1924.
Les momies d'Égypte sont entièrernent composées de ces « petits points ». Mélangez la poussière de ces momies à de l'eau et vous observerez les microzymas toujours se lovant, tournant sautillant, en mouvement aujourd'hui comme hier.
Louis Pasteur "prit" (euphémisme) les idées de Béchamp, les transforma et l'industrie pétro-pharmaceutique d'aujourd'hui était née.
Le concept de génération spontanée lui-même n'a jamais été scientifiquement réfuté. Avec le pléomorphisme, ils ont tous deux été simplement balayés sous le tapis par les religions et le darwinisme et C'est toujours le cas aujourd'hui. Tout ce qui est autre est encore du domaine de la sorcellerie ! Si cette controverse n'a toujours pas été résolue à ce jour est, elle me semble due à une perversion de la connaissance comparable à celle dont Copernic fit les frais lorsqu'il révéla que la terre tournait autour du soleil.
Omne vivum ex vivo
« Chaque cellule provient de la division d'une cellule préexistante. » D'où provient la première cellule ? Elle vient d’Adam, celles d’Adam et Eve. Point final. Pas de cellules antérieures. Vous voyez à quel point cela devient compliqué ?
Omnis cellula e cellula
« Une cellule est toujours une cellule. » Voici la la loi plus basique de la biologie moderne, sacro-sainte et « divine » qui ne doit pas être remise en cause. La biologie moderne est fondée sur ce précepte. Cependant, ses « fondations » sont en train de s'effriter.
La médecine acceptée d'aujourd'hui (pratiquement tout docteur en médecine aux États-Unis) n’a aucune idée et jamais entendu parler de ce dont on va parler maintenant. La librairie Nationale du Congrès à Washington D. C. supposée contenir tout ce qui a été publié possédait des matériaux sur ces sujets - tout a été effacé et a disparu. L'Université de Pittsburgh, Ecole de Médecine où j'ai étudié possédait des livres d'Antoine Béchamp et de Günther Enderliein (voir ci-dessous) qui ont disparu également !!!!
Tout microorganisme, toute chose vivante provient de ces " petits points » et retournent à ces « petits points ». Ils ne meurent jamais. La cellule n’est pas la plus petite chose vivante, ce sont ces petits points qui le sont.
Appelés protits en Allemagne, somatides et Microzymas en France, ils n'ont pas de nom en langue anglaise. N'est-ce pas étrange ?
Vues Françaises et Allemandes d'antan sur le pléornorphisme
Pour Béchamp, Günter Enderliein. et Naessens, ces « petits points » sont les colloïdes de la vie ou microzymas, protits, sornatides et la cellule n n'est pas la plus petite chose vivante.
Photo 2 :Sang vivant d'un patient en bonne santé. Les petits points sont les microzymas, ils sont en mouvement constant. Les gros cercles sont les globules rouges.
Aujourd'hui même, la science moderne découvre des bactéries et autres dans les tissus malades des maladies chroniques et dégénératives, d'où l'importance de ces idées d'antan. Des formes microbiennes sont trouvées dans l'ulcère de l'estomac, l'artériosclérose, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, l'arthrite...et beaucoup d'autres maladies. La science moderne, pour en expliquer l'origine, dit qu'ils pénètrent dans notre organisme par les gencives lors du brossage des dents !! Ces bactéries sont là en tant que résultat et non en tant que cause. Il est grand temps que chacun comprenne ces concepts et que la science moderne avec ses équipements de pointe commence, enfin, à prendre ces idées au sérieux pour abandonner sa façon anti-bio vivante, (antibiotique) de penser.
Les microzymas
Ces microorganismes déploient leur action nettoyante. Par la décomposition ils nettoient les parties du corps les plus acides, les plus oxydées et les plus chargées en métaux toxiques. Voilà ce qu'est une maladie chronique et dégénérative.
Toutes les maladies dégénératives commencent par un terrain relativement acide à l'endroit le plus faible du corps. Cette acidité relative des tissus indique une fàible disponibilité locale d'oxygène, les tissus passent alors à un mode métabolique anaérobie (n'utilisant pas l'oxygène de façon efficace), il y a oxydation et vieillissement.
Ces zones sont de véritables forteresses dans l'organisme où nos propres cellules immunitaires deviennent inefficaces et les germes anaérobies, les virus et les levures se multiplient et peuvent se développer sans être dérangés. Cela équivaut à pourrir. Les cancers sont pleins de microorganismes.
Les organismes pléomorphiques sont des micro-organismes qui changent de forme me comme nous l'avons déjà dit; la forme virale se transforme en bactéries puis finalement en levures qui décomposent les corps lorsque nous mourrons. Plus tard, les levures se recomposent en microzymas, forme dont ils provenaient, ceux que l'on trouve dans les momies d'Egypte.
Les organismes pléomorphiques évoluent à partir de « petits points » ou microzymas en une forme pathologique appelée virus et bactéries de façon à nettoyer les vieux tissus oxydés qui se détériorent. On trouve des bactéries dans les tissus malades de toutes les maladies chroniques et dégénératives. La médecine moderne les traite avec des antibiotiques et des vaccins qui ne sont absolument pas nécessaires. Ces bactéries étant le résultat et non la cause. Même si tous les microorganismes changent de forme, dans les laboratoires médicaux modernes ces formes restent figées, isolées à un pH, une température, une source de nourriture, etc. Le pH est l'indicateur de l'acidité : pH 1 étant le plus acide, pH 14 le plus basique alors que l'eau pure a un pH de 7 ou pH neutre.
Selon la science actuelle (dans tout laboratoire moderne) les microorganismes sont cultivés dans les mêmes conditions pour un organisme particulier. Le milieu de culture est similaire, la teneur en minéraux dans le milieu, etc., tout est toujours identique.
Dans ces conditions, un streptocoque sera toujours un streptocoque et un microbe de la tuberculose restera toujours un bacille de la tuberculose. Mais changer une variante (ce qu'ils ne font jamais), le pH par exemple, et le germe se transformera en autre chose, plus ou moins dangereuse pour le patient (c'est toujours génétiquement un streptocoque, mais sous une forme différente). Les germes syphilitiques qu’on cultivait à l'école de médecine, devenaient fongiques après quelques jours. Nous les jetions, «contamination » disaient-ils. (Qui le disait?)
Historiquement, la méthode principale pour observer ces « petits points » est l'observation du sang frais et vivant au microscope à fond noir ou lumière rasante (DF Dark Field). On ne les observe pas dans le sang mort et coloré.
Photo 3 : Sang d'un patient très malade. Les petits points blancs sont les somatides. Les filaments représentent la forme en bâtonnet où les somatides se sont reliées ensemble. Les cercles en forme d'anneaux sont les globules rouges et les masses blanches au milieu sont des conglomérats de tout cela.
Le microscope à fond noir est uniquement utilisé dans les laboratoires modernes pour voir les germes de la syphilis qui sont si petits et difficiles à observer.
Lorsqu'il y a déséquilibre et que le liquide interstitiel (extra-cellulaire) devient acide, toxique et pollué, les petits points » ou microzymas » changent alors de forme et deviennent virus, puis bactéries, et finalement levures (chaque étape étant plus hostile aux cellules des tissus). Ceux-ci nettoient les détritus, les cellules mortes, les toxines et autres déchets, résultat d'une intoxination. C'est le rôle des bactéries et des microbes.
Les virus, bactéries et champignons sont le résultat, et non pas la cause de la maladie !
Louis Pasteur s'est trompé!
L'idée que la bactérie est la cause de la maladie est erronée !
Les « microbes » sont le résultat et non pas la cause de la maladie. Cette idée fausse affecte tous les aspects de la médecine.
Voilà pourquoi ceci est une « nouvelle » biologie.
« Pasteur a eu le talent d'enseigner la plus grande absurdité et de réussir à la faire croire. Il est maintenant notoire qu'il a même falsifié les résultats de ses recherches lorsqu'elles ne démontraient pas les résultats qu'il désirait obtenir. Il était également prêt à plagier les résultats des autres. La fraude de la vaccination est basée sur des "recherchée manipulées. Des générations entières de chercheurs l'ont suivi. La "médecine scientifique" moderne est devenue une collection de théories, prouvées erronées, depuis longtemps (la théorie de l’obstruction et du caillot sanguin en tant que cause des maladies coronaires du coeur, la théorie des microbes et des infections, la théorie de la cellule unique à l'origine du cancer, etc. »
On dit que Pasteur, sur son lit de mort, a avoué qu'il avait tort au sujet de sa « théorie des microbes ». Il dit alors que:
Ce ne sont pas les microbes qui créent le problème, c'est Le « milieu interne » qui permet aux microbes de se développer est à l'origine du problème.
Vous n'attrapez pas froid du fait de côtoyer des gens qui toussent et éternuent autour de vous, c'est vous qui attrapez froid quand votre milieu interne est malade (acide, oxydé, pollué) et/ou si vous êtes stressés ou fatigués. Vous succombez et le soi-disant rhume d'origine virale vient à l' intérieur du corps, seulement 10 % des maladies sont « attrapées » de l'extérieur.
« En fait, en 1880 pour prouver cela et pour invalider le troisième postulat de Koch, (cette bataille dure depuis longtemps) l'hygiéniste Max Pettenkoffer, était si peu convaincu que le microbe peut à tout moment causer sa maladie "spécifique" chez n’importe quel hôte qu'il a bu un centimètre cube de culture fraîche de choléra asiatique sans aucun effet adverse, en dehors d'évacuer une grande quantité de choléra vibrion (vibrion = nom du bacille = nom du bacille spécifique au choléra) dans ses selles (certains de ses étudiants ont répété cette expérience et n'ont souffert que d'une diarrhée bénigne), ceci démontre que la plupart des maladies, la morbidité du choléra et sa mortalité, reflètent le niveau de résistance de l'hôte. Des expériences similaires d'injection réelle de typhoïde, diphtérie, lèpre et de fièvre récurrente n'ont pas permis de remplir le critère du troisième postulat de Koch-Henle ; les maladies n'ont pu être reproduites chez les hôtes expérimentaux. La prédisposition, facteur intrinsèque à l'hôte, est entrée en scène à une étape (du début) qui ébranle les postulats de Koch-Henle. "
Il faudrait traiter la cause et non le résultat. L'idée de l'anti-biosis (I'anti-vie) est une vue. L'opposé de l'anti-biosis est pro-biosis (pour la vie), c'est la médecine éclectique (utilise la forme appropriée de toute forme de médecine). Elle n'est pas « alternative », elle est éclectique. Les « médecines alternatives » sont simplement un anachronisme populaire pour éclectique. Rien de tout cela n'est nouveau et ce n'est pas une alternative.
Alors que ces microzymas ou somatides se transforment, ils deviennent de plus en plus néfastes pour le corps. Devenus indépendants, ils ne vivent plus en harmonie et en soutien de leur hôte. Alors qu ils développent leurs formes individuelles, ils créent leur propre métabolisme et leurs propres déchets, leurs acides particuliers sont néfastes aux fluides du corps et causent des douleurs et des inflammations. Finalement, ce processus « localisé » se développe au départ dans « l'organe le plus faible » du corps, puis affecte le corps tout entier.
Ce ne sont pas ces organismes qui vous rendent malade, ce sont les déchets de ce métabolisme qui le font.
Les organismes sont là en tant que résultat, non pas en tant que cause.
« En réalité, ce ne sont pas les bactéries elles-mêmes qui produisent la maladie, mais nous pensons que ce sont les composants chimiques de ces microorganismes agissant sur le métabolisme cellulaire déséquilibré du corps humain qui produisent la maladie. Nous croyons également que si le métabolisme du corps humain est en parfait équilibre, il n'est pas sujet à la maladie "
Ces processus dus à la maladie et ces changements dans le sang sont difficiles à découvrir car ils apparaissent comme des perturbations fonctionnelles (affectant les fonctions mais pas encore les structures du corps) dans les organes les plus divers comme par:
« Des maux de têtes, une pression sanguine trop basse ou trop élevée, l'incapacité à maintenir un ajustement chiropratique, une attitude démotivée, un manque d'appétit, un teint pâle, une langue chargée, des blessures dans la bouche, des boutons, des plaies, la voie enrouée, le nez qui coule, des bruits dans les oreilles, des diarrhées, une vue ou une ouie réduite (affaiblie), la dépression, une difficulté à se concentrer ou une mauvaise mémoire. »
Plus tard, cela se transforme en maladie chronique que l'on connaît si bien aujourd'hui
Des médecines basées sur ces idées existent et ont été bien étudiées en Europe depuis 150 ans. Ces médecines sont appelées médecine isopathique (iso- qui veut dire le même, -pathique veut dire maladie) par opposition à homéopathique (homéo- veut dire similaire, -pathique veut dire maladie). Une fois encore, on en sait plus sur les médicaments anciens que sur les modernes, tout simplement parce qu'ils existent depuis si longtemps. Toutefois, parce que ces scientifiques vivaient en 1800 ne veut pas dire qu'ils étaient stupides, bien au contraire si l'on considère les équipements scientifiques dont ils disposaient à l'époque.
Traiter la cause des perturbations, c'est traiter le milieu interne dans lequel ces processus dégénératifs se produisent. Cet environnement est l'océan qui entoure chaque cellule. La principale manière qu'a ce milieu à devenir acide est la consommation excessive de protéines et/ou de glucides. Les régimes à teneur élevée en protéines et en glucides à la « fast food » ont décimé des civilisations antérieures à la nôtre. Les protéines sont nécessaires et nos besoins sont de 40 g par jour. Un athlète qui s'entraîne peut consommer jusqu'à 80 g parjour. Le régime américain moyen en contient 200 g. Les protéines, la surconsommation de glucides et de sucre sont la cause du problème, et non pas les graisses et le cholestérol.
Fin de l'article dam le prochain numéro:
- L'équilibre acido-basique
- De nouveaux microbes pour des maladies anciennes
- Origine des somatides
1. How you me and rust, « Comment vous rouillez et pourrissez», Steve Denk, POB 207, Des Plains, IL, 60016-0207 USA
2. Un &Wtage divisé une histoire du schisme de lapensée médicale, vol. iv, Harris Coulter, 1994, p. 204).
3. Tiré du rapport annuel de l'Institut Smithsonian, 1944, p. 1. (institution fondée en 1846 à Washington
D.C. par un lègs de James Smithson et dont les branches couvre un vaste panorama de domaines dans les arts et les sciences).
Nous sommes, à quelques détails près, en accord avec ces deux médecins.
Les Présidents des Européens Progressistes. Site: http://daudon.free.fr
LES RAVAGES DES METAUX LOURDS
POURQUOI DES METAUX LOURDS DANS NOTRE ORGANISME ?
Pour la simple et bonne raison que des pollutions diverses encrassent notre organisme par différentes infiltrations.
1. Les amalgames dentaires contenant du mercure.
2. Les vaccins dont les adjuvants contiennent mercure et/ou de l’ aluminium.
3. Les diverses pollutions dont les cabinets dentaires, les résidus du tannage du cuir, certains médicaments, les gaz d’échappement, la combustion du charbon, les pesticides, etc. .
LES POURCENTAGES DE METAUX LOURDS DIFFERENT DE 1 à 500 ET MEME 1.000 ENTRE NOS ANCETRES ET NOUS-MEMES. (Etude scientifique sur squelettes).
QUELS ROLES JOUENT CES METAUX LOURDS DANS NOTRE CORPS ?
1. Ils jouent un rôle primordial dans toutes les maladies chroniques ( maladie de Crohn, maladie de Dupuytren, scléroses en plaques, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, sclérose latérale amyotrophique, certaines tumeurs et lymphomes, autisme, maux de tête, migraines, neuropathies, hyperactivité. La plupart de ces maladies lèsent le système nerveux.
2. Ils conduisent à des maladies chroniques. Les infections se logent là où se trouvent les dépôts de métaux lourds. (mycoses, infections bactériennes à mycoplasmes et virales).
LA PLUS GRANDE ERREUR DE LA MEDECINE EST DE TRAITER L’INFECTION SANS ELIMINER LES METAUX LOURDS.
L’action des métaux lourds et des gaz d’échappement, par exemple, provoquent un effet de synergie (potentialité de l’action de 2 éléments). Dans ce système le rapport 1/1 correspond à 1.000 en toxicologie.
Des recherches effectuées en laboratoire sur plusieurs sujets mirent en évidence plus de 70 produits chimiques sur toutes les personnes soumises à l’examen, sans exception. La plupart étaient en bonne santé.
VU L’IMPORTANCE SIGNIFICATIVE DU MERCURE DANS L’ACCUMULATION DES TOXINES LORSQUE CE DERNIER EST EVACUE LES AUTRE TOXINES S’EVACUENT D’ELLES-MEMES.
COMMENT DEBARASSER LE CORPS DES METAUX LOURDS ?
Le problème n’est pas évident.
Tout d’abord, il faut éloigner le patient de la source de contamination ou éloigner cette source du patient.
Si l’agent contaminant est le mercure il est nécessaire d’enlever les amalgames avec d’infinis précautions. Le remplacement des amalgames par produits alternatifs est soumis à des problèmes secondaires. Il existe les obturations en matière synthétique, les inlays confectionnés en laboratoire, la céramique, les obturations avec de l’or.
LES MOYENS POUR LA SORTIE DES METAUX LOURDS.
L’une des méthodes du Dr Klinghardt, la plus efficace, semble être la prise de Chlorella, 24 comprimés 4 fois par jour, auxquels on ajoute, par synergie, sinon le métal ne s’évacue pas, l’ail des ours et la coriandre. Au cour de ces 6 semaines la quantité de neurotoxines qui circule diminue de 90%. On observe alors des améliorations incroyables.
La seconde méthode, tout aussi naturelle, apparaît être le petit lait de chèvre. Les acides aminés contenus dans le liquide des fromages, (leucine, valine et isoleucine) ont un effet particulièrement stimulant pour jeter les importuns. Les grandes quantités de substances minérales et d’oligo-éléments qui s’y trouvent sous forme naturelle soutiennent l’élimination. Il y a donc action synergisante.
L’administration de vitamine C naturelle (acérola) utilisée en alternance ou en même temps a un effet complémentaire. La vitamine C peut réduire les ions de mercure inorganique et organique en les transformant en mercure élémentaire.
D’autres méthodes existent et nous vous prions de vous reporter au petit livre du Dr Joachim Mutter « L’amalgame dentaire , un risque pour l’humanité ». Edts Alternatif. Nous rappelons que nous ne pouvons que vous donner des indications et qu’il est de votre devoir d’avertir vos praticiens afin qu’ils se recyclent et puissent, avec vous, prendre en charge la maladie.
Il est à noter qu’il est utile de faire un examen de laboratoire avant le traitement, sur des racines de vos cheveux, et d’en faire un autre après traitement qui dure environ 6 semaines.
NEUROTOXIQUES ET PRODUITS CARCINOGENES
Puisque les maladies chroniques sont occasionnées par les produits que nous ingérons, d’une manière ou d’une autre, il est utile de savoir :
Que tous les poissons contiennent du mercure. Plus le poisson est grand, plus il est contaminé. Ceci n’est pas contestable. En effet, nous savons que beaucoup de produits phytosanitaires contiennent des métaux lourds. Bien que cela puisse paraître incroyable nous n’avons pas besoin de mercure ou de métaux lourds dans ces poisons pour faire disparaître le parasitisme des cultures. Un apport de sulfate de magnésie sur terre calcaire, de dolomie sur terrains acides et du compost sain réduisent de façon drastique le parasitisme. (environ 2/3). Les oiseaux, les prédateurs, s’ils ne sont pas détruits par les engrais et herbicides font le reste. D’autre part il est parfaitement démontré que, même si nous ne sommes pas victimes d’un manque radical de vitamines, nous sommes fortement carencés puisque les pesticides bloquent ces dernières. Sans un apport correct en nutriment, nous pouvons être victimes de maladies coriaces par manque de défenses immunitaires. Il faut vaincre ce cercle vicieux, ceci nous appartient. ( Cancers, maladies cardio-vasculaires).
Que tous les ruminants, ou peut s’en faut, absorbent une bonne part des pesticides disséminés dans la nature. Certains produits sont des carcinogènes, d’autres des neurotoxiques. Inutile d’expliquer davantage vous savez à quoi nous sommes promis si nous ne réagissons pas.
LE CYCLE DES NEUROTOXIQUES
Les neurotoxiques sont filtrés en permanence par le foie. Elles sont transportées par la bile dans l’intestin. 100% de ces dernières sont réabsorbées et c’est un cycle sans fin maintenant le corps dans la maladie chronique. On arrive grâce aux méthodes citées plus haut, grâce à l’absorption de produits à interrompre ce cycle. Il s’ensuit des revirements spectaculaires.
QUELS SONT LES SIGNES PRINCIPAUX D’EMPOISONNEMENT AU MERCURE ?
Ø Douleurs intenses, particulièrement au niveau des reins et de la colonne vertébrale.
Ø Paresthésie (fourmillements, picotements)
Ø Insomnies
Ø Dépression
Ø Troubles des sens ( auditif, odorat, du goût, parodontoses).
Ø Troubles de la mémoire (oubli d’une pièce à l’autre de l’objet cherché).
Il est utile de savoir que le nerf olfactif conduit le mercure directement dans le système lymbique, foyer des émotions. Il s’ensuit de nombreux troubles, dont la perte d’assurance, émotions décuplées, dépressions ,dépendances. Le méthylmercure est produit à partir des bactéries contenues dans la bouche et dans l’intestin. Il est 50 fois plus toxique. Sachant qu’un amalgame peut peser plus d’un gramme et que le mercure perd la moitié du mercure qu’il contient en 7 ans on peut s’imaginer l’importance des ravages. Les enfants de mère empoisonnées au mercure, présentent de gros dommages accentués par les vaccinations qu’ils reçoivent au cours de l’enfance .
SI TOUT EST EMPOISONNE OU PRESQUE, QUELLE DOIT ETRE NOTRE ATTITUDE ?
En attendant que nos actions conjuguées fassent faire un volte-face aux pollueurs, que nous puissions dépolluer la terre et qu’il ne reste plus une seule décharge même contrôlée, mais bien que tout soit recyclé avec l’abandon de la majeure partie des produits chimiques, il nous est conseillé de balayer devant notre porte en mettant un programme de désintoxication pour nous-mêmes.
NE DOIT-ON QU’EXTRAIRE LES METAUX LOURDS DU CORPS POUR ETRE GUERI ?
Les travaux de Kinghardt et de Patricia Klein, spécialisés dans les maladies neurologiques des enfants et des adultes révèlent que l’on procède toujours de la même façon. On fait sortir les métaux lourds, puis on réajuste les acides gras.
Drainer par l’homéopathie est une illusion.
POURQUOI ?
Parce que les dommages provoqués par les vaccinations, (cas de l’autisme, de l’épilepsie, pour les enfants) on parle de 33 vaccinations en Amérique, 22 en France, atteignent les enzymes du métabolisme des acides gras. Ces enzymes sont endommagés en profondeur. Il faut alors administrer suffisamment d’acides gras polyinsaturés pour que les enzymes affaiblis emmagasinent les graisses indispensables au bon fonctionnement du système nerveux.
PEUT-ON REPARER LE CERVEAU ? PEUT-ON ATTENDRE DES AMELIORATIONS ?
La réponse et les résultats de Klinghardt et de Klein sont sans équivoque. C’est oui !
Il est nécessaire cependant de redonner au cerveau les composants dont il a besoin, éliminer ceux qui lui sont étrangers.
Il ne faut pas oublier qu’un corps, les cellules plus particulièrement, dans ce cas les cellules nerveuses savent fort bien fonctionner si l’on peut reconstruire, grâce aux lipides, tout le système de transmission d’information et d’élimination des déchets.
DES ELEMENTS DE BIOLOGIE POUR MIEUX COMPRENDRE.
La mitochondrie est l’organite intracellulaire produisant notre énergie. Mais ce n’est pas là que s’opèrent les fonctions de désintoxication de la cellule.
Celui qui gère tout cela est le peroxisome. C’est dans ce dernier que sont brûlées les graisses. Dans celui-ci, lors d’empoisonnements au mercure, de longues chaînes d’acide gras se forment et ne peuvent plus être brûlées. Elles s’agglutinent à l’intérieur de la cellule et les peroxisomes sont incapables de fonctionner par manque de nutriments et d’informations . Le mercure détruit les microtubules (protéine enzyme nommée GTP). Par suite l’intérieur de la cellule non ravitaillée ne peut plus travailler.
Il est donc essentiel de virer les métaux lourds et de redonner aux cellules nerveuses les éléments nobles pour reconstruire leur système d’alimentation et d’information (reconnaissance des éléments étrangers).
DES ELEMENTS DE NUTRITION POUR REPARER LES CELLULES NERVEUSES
Il faut également savoir que la vitamine F dénomme un groupe de substances qui sont toutes des acides gras polyinsaturés. Cette vitamine est indispensable à la synthèse des prostaglandines et de plusieurs acides aminés.
Ils s’appellent acides linoléniques, linoléiques, arachidoniques. L’organisme humain peut dériver l’acide arachidonique – très important pour les fonctions cérébrales - de l’acide linoléique, contenu dans les huiles vierges de tournesol, lin, sésame, carthame, chanvre.
Une intoxication aux métaux lourds endommage les lipides de la membrane cellulaire. Si l’on ne répare pas ces altérations par des apports conséquents de ces acides gras les patients ne peuvent pas voir leur état s’améliorer nettement.
Abandonner à tout jamais les huiles qui ne sont pas de première pression à froid.
COMMENT BENEFICIER DU BIENFAIT DES HUILES POUR LA CELLULE NERVEUSE ?
Pour bénéficier des bienfaits des huiles il faut pouvoir les digérer. La digestion des lipides commence dans le pancréas. Il faut ensuite des acides biliaires dans l’intestin grêle pour émulsionner les graisses, les rendre solubles pour être assimilées. L’absorption des graisses est un processus complexe surtout pour les personnes intoxiquées chez qui le pancréas et la vésicule biliaire ne fonctionnent pas correctement.
La bile est importante car elle présente deux particularités dans le contexte présent :
Ø Elimination de toutes les toxines de l’environnement et d’une partie des métaux lourds.
Ø Absorption des huiles qui contribuent à réparer les lésions cérébrales et neurologiques. Dans la membrane cellulaire, les phospholipides accueillent les acides gras.
Lors d’une désintoxication il faut à tout prix éviter les hydrates de carbone. Par une consommation trop importante d’hydrate, il y a production d’une enzyme qui gêne les cellules nerveuses perdant les acides gras qu’elles contiennent. Les résultats sont impressionnants lorsque les patients arrêtent de consommer des produits concentrés en hydrate de carbone ( pain, gâteaux, pâtes, riz, céréales).
Employer un régime simple, composé de légumes, d’oléagineux, de fruits, des œufs, un peu de viande et de poisson.
N-B La cassette intitulée « Les métaux lourds et leurs effets sur la santé » a été enregistrée le 31 0ctobre 2001. Elle peut être commandée auprès de la pharmacie suisse du Dr Kälin en téléphonant au 00.41.55.418.40.70. Apotheke Paracelsus - Hauptstrasse 23, Eisiedeln 8840 - Suisse -
Nous pouvons vous adresser un document sur l'avancée de la recherche cellulaire dans la lutte contre le Cancer. Travaux de l'Equipe du Dr Rath. Nous adresser une enveloppe timbrée à votre adresse (lettre de plus de 20 gr). Plusieurs dizaines de patients de votre département ont demandé les documents.
Pour la simple et bonne raison que des pollutions diverses encrassent notre organisme par différentes infiltrations.
1. Les amalgames dentaires contenant du mercure.
2. Les vaccins dont les adjuvants contiennent mercure et/ou de l’ aluminium.
3. Les diverses pollutions dont les cabinets dentaires, les résidus du tannage du cuir, certains médicaments, les gaz d’échappement, la combustion du charbon, les pesticides, etc. .
LES POURCENTAGES DE METAUX LOURDS DIFFERENT DE 1 à 500 ET MEME 1.000 ENTRE NOS ANCETRES ET NOUS-MEMES. (Etude scientifique sur squelettes).
QUELS ROLES JOUENT CES METAUX LOURDS DANS NOTRE CORPS ?
1. Ils jouent un rôle primordial dans toutes les maladies chroniques ( maladie de Crohn, maladie de Dupuytren, scléroses en plaques, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, sclérose latérale amyotrophique, certaines tumeurs et lymphomes, autisme, maux de tête, migraines, neuropathies, hyperactivité. La plupart de ces maladies lèsent le système nerveux.
2. Ils conduisent à des maladies chroniques. Les infections se logent là où se trouvent les dépôts de métaux lourds. (mycoses, infections bactériennes à mycoplasmes et virales).
LA PLUS GRANDE ERREUR DE LA MEDECINE EST DE TRAITER L’INFECTION SANS ELIMINER LES METAUX LOURDS.
L’action des métaux lourds et des gaz d’échappement, par exemple, provoquent un effet de synergie (potentialité de l’action de 2 éléments). Dans ce système le rapport 1/1 correspond à 1.000 en toxicologie.
Des recherches effectuées en laboratoire sur plusieurs sujets mirent en évidence plus de 70 produits chimiques sur toutes les personnes soumises à l’examen, sans exception. La plupart étaient en bonne santé.
VU L’IMPORTANCE SIGNIFICATIVE DU MERCURE DANS L’ACCUMULATION DES TOXINES LORSQUE CE DERNIER EST EVACUE LES AUTRE TOXINES S’EVACUENT D’ELLES-MEMES.
COMMENT DEBARASSER LE CORPS DES METAUX LOURDS ?
Le problème n’est pas évident.
Tout d’abord, il faut éloigner le patient de la source de contamination ou éloigner cette source du patient.
Si l’agent contaminant est le mercure il est nécessaire d’enlever les amalgames avec d’infinis précautions. Le remplacement des amalgames par produits alternatifs est soumis à des problèmes secondaires. Il existe les obturations en matière synthétique, les inlays confectionnés en laboratoire, la céramique, les obturations avec de l’or.
LES MOYENS POUR LA SORTIE DES METAUX LOURDS.
L’une des méthodes du Dr Klinghardt, la plus efficace, semble être la prise de Chlorella, 24 comprimés 4 fois par jour, auxquels on ajoute, par synergie, sinon le métal ne s’évacue pas, l’ail des ours et la coriandre. Au cour de ces 6 semaines la quantité de neurotoxines qui circule diminue de 90%. On observe alors des améliorations incroyables.
La seconde méthode, tout aussi naturelle, apparaît être le petit lait de chèvre. Les acides aminés contenus dans le liquide des fromages, (leucine, valine et isoleucine) ont un effet particulièrement stimulant pour jeter les importuns. Les grandes quantités de substances minérales et d’oligo-éléments qui s’y trouvent sous forme naturelle soutiennent l’élimination. Il y a donc action synergisante.
L’administration de vitamine C naturelle (acérola) utilisée en alternance ou en même temps a un effet complémentaire. La vitamine C peut réduire les ions de mercure inorganique et organique en les transformant en mercure élémentaire.
D’autres méthodes existent et nous vous prions de vous reporter au petit livre du Dr Joachim Mutter « L’amalgame dentaire , un risque pour l’humanité ». Edts Alternatif. Nous rappelons que nous ne pouvons que vous donner des indications et qu’il est de votre devoir d’avertir vos praticiens afin qu’ils se recyclent et puissent, avec vous, prendre en charge la maladie.
Il est à noter qu’il est utile de faire un examen de laboratoire avant le traitement, sur des racines de vos cheveux, et d’en faire un autre après traitement qui dure environ 6 semaines.
NEUROTOXIQUES ET PRODUITS CARCINOGENES
Puisque les maladies chroniques sont occasionnées par les produits que nous ingérons, d’une manière ou d’une autre, il est utile de savoir :
Que tous les poissons contiennent du mercure. Plus le poisson est grand, plus il est contaminé. Ceci n’est pas contestable. En effet, nous savons que beaucoup de produits phytosanitaires contiennent des métaux lourds. Bien que cela puisse paraître incroyable nous n’avons pas besoin de mercure ou de métaux lourds dans ces poisons pour faire disparaître le parasitisme des cultures. Un apport de sulfate de magnésie sur terre calcaire, de dolomie sur terrains acides et du compost sain réduisent de façon drastique le parasitisme. (environ 2/3). Les oiseaux, les prédateurs, s’ils ne sont pas détruits par les engrais et herbicides font le reste. D’autre part il est parfaitement démontré que, même si nous ne sommes pas victimes d’un manque radical de vitamines, nous sommes fortement carencés puisque les pesticides bloquent ces dernières. Sans un apport correct en nutriment, nous pouvons être victimes de maladies coriaces par manque de défenses immunitaires. Il faut vaincre ce cercle vicieux, ceci nous appartient. ( Cancers, maladies cardio-vasculaires).
Que tous les ruminants, ou peut s’en faut, absorbent une bonne part des pesticides disséminés dans la nature. Certains produits sont des carcinogènes, d’autres des neurotoxiques. Inutile d’expliquer davantage vous savez à quoi nous sommes promis si nous ne réagissons pas.
LE CYCLE DES NEUROTOXIQUES
Les neurotoxiques sont filtrés en permanence par le foie. Elles sont transportées par la bile dans l’intestin. 100% de ces dernières sont réabsorbées et c’est un cycle sans fin maintenant le corps dans la maladie chronique. On arrive grâce aux méthodes citées plus haut, grâce à l’absorption de produits à interrompre ce cycle. Il s’ensuit des revirements spectaculaires.
QUELS SONT LES SIGNES PRINCIPAUX D’EMPOISONNEMENT AU MERCURE ?
Ø Douleurs intenses, particulièrement au niveau des reins et de la colonne vertébrale.
Ø Paresthésie (fourmillements, picotements)
Ø Insomnies
Ø Dépression
Ø Troubles des sens ( auditif, odorat, du goût, parodontoses).
Ø Troubles de la mémoire (oubli d’une pièce à l’autre de l’objet cherché).
Il est utile de savoir que le nerf olfactif conduit le mercure directement dans le système lymbique, foyer des émotions. Il s’ensuit de nombreux troubles, dont la perte d’assurance, émotions décuplées, dépressions ,dépendances. Le méthylmercure est produit à partir des bactéries contenues dans la bouche et dans l’intestin. Il est 50 fois plus toxique. Sachant qu’un amalgame peut peser plus d’un gramme et que le mercure perd la moitié du mercure qu’il contient en 7 ans on peut s’imaginer l’importance des ravages. Les enfants de mère empoisonnées au mercure, présentent de gros dommages accentués par les vaccinations qu’ils reçoivent au cours de l’enfance .
SI TOUT EST EMPOISONNE OU PRESQUE, QUELLE DOIT ETRE NOTRE ATTITUDE ?
En attendant que nos actions conjuguées fassent faire un volte-face aux pollueurs, que nous puissions dépolluer la terre et qu’il ne reste plus une seule décharge même contrôlée, mais bien que tout soit recyclé avec l’abandon de la majeure partie des produits chimiques, il nous est conseillé de balayer devant notre porte en mettant un programme de désintoxication pour nous-mêmes.
NE DOIT-ON QU’EXTRAIRE LES METAUX LOURDS DU CORPS POUR ETRE GUERI ?
Les travaux de Kinghardt et de Patricia Klein, spécialisés dans les maladies neurologiques des enfants et des adultes révèlent que l’on procède toujours de la même façon. On fait sortir les métaux lourds, puis on réajuste les acides gras.
Drainer par l’homéopathie est une illusion.
POURQUOI ?
Parce que les dommages provoqués par les vaccinations, (cas de l’autisme, de l’épilepsie, pour les enfants) on parle de 33 vaccinations en Amérique, 22 en France, atteignent les enzymes du métabolisme des acides gras. Ces enzymes sont endommagés en profondeur. Il faut alors administrer suffisamment d’acides gras polyinsaturés pour que les enzymes affaiblis emmagasinent les graisses indispensables au bon fonctionnement du système nerveux.
PEUT-ON REPARER LE CERVEAU ? PEUT-ON ATTENDRE DES AMELIORATIONS ?
La réponse et les résultats de Klinghardt et de Klein sont sans équivoque. C’est oui !
Il est nécessaire cependant de redonner au cerveau les composants dont il a besoin, éliminer ceux qui lui sont étrangers.
Il ne faut pas oublier qu’un corps, les cellules plus particulièrement, dans ce cas les cellules nerveuses savent fort bien fonctionner si l’on peut reconstruire, grâce aux lipides, tout le système de transmission d’information et d’élimination des déchets.
DES ELEMENTS DE BIOLOGIE POUR MIEUX COMPRENDRE.
La mitochondrie est l’organite intracellulaire produisant notre énergie. Mais ce n’est pas là que s’opèrent les fonctions de désintoxication de la cellule.
Celui qui gère tout cela est le peroxisome. C’est dans ce dernier que sont brûlées les graisses. Dans celui-ci, lors d’empoisonnements au mercure, de longues chaînes d’acide gras se forment et ne peuvent plus être brûlées. Elles s’agglutinent à l’intérieur de la cellule et les peroxisomes sont incapables de fonctionner par manque de nutriments et d’informations . Le mercure détruit les microtubules (protéine enzyme nommée GTP). Par suite l’intérieur de la cellule non ravitaillée ne peut plus travailler.
Il est donc essentiel de virer les métaux lourds et de redonner aux cellules nerveuses les éléments nobles pour reconstruire leur système d’alimentation et d’information (reconnaissance des éléments étrangers).
DES ELEMENTS DE NUTRITION POUR REPARER LES CELLULES NERVEUSES
Il faut également savoir que la vitamine F dénomme un groupe de substances qui sont toutes des acides gras polyinsaturés. Cette vitamine est indispensable à la synthèse des prostaglandines et de plusieurs acides aminés.
Ils s’appellent acides linoléniques, linoléiques, arachidoniques. L’organisme humain peut dériver l’acide arachidonique – très important pour les fonctions cérébrales - de l’acide linoléique, contenu dans les huiles vierges de tournesol, lin, sésame, carthame, chanvre.
Une intoxication aux métaux lourds endommage les lipides de la membrane cellulaire. Si l’on ne répare pas ces altérations par des apports conséquents de ces acides gras les patients ne peuvent pas voir leur état s’améliorer nettement.
Abandonner à tout jamais les huiles qui ne sont pas de première pression à froid.
COMMENT BENEFICIER DU BIENFAIT DES HUILES POUR LA CELLULE NERVEUSE ?
Pour bénéficier des bienfaits des huiles il faut pouvoir les digérer. La digestion des lipides commence dans le pancréas. Il faut ensuite des acides biliaires dans l’intestin grêle pour émulsionner les graisses, les rendre solubles pour être assimilées. L’absorption des graisses est un processus complexe surtout pour les personnes intoxiquées chez qui le pancréas et la vésicule biliaire ne fonctionnent pas correctement.
La bile est importante car elle présente deux particularités dans le contexte présent :
Ø Elimination de toutes les toxines de l’environnement et d’une partie des métaux lourds.
Ø Absorption des huiles qui contribuent à réparer les lésions cérébrales et neurologiques. Dans la membrane cellulaire, les phospholipides accueillent les acides gras.
Lors d’une désintoxication il faut à tout prix éviter les hydrates de carbone. Par une consommation trop importante d’hydrate, il y a production d’une enzyme qui gêne les cellules nerveuses perdant les acides gras qu’elles contiennent. Les résultats sont impressionnants lorsque les patients arrêtent de consommer des produits concentrés en hydrate de carbone ( pain, gâteaux, pâtes, riz, céréales).
Employer un régime simple, composé de légumes, d’oléagineux, de fruits, des œufs, un peu de viande et de poisson.
N-B La cassette intitulée « Les métaux lourds et leurs effets sur la santé » a été enregistrée le 31 0ctobre 2001. Elle peut être commandée auprès de la pharmacie suisse du Dr Kälin en téléphonant au 00.41.55.418.40.70. Apotheke Paracelsus - Hauptstrasse 23, Eisiedeln 8840 - Suisse -
Nous pouvons vous adresser un document sur l'avancée de la recherche cellulaire dans la lutte contre le Cancer. Travaux de l'Equipe du Dr Rath. Nous adresser une enveloppe timbrée à votre adresse (lettre de plus de 20 gr). Plusieurs dizaines de patients de votre département ont demandé les documents.
Appel
J'appelle toutes les Citoyennes, tous les Citoyens de notre Pays à s'inscrire avant le 31 décembre 2006 sur les listes électorales, pour aller voter massivement pour les Présidentielles 2007 et pour les Législatives 2007 !
J'appelle notre jeunesse qui ne connaît que le chômage et le mal-être, à se révolter démocratiquement et sans violence, par le biais des urnes !
J'appelle les abstentionnistes à aller voter car, il y va de l'Avenir de tout un peuple qui souffre de tous ces politiciens carriéristes !
J'appelle aussi de tout mon coeur les Citoyens issus de l'Emigration, à adhérer à La France En Action, afin de porter à la Députation leurs représentants !
J'appelle à la Résistance massive pour sauver la Démocratie en France, afin de porter vraiment les valeurs Humanistes des Droits de l'Homme car les rafles reprennent, comme en 1940 !
J'appelle à la mobilisation générale contre sarkozy et ses lois inhumaines, votées massivement par des soi-disant représentants du Peuple qui, à terme, finiront par déclencher des émeutes voire pire, une guerre civile !
J'appelle à la mobilisation générale pour protéger les Enfants et leurs Parents, des expulsions inhumaines !
J'appelle aussi à ce que l'on cesse de confondre la France et l'état français qui, sont deux choses différentes, la France ce sont les Citoyens, l'état français ce sont les représentants d'une caste oligarchique !
J'appelle à la sauvegarde de notre Patrimoine, nos Acquis, nos Emplois, notre Modèle social, nos Valeurs !
J'appelle au boycott massif de tous les produits manufacturés réalisés grâce à l'esclavage des Enfants et, des Etres Humains en général !
J'en appelle au REVEIL DES CONSCIENCES !
J'appelle à voter pour JEAN MARC GOVERNATORI à la Présidence de la République en 2007 et, à tous les candidats de La France En Action aux Législatives de 2007 !
Une Citoyenne du Monde
J'appelle notre jeunesse qui ne connaît que le chômage et le mal-être, à se révolter démocratiquement et sans violence, par le biais des urnes !
J'appelle les abstentionnistes à aller voter car, il y va de l'Avenir de tout un peuple qui souffre de tous ces politiciens carriéristes !
J'appelle aussi de tout mon coeur les Citoyens issus de l'Emigration, à adhérer à La France En Action, afin de porter à la Députation leurs représentants !
J'appelle à la Résistance massive pour sauver la Démocratie en France, afin de porter vraiment les valeurs Humanistes des Droits de l'Homme car les rafles reprennent, comme en 1940 !
J'appelle à la mobilisation générale contre sarkozy et ses lois inhumaines, votées massivement par des soi-disant représentants du Peuple qui, à terme, finiront par déclencher des émeutes voire pire, une guerre civile !
J'appelle à la mobilisation générale pour protéger les Enfants et leurs Parents, des expulsions inhumaines !
J'appelle aussi à ce que l'on cesse de confondre la France et l'état français qui, sont deux choses différentes, la France ce sont les Citoyens, l'état français ce sont les représentants d'une caste oligarchique !
J'appelle à la sauvegarde de notre Patrimoine, nos Acquis, nos Emplois, notre Modèle social, nos Valeurs !
J'appelle au boycott massif de tous les produits manufacturés réalisés grâce à l'esclavage des Enfants et, des Etres Humains en général !
J'en appelle au REVEIL DES CONSCIENCES !
J'appelle à voter pour JEAN MARC GOVERNATORI à la Présidence de la République en 2007 et, à tous les candidats de La France En Action aux Législatives de 2007 !
Une Citoyenne du Monde
La rage du peuple
La rage du peuple (x4)
Ok, on a la rage, mais c’est pas celle qui fait baver
Demande à Fab, la vie claque comme nos semelles sur les pavés
La rage de voir nos buts entravés, de vivre en travers
La rage gravée, depuis bien loin en arrière
La rage, d’avoir grandi trop vite quand des adultes te volent ton enfance
PAH, Imagine un mur et un bolide…
La rage, car impossible est cette paix tant voulue
La rage de voir autant de CRS armés dans nos rues
La rage de voir ce putain d’monde s’auto-détruire
Et qu’ce soit toujours des innocents au centre des tirs
La rage, car c’est l’homme qui a créé chaque mur, s’est barricadé de béton, aurait-il peur de la nature ?
La rage car il a oublié qu’il en faisait partie, désharmonie profonde, mais dans quel monde la colombe est partie ?
La rage, d’être autant balafrés par les piquants des normes
Et puis la rage, ouais la rage d’avoir la rage depuis qu’on est môme !!
Parce qu’on a la rage
On restera debout quoi qu’il arrive
La rage
D’aller jusqu’au bout et d’là, où veut bien nous mener la vie
Parce qu’on a la rage
On pourra plus s’taire ni s’asseoir, dorénavant on s’tiendra prêts parce qu’on a la rage, le cœur et la foi
Parce qu’on a la rage
On restera debout quoi qu’il arrive
La rage
D’aller jusqu’au bout et d’là où veut bien nous mener la vie
Parce qu’on a la rage
Rien ne pourra plus nous arrêter, insoumis, sage, marginal, humaniste ou révolté
La rage parce qu’on choisit rien et qu’on subit tout le temps
Et vu que leurs choix sont bancals et ben tout équilibre fout le camp
La rage, car l’irréparable s’entasse depuis un bout de temps
La rage, car qu’est-ce qu’on attend pour s’mettre debout et foutre le boucan
La rage, c’est tout c’qu’ils nous laissent, t’façons, tout c’qui nous reste
La rage, car combien des nôtres finiront par retourner leur veste
La rage, de vivre, et de vivre l’instant présent, de choisir son futur, libre et sans leur grille d’oppression
La rage, car c’est la merde et que ce monde y adhère, et parce que tous leurs champs OGM stérilisent la terre
La rage, pour qu’un jour l’engrenage soit brisé
La rage, car trop lisent « vérité » sur leur écran télévisé
La rage, car ce monde ne nous correspond pas, nous nourrissent de faux rêves pour placer leurs remparts
La rage, car ce monde ne nous correspond pas, où Babylone s’engraisse pendant qu’on crève en bas
Refrain
La rage, d’y croire et d’faire en sorte que ça bouge
La rage, d’un Chirac, d’un Sharon, d’un Tony Blair ou d’un Bush
La rage, car ce monde voit rouge, mais de grisaille s’entoure, et parce qu’ils n’entendent jamais les cris lorsque le sang coule
La rage, car c’est le pire que nous frôlons
La rage, car l’occident n’a toujours pas ôté sa tenue de colon
La rage, car le mal tape sans cesse trop
Et que ne sont plus mis au goût du jour tant de grands savoirs ancestraux
La rage trop de mensonges et de secrets gardés, l’élite de nos états riches de vérités pouvant changer l’humanité
La rage, car ils ne veulent pas que ça change, hein ? préférant garder leur pouvoir et nous manipuler comme leurs engins
La rage, car on croit aux anges et qu’on a choisi de marcher avec eux
La rage parce que mes propos dérangent
Vois aux quatre coins du globe la rage du peuple en ébullition,
La rage, ouais la rage, ou l’essence de la révolution
Refrain x 2
Anti-capitaliste, altermondialiste, ou toi qui cherche la vérité sur ce monde
La résistance de demain, inch allah, à la veille d’une révolution mondiale et spirituelle,
La rage du peuple (x2) la rabia del pueblo
Parce qu’on a la rage, celle qui fera trembler tes normes
Parce qu’on a la rage, la rage a pris la populace, et la rage est énorme
17 juin 2006
Réflexion...
La terre est peuplée
Par deux catégories d'humains
L' Immense Majorité de ceux
Qui produisent toutes les richesses
Par leur travail
Et l' Infime Minorité des banquiers
Qui produit tout l'argent
Par jeu d'écriture.
Pour consommer ce qu'elle produit
L'Immense Majorité
Emprunte tout l'argent
A l'Infime Minorité.
Mais l'Immense Majorité
N'a pas compris
Un problème pourtant bien simple.
C'est que si on s'endette éternellement
Les taux d'intérêt
S'accumulent éternellement
Et on se ruine.
C'est aussi bête que ça
Au point que c'est pas croyable.
Et parce que c'est pas croyable
La fête continue
Pour l'Infime Minorité
A moins qu'un jour
Dans un éclair de lucidité
L'Immense Majorité
Ne réalise que parce qu'elle
Produit toutes les richesses
C'est à elle de produire tout l'argent
Par jeu d'écriture.
DaneelOlivaw13@aol.com
Par deux catégories d'humains
L' Immense Majorité de ceux
Qui produisent toutes les richesses
Par leur travail
Et l' Infime Minorité des banquiers
Qui produit tout l'argent
Par jeu d'écriture.
Pour consommer ce qu'elle produit
L'Immense Majorité
Emprunte tout l'argent
A l'Infime Minorité.
Mais l'Immense Majorité
N'a pas compris
Un problème pourtant bien simple.
C'est que si on s'endette éternellement
Les taux d'intérêt
S'accumulent éternellement
Et on se ruine.
C'est aussi bête que ça
Au point que c'est pas croyable.
Et parce que c'est pas croyable
La fête continue
Pour l'Infime Minorité
A moins qu'un jour
Dans un éclair de lucidité
L'Immense Majorité
Ne réalise que parce qu'elle
Produit toutes les richesses
C'est à elle de produire tout l'argent
Par jeu d'écriture.
DaneelOlivaw13@aol.com
15 juin 2006
Les OGM s'imposent
Nos autorités influencées par des experts à la solde de l'industrie alimentaire permettent de plus en plus la culture de ces produits.
L'innocuité de ces produits est pourtant loin d'être prouvée, bien au contraire....
Jugez-en plutôt...
Documentaire de 32 minutes
L'innocuité de ces produits est pourtant loin d'être prouvée, bien au contraire....
Jugez-en plutôt...
Documentaire de 32 minutes
14 juin 2006
L'Europe des lobbies
Les lobbies industriels ont le droit d'influencer les parlementaires européens afin qu'ils ne votent pas de lois destinées à protéger la santé publique mais pouvant mettre en péril la vente de tel ou tel produit.
La santé de l'argent passe donc avant la santé humaine.....
Clip de 5 minutes
La santé de l'argent passe donc avant la santé humaine.....
Clip de 5 minutes
13 juin 2006
Portables : tous des cobayes ?
12 juin 2006
Le dictateur
La saison des Cropcircles a commencé!
11 juin 2006
Ce que l'on peut faire avec le prix d'un clip
LOI DE L' INTERDEPENDANCE DEMOCRATIQUE ENTRE LE PARLEMENTAIRE ET LE CITOYEN
SANS L' OBSERVATION STRICTE DE CETTE LOI LA DEMOCRATIE EST BAFOUEE
AFIN QUE LA LOI SOIT L' _EXPRESSION DE LA VOLONTE GENERALE ET QUE SOIT RESPECTE AU MIEUX LE PRINCIPE DEMOCRATIQUE IL FAUT ET IL SUFFIT QUE LE PEUPLE SOIT EN ETAT DE CONTROLER TOUTES LES LOIS VOTEES.
TOUS LES CITOYENS ONT DROIT DE CONCOURIR PERSONNELLEMENT, OU PAR LEURS REPRESENTANTS, A SA FORMATION (Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen 26 août 1789 ).
CE MOYEN DE CONTROLE DOIT ETRE SIMPLE ET EFFICACE.
IL CONSISTE A DONNER A LA NATION ENTIERE UN OUTIL PERMETTANT - PAR LA REUNION D' UN NOMBRE DONNE DE SIGNATURES - DE PROPOSER AU PEUPLE, DEVENU SOUVERAIN, SOIT D' ABROGER TOUT OU PARTIE DE LOI, SOIT DE DONNER "FORCE DE LOI " AUX PROPOSITIONS QU' ILS AURONT EUX - MEMES ELABOREES.
SANS REFERENDUM D' INITIATIVE POPULAIRE LA DEMOCRATIE N' EST ABSOLUMMENT PAS RESPECTEE. LE SYSTEME NE REPOSANT SUR AUCUNE ADHESION VERITABLE DE LA BASE EST PAR NATURE CONDAMNE A DISPARAITRE.
N - B - Il est utile de rappeler aux citoyens que les élus ont pour seul objectif leur réélection et la protection des intérêts de la caste qui leur a permis d'obtenir ce privilège.
D'autre part, dans la culture de Marché, une concurrence sauvage tend à la concentration du pouvoir économique et financier entre les mains de grands groupes multinationaux. Dans ce système le pouvoir est également tenu par une petite minorité de grands groupes qui imposent leur loi à la concurrence et aux gouvernants.
Leur seul objectif étant le profit maximum, la spéculation financière pouvant ( c'est fait ) prendre le pas sur la production industrielle.
Démocratiquement, le présent et l'avenir du citoyen passe en tout premier plan devant l'Economie de Marché qui, compte - tenu du contexte, doit être largement révisée, réajustée pour un monde meilleur, largement possible. Sans ce respect absolu, la démocratie n'est qu'une mascarade, et le résultat sera la condamnation à moyen terme de toute vie équilibrée sur cette terre. (Plusieurs personnalités de haut rang l'entendent de cette manière ).
JACQUES HENRI DAUDON et YVAN BACHAUD
AFIN QUE LA LOI SOIT L' _EXPRESSION DE LA VOLONTE GENERALE ET QUE SOIT RESPECTE AU MIEUX LE PRINCIPE DEMOCRATIQUE IL FAUT ET IL SUFFIT QUE LE PEUPLE SOIT EN ETAT DE CONTROLER TOUTES LES LOIS VOTEES.
TOUS LES CITOYENS ONT DROIT DE CONCOURIR PERSONNELLEMENT, OU PAR LEURS REPRESENTANTS, A SA FORMATION (Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen 26 août 1789 ).
CE MOYEN DE CONTROLE DOIT ETRE SIMPLE ET EFFICACE.
IL CONSISTE A DONNER A LA NATION ENTIERE UN OUTIL PERMETTANT - PAR LA REUNION D' UN NOMBRE DONNE DE SIGNATURES - DE PROPOSER AU PEUPLE, DEVENU SOUVERAIN, SOIT D' ABROGER TOUT OU PARTIE DE LOI, SOIT DE DONNER "FORCE DE LOI " AUX PROPOSITIONS QU' ILS AURONT EUX - MEMES ELABOREES.
SANS REFERENDUM D' INITIATIVE POPULAIRE LA DEMOCRATIE N' EST ABSOLUMMENT PAS RESPECTEE. LE SYSTEME NE REPOSANT SUR AUCUNE ADHESION VERITABLE DE LA BASE EST PAR NATURE CONDAMNE A DISPARAITRE.
N - B - Il est utile de rappeler aux citoyens que les élus ont pour seul objectif leur réélection et la protection des intérêts de la caste qui leur a permis d'obtenir ce privilège.
D'autre part, dans la culture de Marché, une concurrence sauvage tend à la concentration du pouvoir économique et financier entre les mains de grands groupes multinationaux. Dans ce système le pouvoir est également tenu par une petite minorité de grands groupes qui imposent leur loi à la concurrence et aux gouvernants.
Leur seul objectif étant le profit maximum, la spéculation financière pouvant ( c'est fait ) prendre le pas sur la production industrielle.
Démocratiquement, le présent et l'avenir du citoyen passe en tout premier plan devant l'Economie de Marché qui, compte - tenu du contexte, doit être largement révisée, réajustée pour un monde meilleur, largement possible. Sans ce respect absolu, la démocratie n'est qu'une mascarade, et le résultat sera la condamnation à moyen terme de toute vie équilibrée sur cette terre. (Plusieurs personnalités de haut rang l'entendent de cette manière ).
JACQUES HENRI DAUDON et YVAN BACHAUD
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